CHAPITRE 8

3 minutes de lecture

Lélia a encore organisé une rencontre pour ce soir, un homme de quarante ans cette fois avec qui le feeling est bien passé.

Elle se rend chez lui après s’être fait belle.
Lorsqu’elle rentre dans le hall d’entrée l’ambiance est sombre et glauque. Lélia se sent oppressée et regrette presque ce rendez-vous.

L’homme de quarante ans est plutôt canon comme les trois quart de ses relations mais a un regard très spécial presque malsain.

Il l’a dirigé fermement par le poignet dans une pièce tout aussi étrange. Les yeux de Lélia parcourent la pièce, des chaînes pendent contre les murs, des menottes, des fouets, des machines comme dans les film x catégorie SM et d’autres accessoires particuliers.

L’homme qu’elle est venu voir est un grand addict du sado masochisme.

L’homme lui ordonne: - Déshabilles toi jeune salope!

Lélia enlève ses vêtements fébrilement et se tient droite en sous vêtements devant l’homme.

Elle a mis un soutien-gorge en dentelle transparent laissant voir tout ses seins, pareil pour la culotte.

Il s’approche d’elle d’un coup lui arrache ses sous vêtements qui tombent déchirés au sol. Ils sont inutilisables.

Lélia a peur, elle voudrait s’enfuir mais impossible l’homme a verrouillé la porte de la pièce.

Il est torse nu et en jeans pour le moment il ne compte pas se déshabiller.

Il maintient fermement Lélia contre lui et lui mordille brutalement un sein.

Lélia lache un petit cri de douleur : - Aïeeeeee!!!!

Il l’attache debout contre une planche mains écartées et liées pareil pour les pieds. Il sort de son tiroir à accessoires deux pinces à tétons, les applique sur les seins de Lélia qui grimace de douleur une fois ses petits tétons pincés.

Elle qui a l’habitude du sexe doux est en train de vivre un véritable cauchemar.

L’homme se met à lui lécher le sexe de manière violente, elle ne ressent aucun plaisir et se met à gémir de douleur.

L’homme : - T’aimes ça cochonne!

Les jambes de Lélia sont crispées et tremblent dans tous les sens, elle a mal et simule un orgasme pour que l’homme arrête de la lécher.

Mais il n’en a pas fini avec elle, il se ramène avec un fouet à longues franges.
Lélia se met à hurler en le voyant approcher mais cette pièce est bien isolée personne ne l’entendra de toute façon.

Il commence à lui fouetter les seins, le pubis, les hanches et tout ce qu’il peut. De grosses marques rouges violacées apparaissent sur ses poignets et quelques endroits de son corps. L’homme est excité par la situation et la force à le sucer.

Au moment de l’ejaculation il l’a force à avaler, ce qu’elle fait avec un énorme dégoût et failli vomir.

Il allonge la planche et attache Lélia avec de grosses menottes lui écrasant ses poignets violacés, il l’attache à un tuyau.

Lélia débat avec force ses jambes qu’il attache très vite.

Il lui stimule le clitoris avec un womanizer, la pauvre Lélia se met à jouir grâce aux stimulations de l’appareil. Il s’amuse à la torturer de plaisir plusieurs fois. À contre cœur Lélia a eu de multiples orgasmes à la suite car elle est sensible du petit bouton.

Il lui applique un lubrifiant dans le vagin et approche d’elle une machine de sexe.

Il accroche un gode de taille moyenne a l’embout de la machine qui commence doucement des allers retours dans le vagin tout crispé de douleur de la pauvre Lélia.

Il accélère la machine qui lui laboure l’intérieur. Lélia se débat, hurle de toutes ses forces, elle a mal.

Elle repense à l’avertissement de Matt et fond en larmes elle aurait du l’écouter.

La machine lui fait violemment l’amour, lorsque son partenaire lui la retire, un peu de sang coule du vagin de Lélia.

Il l’a détache et lui ordonne de se casser.
Lui a eu énormément de plaisir à la torturer elle a eu énormément mal et s’est sentie violee.

Lélia remet sa tenue sans rien dessous, et s’en va en titubant. Elle souffre énormément. Une fois que l’homme a fermé la porte Lélia éclate en sanglots.

Elle est prise de haut le cœur et fini par vomir deux, trois fois dans l’herbe fraîche tout le repas qu’elle avait pris juste avant de venir. Tout cela du au stress et à la douleur subie.

Arrivée chez elle elle ferme la porte à clé, se rend dans sa salle de bains. Elle prend une bonne douche pour détendre son corps, elle pleure de douleur quand l’eau chaude ruisselle sur ses blessures.

Elle venait de vivre la pire expérience de sa vie.

Elle ne réussi pas à s’endormir et fait nuit blanche. Elle est fatiguée en se levant au petit matin, de plus qu’une sortie pêche est organisée avec ses amis.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire passionfruits ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0