La complainte du vent
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Sous le ciel bleu qui tient à moi et me rassure
Marchant j'entends alors ce souffle qui murmure
Il s'en dégage une triste mélancolie
Et il m'amène des fragrances endormies
Il se fait de plus en plus fort et je l'écoute
Seuls avec lui s'évanouissent tous mes doutes
Alors serein j'aimerais entrer dans la danse
M'envoler comme dans mes rêves d'insouciance
Ô ! Vent, souffle céleste, quand viendra mon heure
Emmène-moi loin de ces mortelles ferveurs
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