Chapitre 2 Le Destin

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Quel que mois plus tard, le 13 avril 2024, c’était un beau jour de printemps, sur le toit d’un immeuble, Un homme se tenait debout, vêtu d'une veste noire et d'un gilet assorti. Son allure est élégante et soignée. La veste lui arrivé jusqu'aux hanches, soulignant sa silhouette masculine et athlétique. Il portait une chemise blanche impeccablement repassée qui tranche avec l'obscurité de sa tenue. Sa cravate noire est nouée avec précision, ajoutant une touche de sophistication à son ensemble. Son visage est encadré par des cheveux long noirs lâcher presque bâcler, lui donnant un air sérieux et déterminé. Ses yeux de couleur vert marron perçants, reflétant une intelligence vive et une certaine intensité. Son menton est légèrement relevé, exprimant une confiance certaine. Il se tenait droit, la posture droite et assurée. L'homme semble prêt à affronter n'importe quelle situation, prêt à relever tous les défis qui se présentait à lui. Sa tenue sobre et élégante témoigne de son goût pour le raffinement et son désir d'élégance intemporelle. L’homme pris enfin la parole.

« C’est bon Judy ta fini, je sais que je suis beau gosse mais quand même, je commence a avoir des crampes moi a force de rester debout ! » cachait par un tableau de peinture quelqu’un se mit a parler.

« Arrête de râler Monsieur Jon King ! Tu sait très bien pourquoi je fait sa, pour mais travaux personnelle et j’immortalise la scène le jour de ton anniversaire. Et en même temps tu a raison la vu n’est pas si mal tu sais » C’était une femme très mignonne, blonde au cheveux court, elle avait les yeux bleu clair, des petite tache de rousseur sur le nez et un jolie sourire un peut bébête, là.. poser sur son petit tabouret, elle dessinait l’homme appelait « Jon King ». Cette femme était assez simple, elle aimer l’art et le dessin, elle en faisait même son métier et travailler pour son compte, dessinatrice et créatrice de toute sorte d’art pour des association ou des affiche pour des évènement.

« Voila ! J'ai fini ! Regarde » tournant le tableau elle le montra a Jon.

Il étais un peut râleur sur les bords et avait hâte que sa se finisse.

« Mouai sa me ressemble, j'aime bien » tout en faisant une petite mou, enfin il pu être libre de sa corvée. Il pris ses jambes a son cou vers la sortie.

« Hep, hep, hep ta pas oublier quelque chose mon chère ? » elle se tourna vers lui attendant quelque chose, Jon compris alors la chose, avec un petit sourire en coin il tourna les tallons, puis l’embrassa follement. Tout en le regardant partir elle se caressé le ventre, la avec un sourire en coin elle murmura « je lui dit se soir Hope… ».

C’était enfin le soir d’une nuit baignée par les étoiles quand les deux amoureux ce retrouvais tout les deux, au milieux d’inconnue, dans une longue avenue appelait la promenade du destin. Cette avenue faisait près de sept mètre de long et trente mètre de large, elle bordait la Méditerranée tout au long de la ville. La Promenade du destin est vraiment l’un des lieux de promenades les plus emblématiques de la ville et de la Côte-d’Azur. C’est une fantastique promenade en bord de mer qui offre une superbe vue sur la Méditerranée. C’est l’endroit idéal pour se détendre dans la belle ville. Mais cette nuit la était une nuit festive ou plein de gens y étaient réunis, de chaque coter de l’avenue ils y avaient toute sortes de stands gustatifs, de jeux, de buvette ect… Mais tout au bout une grande roue surplomber la promenade du destin, elle faisait 32 mètre de hauteur, c’était le point de rendez vous de tous c’est gens mais aussi des enfant impatient de monter dedans. Pendant ce temps, dans l'ombre de la foule qui s'agitait en contrebas, un groupe d’individus sombres se faufilait habilement parmi les passants. Leurs visages dissimulés sous des capuches élimées, ils semblaient être de simples spectateurs, mais leur démarche était empreinte d'une détermination sinistre. L'un d'eux portait sous son manteau une ceinture chargée d'explosifs, prêt à déclencher le chaos à tout moment. Soudain, l'air fut déchiré par une explosion assourdissante. La déflagration projeta des débris et des éclats de verre dans toutes les directions, semant la panique parmi la foule estivale. Jon et Judy furent violemment projetés au sol par la force de l'explosion, leurs corps secoués par le souffle dévastateur. Jon, sonné mais déterminé, se releva péniblement, son regard cherchant frénétiquement Judy parmi les décombres fumants. Sonné par l'explosion, se releva péniblement, son esprit embrouillé par l'horreur de la scène qui s'offrait à lui. Autour de lui, des corps gisaient inertes, leurs vies fauchées par l'acte insensé des terroristes. Il chercha frénétiquement Judy parmi les débris, son cœur battant la chamade dans sa poitrine. La trouva enfin, gisant à quelques mètres de lui, son visage pâle et ses yeux fermés. Jon s'agenouilla précipitamment à ses côtés, son cœur battant la chamade dans sa poitrine. Il prit sa main tremblante dans la sienne, sentant le faible pouls de vie qui palpitait encore en elle. Dans un murmure désespéré, il appela son nom, priant pour qu'elle réponde. Judy rouvrit faiblement les yeux, son regard cherchant celui de Jon avec angoisse. Une lueur de soulagement traversa son visage lorsqu'elle le vit, mais son expression se figea aussitôt dans une douleur indicible. Une tache rouge sombre s'étendait sur son abdomen, témoignant de la blessure mortelle qu'elle avait subie. « Jon... » Sa voix était à peine un souffle, ses mots hachés par la douleur. « Je... je suis désolée... » Jon sentit un étau se resserrer autour de son cœur alors qu'il comprenait la gravité de la situation. Une larme solitaire roula sur sa joue, emportant avec elle toutes les promesses d'un avenir heureux qu'ils avaient envisagées ensemble. Dans un dernier souffle, Judy la main caressant sont ventre murmura le prénom de leur enfant à naître : « Hope... » Puis, elle ferma les yeux, son souffle se faisant de plus en plus faible jusqu'à ce qu'il s'éteigne dans un silence assourdissant. La tragédie avait frappé de plein fouet, laissant Jon dévasté et empli d'une colère brûlante. Alors que les secours s'affairaient autour d'eux, Jon s'écarta du corps inerte de Judy, son regard fixé sur l'horizon lointain.

À quelques pas de là, les terroristes survécurent à l'explosion, leurs corps meurtris mais encore vivants. Sans perdre un instant, ils tentèrent de s'échapper à travers la foule paniquée, mais leur fuite fut de courte durée. Des cris retentirent alors que des agents de police armés les encerclaient, déterminés à neutraliser les criminels responsables de l'atroce massacre. Dans un déluge de balles et de sang, les forces de l'ordre engagèrent les terroristes dans un échange de tirs mortel. Des rafales d'armes automatiques déchiraient l'air, accompagnées du vacarme assourdissant des explosions. Les corps des terroristes tombaient un à un, leur peau lacérée par les balles des tireurs. Malgré la violence de l'affrontement, deux des terroristes parvinrent à s'échapper, leur visage dissimulé sous des capuches sombres. Ils se fondirent dans la foule, disparaissant dans les rues labyrinthiques de la ville, laissant derrière eux un sillage de mort et de destruction. Des heures plus tard, les rues de la ville étaient jonchées de corps sans vie, tandis que les secours s'activaient pour soigner les blessés et nettoyer les débris. Jon, témoin impuissant de la tragédie, était consumé par une rage froide, déterminé à traquer les responsables de l'horreur qui avait détruit sa vie. Les semaines qui suivirent furent marquées par une traque sans relâche, menée par les autorités pour retrouver les terroristes en fuite. Chaque recoin de la ville fut inspecté, chaque indice minutieusement analysé dans l'espoir de les retrouver avant qu'ils ne frappent à nouveau. Finalement, les deux terroristes furent appréhendés et conduits devant la justice pour répondre de leurs actes abominables. Le procès qui s'ensuivit fut un spectacle macabre, une démonstration de la cruauté et de la barbarie dont l'humanité était capable. Pendant des jours, les familles des victimes défilèrent à la barre, décrivant avec émotion la perte insupportable qu'elles avaient subie. Les témoignages poignants résonnaient dans la salle d'audience, leur douleur palpable dans chaque mot prononcé. Jon, assis parmi les spectateurs, écoutait les témoignages avec une colère bouillonnante. Son regard fixe trahissait une détermination farouche alors qu'il se préparait à affronter les coupables de l'horreur qui avait déchiré sa vie à jamais. Lorsque vint enfin le moment du jugement, Jon se leva de son siège, son regard brûlant de détermination. Dans un geste déterminé, il s'avança vers les terroristes, son visage figé dans une expression de fureur incontrôlable. La salle d'audience était plongée dans le chaos alors que Jon, consumé par une rage inextinguible, se jetait sur les terroristes avec une férocité brutale. Ses poings s'abattaient sur eux avec une force implacable, pulvérisant leurs chairs et écrasant leurs os sous la violence de ses coups. Dans un mouvement d'une sauvagerie inouïe, Jon attrapa l'un des terroristes par le col de sa chemise, ses doigts se refermant autour de sa gorge avec une étreinte de fer. Les yeux de Jon brûlaient d'une lueur sombre, emplis d'une fureur indomptable alors qu'il serrait sa prise avec une intensité croissante. Le terroriste, pris au piège dans l'étau mortel de Jon, tenta en vain de se débattre, ses mains agrippant désespérément les bras de son assaillant. Mais c'était peine perdue, car Jon était comme possédé par une force surnaturelle, sa volonté de vengeance dépassant toute logique ou raison. Soudain, dans un acte de barbarie indicible, Jon se pencha vers le terroriste, ses dents acérées brillant dans la pénombre de la salle d'audience. Sans un mot, sans un cri, il arracha sa gorge d'un mouvement violent, ses mâchoires se refermant sur la chair tendre avec une force inhumaine. Un cri déchirant retentit dans la salle alors que le terroriste agonisait, son sang giclant à flots de sa blessure béante. Les spectateurs, horrifiés par la scène macabre qui se déroulait devant eux, reculèrent instinctivement, leurs visages blêmes de terreur. Jon, indifférent à la souffrance de sa victime, continua son œuvre de destruction, arrachant la jugulaire du terroriste avec une brutalité sans pareille. Le sang coulait à flots, formant des rivières écarlates sur le sol de la salle d'audience, témoignant de la sauvagerie de l'acte qui venait de se produire. Enfin, dans un dernier spasme de douleur, le terroriste rendit son dernier souffle, son corps inerte gisant sur le sol, sa vie éteinte par la main implacable de Jon. Une aura de silence pesant enveloppa la salle, brisée seulement par les sanglots étouffés des témoins horrifiés par la scène qu'ils venaient de voir. Jon se redressa lentement, son visage maculé du sang de sa victime, une lueur de satisfaction malsaine brillant dans ses yeux. Dans un dernier souffle de vie, le dernier terroriste fixer Jon du regard, ses yeux emplis de terreur et de désespoir. Son destin était scellé, sa sentence prononcée par la main implacable de la justice. Après l'acte de violence terrifiant dans la salle d'audience, Jon fut immédiatement maîtrisé par les forces de l'ordre et traîné hors de la scène de carnage. Son visage était marqué par une expression de rage farouche, ses yeux brûlant d'une lueur sombre et déterminée. Il était un homme consumé par la vengeance, prêt à tout pour obtenir justice pour la perte insupportable de sa bien-aimée. Quelque mois plus tard après l’enfer le procès de Jon fut un événement médiatique sans précédent, chaque détail de son crime atroce scruté avec une fascination morbide par le public avide de sensationnel. Les témoins horrifiés défilèrent à la barre, décrivant avec une précision choquante l'ampleur de la violence dont Jon avait fait preuve dans sa quête de vengeance implacable. Malgré les plaidoyers passionnés de son avocat, Jon fut reconnu coupable de meurtre et condamné à la réclusion à perpétuité dans une prison de haute sécurité. Sa sentence fut assortie de l'isolement total, une mesure destinée à contenir sa fureur incontrôlable et à protéger les autres détenus de sa violence déchaînée.

Dans les profondeurs sombres de sa cellule, Jon affrontait chaque jour comme un nouveau défi à surmonter. Le passage du temps semblait s'étirer dans un continuum infini de solitude et de désespoir. Chaque journée était une épreuve, une bataille contre les démons qui le hantaient sans relâche. Au lever du soleil, Jon se réveillait avec le poids écrasant de la réalité qui s'abattait sur lui. Les murs gris de sa cellule semblaient se refermer autour de lui, étouffant toute lueur d'espoir. Chaque minute, chaque heure était un rappel constant de la vie qu'il avait perdue, de la douleur insupportable qui le consumait de l’intérieur. La monotonie oppressante de la vie en prison était ponctuée par des moments de désespoir profond. Jon passait ses journées à errer dans sa cellule étroite, tourmenté par les souvenirs douloureux qui le hantaient sans relâche. Chaque bruit, chaque ombre semblait lui rappeler la tragédie qui avait déchiré sa vie à jamais. Et alors que les jours se transformaient en semaines, et les semaines en mois, Jon se retrouvait de plus en plus isolé, enfermé dans un monde de ténèbres et de désespoir. La perspective d'une libération semblait de plus en plus lointaine, un rêve inaccessible dans l'océan sans fin de sa propre misère. Et puis vint le jour où Jon atteignit le point de rupture. Les ténèbres qui l'entouraient semblaient soudainement se refermer sur lui, étouffant tout espoir de rédemption. Dans un acte de désespoir ultime, il décida de mettre fin à sa propre vie, de libérer son âme tourmentée des chaînes qui le retenaient prisonnier. Les heures passèrent lentement, chaque minute semblant durer une éternité. Jon se retrouva seul dans l'obscurité de sa cellule, son esprit tourmenté par les pensées sombres qui le hantaient sans relâche. Et alors, dans un moment de désespoir absolu, il prit une décision irrévocable. C'était dans l'ombre de la nuit, alors que le silence enveloppait la prison de son manteau sombre, que Jon tenta de mettre fin à sa propre vie. Mais juste au moment où il s'apprêtait à franchir le seuil entre la vie et la mort, une présence mystérieuse se fit sentir dans sa cellule. Dans l'obscurité de sa cellule, Jon fut surpris par la présence de l'homme en noir. Alors que ses yeux s'ajustèrent à la pénombre, il reconnut le visage du président français, Gabriel Doume, une figure éminente dont la réputation s'étendait bien au-delà des frontières de la France. Gabriel Doume, le leader charismatique et visionnaire, lui tendit une main secourable, une lueur d'espoir dans les ténèbres de sa désolation. Avec une voix empreinte d'une autorité tranquille, il lui exposa une proposition intrigante rejoindre un groupe d'explorateurs destiné à partir à la découverte du Nouveau Monde, récemment découvert par Christopher Colombia. Jon fut abasourdi par cette offre inattendue. Jon dit alors « Gabriel, je sais que tu as une certaine idée de qui je suis, mais je doute que tu aies une réelle compréhension de ce que j'ai traversé. Je ne suis pas sûr de vouloir être associé à un politicien, quelles que soient les circonstances ».

« Je comprends ta méfiance, Jon » dit Gabrielle « Mais écoute-moi. Ce que je te propose, ce n'est pas une simple politique, c'est une opportunité de renouveau, une chance de laisser derrière toi les horreurs que tu a vécu dernièrement » Dans un regard sombre et froid Jon repondit « Horreurs ? Tu veux vraiment parler d'horreurs ? Tu ne sais rien de ce que j'ai vécu. Tu ne sais rien de la douleur que j'ai endurée, de la perte insupportable de la femme que j'aimais, et de notre enfant à naître, Hope. Et tu oses me parler de renouveau ? »

« Je ne prétends pas savoir ce que tu as vécu, Jon. Mais je sais que tu as en toi une force incroyable, une détermination à toute épreuve. Et c'est cette force qui te rendrait précieux pour notre expédition au-delà du Mur de Classe » tout en se gratant la tête Gabrielle lui expliquer sa vision « Jon, je comprends tes doutes. Mais cette expédition représente bien plus qu'une simple aventure. C'est une chance de découvrir de nouveaux horizons, de repousser les limites de l'exploration humaine. Et je crois que tu as le potentiel pour accomplir de grandes choses ». Jon resta silencieux un moment, laissant les mots de Gabriel résonner dans son esprit tourmenté. Il sentait le poids de la décision qui pesait sur ses épaules, la tentation de saisir cette opportunité de liberté et de renouveau luttant contre sa méfiance instinctive envers les politiciens. Finalement, il leva les yeux vers Gabriel, son regard empreint d'une intensité mêlée de détermination et de scepticisme. « Je vais y réfléchir », déclara-t-il enfin, sa voix résonnant dans l'obscurité de la cellule. « C'est compris, Jon. Prends ton temps pour réfléchir. Mais souviens-toi, quelle que soit ta décision, je serai là pour t'apporter mon soutien » Jon hocha la tête, sentant le poids de la décision qui pesait sur ses épaules. Il savait qu'il devait peser les pour et les contre avec soin, évaluer les risques. « Je te ferai savoir ma décision dès que possible », promit-il finalement, sentant une lueur d'espoir percer les ténèbres de sa cellule. Gabriel acquiesça une fois de plus, respectant le besoin de Jon de prendre du recul. « Prends ton temps, Jon », dit-il d'une voix empreinte de compréhension. « Nous avons jusqu'à février 2025 pour prendre une décision tu a deux mois. Jusque-là, je serai là pour répondre à toutes tes questions et t'aider à prendre la meilleure décision pour toi-même. Et ainsi, dans le silence de la nuit, Jon se retrouva seul avec ses pensées, confronté à une décision qui pourrait changer le cours de sa vie pour toujours. Mais pour l'instant, il devait prendre le temps de réfléchir, de peser les options et de décider de son propre destin.

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