CHAPITRE 10

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Un autre samedi soir tous ensemble, les quatre amis ont un petit peu bu et sont un peu éméchés.

Ils ont rejoué à action vérité en piochant uniquement les cartes vérités.

La soirée a un petit peu mieux tournée que la précédente. Ils ont bien rigolé, se sont confiés, en savent un peu plus les uns sur les autres en matière de sexe.

Dayvon et Méganne prennent un taxi pour rentrer chez eux au vu de leur état, aucun des deux ne peut conduire.

Ils laissent Lélia et Matt tous seuls.
Lélia n’est pas fraîche non plus, elle chancèle et attrape les clés de sa voiture.

Matt lui bloque le passage : - Non non tu n’es pas en état de conduire.

Elle tombe dans ses bras déséquilibrée par l’alcool et rigole : - Mais si, ça va faire laisses moi conduire s’il te plaît.

Après une bonne demi-heure de cinéma il réussit à la convaincre de rester dormir chez lui.

Il lui prête un t shirt à lui en guise de robe de nuit et l’a laisse s’installer dans le lit à côté de lui.

Il s’allonge un peu loin d’elle et prend le temps de papoter avec elle malgré la fatigue.

Lélia n’est plus saoule au bout de deux bonnes heures, donc très consciente de ses pensées et de ses actes.

Cela fait plus d’un mois qu’elle n’a pas eu de relation sexuelle et elle est un petit peu émoustillée d’avoir Matt à côté d’elle dans le lit de celui ci.

Lélia : - Je peux te faire un câlin ? J’adore être dans tes bras musclés, tellement confortable.

Matt se sent rougir : - Euh..... si tu veux.

Il ne pensait pas qu’elle se collerait autant à lui, il sent sa poitrine sans soutien-gorge sous le t shirt qu’il lui a prêté contre son torse. Les jambes de la jeune fille sont enlacées dans les siennes.

Il recule légèrement son bassin pour ne pas que Lélia sente qu’il a une erection sous son boxer. Il se contente juste de lui caresser sa chevelure.

Ce contact ne le laisse pas indifférent non plus, quelques envies montent en lui. Mais il tente d’en faire abstraction. Il s’est promis qu’il ne l’a toucherait pas mais il ne sait pas si il va réussir à le faire. Lélia est si belle, si sexy et si excitante que pour un homme normalement constitué il est difficile de résister.

La main de Lélia arrive directement sur la bosse formée sur le boxer, elle commence à le toucher, son ami retire aussitôt sa main et s’éloigne un peu.

Matt : - Ah non Lélia je ne suis pas d’accord !

Lélia : - Pourtant ça n’a pas eu l’air de te déplaire la dernière fois qu’on l’a fait ensemble ! ( elle lui touche l’entrejambe de nouveau, il l’a repousse encore) j’ai terriblement envie de toi.

Matt : - Ce n’est pas possible Lélia stop tu vas trop loin je n’en ai pas envie !

Lélia : - Pourtant tu as la gaule visiblement !

Matt : - Tu dépasses les bornes.

Lélia : - Je croyais que tu voulais pas que je fasse l’amour à des inconnus, toi tu n’en es pas un.

Matt : - Je ne veux pas que tu t’intéresse à moi uniquement quand tu as envie de baiser! J’ai horreur de ce mot mais toi c’est ce que tu fais, je ne veux pas que tu me prennes pour un con!

Lélia est vexée et se tourne dos à son ami pour ne plus le voir.

Matt énervé se lève et s’enferme à la salle de bains. Si il ne met pas fin à ses pulsions il risque de céder à Lélia qui attend que ça.

Il monte dans la douche ouvre doucement l’eau qu’il envoie directement sur son gland. De l’autre main il entame de longs vas et viens délicats et lents.

Le jet lui chatouille le gland et ça l’excite encore plus, il accélère la cadence avec sa main, de l’autre il masse le dessus de son gland. Celui ci ressent beaucoup de sensations.

Son bassin bouge involontairement, il lâche quelques râles camouflés par le bruit de l’eau. Il ralentit sa main pour durer un petit peu plus.
Vient le point de non retour, son ventre se contracte et son sexe frétille, il le caresse longtemps jusqu’à éjecter un puissant jet de sperme contre la paroi de la douche.

Il se savonne, nettoie ses cochonneries, se rince et enfile un boxer propre.

Il va boire un petit coup avant de se remettre à côté de son amie.

Lélia se retourne : - Tu en as mis du temps sous la douche tu t’es touché ?

Matt : - Ça suffit maintenant, c’est lourd.

De nouveau elle essaie de le toucher.

Matt : - Écoutes si tu ne restes pas tranquille, je vais m’enfermer dans le salon.

Lélia : - Bon pardon, j’arrête.

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