ELLE

Elle a le genre de regard qui balafre le coeur
car dans ses yeux simples mais profond
s'hebergent tellement de douceurs et tellement de lueurs,
Qu'une fois les avoir fixé
On ne peut plus les résister

Pourquoi je ne peux parler d'elle sans parler de ses yeux dorés ?
Pourquoi il m'est difficile d'écrire sur elle sans citer de ces deux adulés ?

Pourtant il y a tant à dire sur elle !
Tant de tendre mots pour cette prunelle !
Mais si j'insiste sur ces deux merveilles
C'est juste parce qu'elles m'émerveillent.
Je sais qu'elle trouverait trouillard
Si je fuyais son regard
Mais son regard glace mes volonté

C'est quoi ton secret

Ma question peut te paraître déplacée
Ou peut-être même dépassée
Mais je ne peux que te l'adresser

Je me dis que tu aurais dû me prévenir
Qu'une fois avoir embrassé ton regard
On ne peut plus fuire les souvenirs

Devant cette église
Lorsque la timidité me faisait frémir
Mes yeux, eux, ne faisaient que te lire.

Ça remonte au 13 Août
J'avais une prestation artistique
La pression me rendais sourd
Mais lorsque je vis ton physique
J'avais l'impression de perdre la logique
Ce n'est pas seulement de belles paroles
Où une juste succession d' hyperboles
Te voir m'a embrasé à l'intérieur.

Qu'est ce que tu faisais là ?
Qu'est-ce que je faisais là ?

À ce même instant !
En ce même moment !

Pourquoi toi Sylvia ?
Pourquoi moi Hermann ?

Pourquoi toi et moi ?

Toutes ces questions frôlaient mon esprit
Et je te regardais t'éloigner toujours surpris
Dieu était-il à là base ?
Je me demande toujours !

Là en écrivant ce poème sur toi
J'ai la scène sur les yeux
Je devais faire un choix ce jour là
Mais mon cœur ne me donnait qu'une option
Te suivre, rien que te suivre

Il fallait que je parle à cet ange sans aile
Qui Transporte mon cœur dans les airs

Il fallait que je parle à cette déesse
Qui m'a captivé par sa joliesse

Il le fallait

Il me fallait te voir en face
Pour découvrir ta beauté hors classe.