Claire Obscure

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Image de couverture de Claire Obscure

On était au début juin, le soleil avait fini par faire son apparition, après un printemps très maussade. Le centre-ville revivait, les filles avaient raccourci leur tenue tout ça sentait bon l’été et les vacances. J’étais attablée sur une terrasse sirotant un petit café bien serrer, un livre à la main. Quand une voie jeune et mal assuré me fit sortir de ma lecture, me racontant toute une histoire abracadabrantesque de travail photo artistique de fin d’étude, je ne l’écoutais que d’une oreille je lui fis bien comprendre que je n’étais pas intéressée par sa proposition, mais avant de partir il me tendit sa carte au cas si je changeais d’avis.

A peine est il partit que je fus rassurée de voir mes amies arrivées, nous prîmes un café et je leur racontais ma saugrenue aventure. Solène qui était la plus aventureuse de nous trois me fit comprendre que j’aurais dû accepter. En argumentant que au point vue personnel ça devait être exaltant, d’être magnifiée par l’œil d’un artiste, et en plus des photos de moi en tenue légère ou nues seraient un cadeau dès plus original pour mon fiancé Olivier. Je coupais court à la conversation, étant plus gênée que dérangée par sa tournure. Le reste de l’après-midi se passa comme si on avait jamais abordé le sujet et sur le coup de Six heures on se sépara pour rejoindre nos pénates.

Malheureusement je me retrouvais encore une fois seule ce soir-là, et pour couronner le tous pendant plusieurs semaines car Olivier, avait dû partir pour son boulot, il alterne quatre semaines en mer et puis quatre semaines à terre, il est ingénieur sur plate-forme pétrolière en mère du nord. Pour tuer l’ennui je zappais mais aucun programme de cette fichue TV me convenais, je décidais d’aller me coucher et de terminer mon livre, alors que je le jetais négligemment sur mon lit, un petit bout de papier s’envolait, je le ramassais, c’était la carte du prétendu photographe et la jeta de suite dans la corbeille de ma coiffeuse, ensuite je gagnais mon lit, je n’arrivais pas à me concentrer sur ma lecture, j’avais à tout bout de champ la voie de Solène qui résonnait dans ma tête, et ensuite je posais le regard sur la corbeille.

Finalement au bout d’une demi-heure je décidais de prendre contact avec cet homme, comme ça Solène ne pourrait plus me tanner que je suis une fille pudique, mais d’abord je devais créer une adresse mail alternative, pour qu’il ne puisse pas facilement me retrouver et surtout pas me harceler si je n’allais pas au bout de ma démarche. Je lui envoyais cet e-mail

Exp : CS.modèled1jour@courriel.org 08/06/2019 à 00:45

A : L.Morningstar@SunShineStudio.eu

Objet : Demande d’information shooting

Bonsoir,

On s’est rencontré cet après-midi à la terrasse du « Skelezate », j’espère que vous vous souvenez de moi, vous m’aviez proposé d’être modèle pour votre TFE

Je souhaiterais savoir si j’accepte comment cela se passera ?

BàV

C.S

Quel ne fut pas ma surprise, lorsque mon portable vibra à une heure si tardive, la première idée qui me vint à l’esprit fut que c’était Olivier qui m’envoyait un petit message pour me souhaiter une bonne nuit. Eh bien ! Non, c’était le jeune homme qui avait répondu à mon e-mail

Exp : L.Morningstar@SunShineStudio.eu 08/06/2019 à 00:50

A : CS.modèled1jour@courriel.org

Objet : Information shooting

Bonsoir,

Pour votre information, une séance dure environ 01h30, on prend la pose, et on shoote puis on passe à la suivante et on répète le même schéma jusque quand on a bouclé le Book.

En ce qui concerne mon TFE il est pour la fin de ce mois-ci, donc je n’ai plus beaucoup de temps pour le finaliser, si vous êtes vraiment intéressée on devrait se rencontrer pour le shooting dans le courant de la semaine prochaine

BàV

Léon

Un peu déçue je déposais mon portable, je m’endormis assez rapidement, la nuit ne fut pas vraiment bonne, j’eus le sommeil agité, me réveillant plusieurs fois pendant la nuit, avec une drôle de sensation que je ne peux encore aujourd’hui décrire. Au matin, comme chaque pendant mon petit déjeuner, j’ouvris l’application pour mes e-mails, la page de mon adresse factice qui apparut en premier, je basculais directement de page, le seul e-mail intéressant était celui envoyé par Olivier. Pendant que je terminais mon bol de céréales, mes doigts se mirent à chatouiller, je repris mon portable l’ouvrit sur la page d’e-mail alternative, je composais un message rapide

Exp : CS.modèled1jour@courriel.org 09/06/2019 à 09:15

A : L.Morningstar@SunShineStudio.eu

Objet : RE Demande d’information shooting

Bonjour,

J’ai bien reçu votre e-mail d’hier soir, je suis quand même toujours un peu sur la réserve par rapport à votre proposition, craignant qu’elle ne soit qu’un plan drague, tout en comprenant la situation dans laquelle vous êtes.

BàV

C.S

Alors que je terminais de débarrasser la table et de vider le lave-vaisselle le son des notifications brisa le silence quasi monacal de ma cuisine. Je ne me précipitai pas sur mon portable, sûrement voulant me convaincre encore que je n’étais pas intéressé. Lorsque j’eus fini mes tâches ménagères j’envoyai d’abord un petit e-mail à olivier lui expliquant ma journée de la veille, bien évidement en omettant ma rencontre et mon échange de courrier avec le prétendu photographe. Puis j’ouvris la sulfureuse adresse, j’avais à nouveau un e-mail de fameux Léon

Exp : L.Morningstar@SunShineStudio.eu 09/06/2019 à 09:25

A : CS.modèled1jour@courriel.org

pièce jointe / pièce jointe / pièce jointe / pièce jointe

Objet : RE Information shooting

Bonjour,

Je comprends très bien que ma proposition peut vous paraître cavalière, je ne l’aurais jamais faite si je n’avais pas été dans l’urgence, dans laquelle je suis actuellement.

Vous aurez le privilège de constater mon travail grâce aux pièces que j’ai joins à ce courrier

BàV

Léon

Je réfléchis une grosse minute avant d’ouvrir les pièces jointe de son e-mail sachant au plus profond de moi que si je les ouvrais je ne pourrais plus faire marche arrière. Au bout de ce laborieux dialogue avec moi-même je finis par céder, les photos étaient magnifiques. J’en restais là, en me disant qu’il les avait pompés sur le net, et la priorité de cet après midi là était a des lieus de ce chimérique shooting, j’avais rendez-vous chez mes parents pour le déjeuner dominical, je m’y rendis, la journée suivit son cours comme si de rien était.

Vers 19h00 je rentrais chez moi, dans la foulée j’écrivis une bafouille d’amoureuse à Olivier, en espérant avoir de ses nouvelles rapidement, puis je regardai un film bien évidement à l’eau de rose sur l’une des chaînes privées. Au moment où le clap de fin du film se fit connaître, le soleil se couchait déjà. Je pris un bain bien chaud, mais alors que j’essayais de me détendre en écoutant quelques morceaux de blues jazz, immergée les photo de l’artiste me réapparurent en sorte de flash onirique, Ces flashs me troublèrent et bien plus intimement que je voulais l’admettre. À la sortie de ce bain troublant, je repris ma plume numérique pour rédiger un nouveau courriel à cet inconnu, qui depuis près de trente-six heures.

Exp : CS.modèled1jour@courriel.org 09/06/2019 à 22:45

A : L.Morningstar@SunShineStudio.eu

Objet: Shooting d’urgence

Bonsoir,

J’ai eu l’occasion d’admirer votre travail, mais des doutes me chagrinent encore sur la véracité de votre démarche mon côté parano me pousse à croire même que vous les aviez « volées » sur le net

BàV

C.S

Je ne vais pas passer le reste du temps à vous énumérer tous les e-mails que l’on s’est échangé ce soir-là et les deux jours qui suivirent, il y en a plus d’une vingtaine, pour en arriver que l’on se retrouve le mardi vers 17h00, à la terrasse où nous nous étions rencontrés.

Je m’étais installé sur une autre terrasse, je pouvais l’observer en étant presque sûre que lui ne pouvais me voir. Il arriva plus ou moins dix minutes à l’avance. Dans son attitude, il ressemblait à un collégien qui allait a son premier rendez-vous, ce spectacle m’attendrissait, je le fis patienter encore dix petites minutes puis je fis mon apparition, j’essayais de montrer que j’étais en pleine confiance, mais en moi s’était plutôt un pas en avant trois en arrière, je m’approchais de lui dans son angle mort, il sursauta quand je m’installais à la table, le serveur tout endimanché vint a notre rencontre, il prit notre commande, je commandais un virgin mojito, et lui un soda.

Pendant une heure nous échangions sur son travail, il montrait les épreuves, d’autres modèles. Pendant tout ce temps, j’avais pu le mesurer, le peser et le sonder, il n’apparaissait pas comme une menace. On discuta du moment le plus approprier pour la séance de photo aux vues, de la situation, et de nos agendas la seule possibilité étais le surlendemain le jeudi parfait pour moi, car s’était mon jour off au boulot. Il me donna l’adresse où je devais me rendre et l’heure, il me dit que s’était un petit hôtel très cosy Hors des sentiers battus, il me précisa qu’il travaillera en noir et blanc afin de limiter le travail préparatoire et sans assistant pour que je sois plus à mon aise.

Le soir de retour dans mon appartement, je passais en revue tous mes ensembles de lingerie, mais aucun ne trouvait grâce à mes yeux. La situation commençait légèrement à se complexifier. Je me rassurais comme je pouvais en faisant des plans, sachant que le lieu se trouvait en centre-ville, au matin j’irais acheter ce qui me faut, puis déjeunerais sur le pouce, et je finirais par le rejoindre pour la séance.

Le jour fatidique se présenta, mon plan de bataille que j’avais durement établis, minuter dans ma tête, prenait déjà du plomb dans l’aile à cause d’un incident technique dans le métro. J’arrivais une demi-heure plus tard que prévu dans cette boutique de lingerie que Solène m’avais déjà conseillé a mainte reprise. Pour elle s’était l’endroit parfait pour trouver la lingerie qui affolerais mon Chéri.

La boutique portait un nom des plus voluptueux « À fleur de Peau », la boutique se trouvait au rez-de-chaussée d’une maison de maître de style art nouveau qui avait été transformé en immeuble de rapport sans dénaturer sa belle façade dessinée jadis, Victor Horta. J’entrais un peu intimider par le lieu, la vendeuse ne m’aborda pas directement me laissant aller de gauche à droite, j’avais l’impression d’être un papillon pris dans les phares d’un véhicule, ne sachant pas où donner de la tête. C’est à ce moment alors que j’avais la tête qui tournait, que la vendeuse décida de m’aborder.

Je lui fis part que je cherchais un ensemble classe pour une séance photo. Elle demanda si j’avais des précisions sur le travail du photographe, je lui dis que l’artiste voulait capturer toute ma sensualité, et qu’il travaillerait en noir et blanc. La vendeuse me montra un charmant ensemble vintage aux reflets de satin.

Ensuite je fis un saut rapide chez ma coiffeuse pour qu’elle maîtrise toutes mes mèches rebelles, puis je pris un repas léger. Rapidement le moment fatidique arriva, je pris le chemin de mon rendez-vous le pas assez hésitant.

Au tournant du dédale de ruelle qu’est le centre-ville, je découvris l’hôtel, une belle demeure du début du siècle. Je me dépêchai d’entrer afin d’éviter qu’une personne qui me connaisse puisse me voir.

Léon était déjà là il m’attendait à la réception, il me guida directement vers la chambre qui servira de studio photo ce jour. Je pénétrai dans la chambre d’un pas décider afin cacher mon indécision. Je fis un rapide tour du propriétaire, à première vue ce n’était pas une simple chambre d’hôtel, mais au moins de classe luxe, elle était spacieuse avec dans un coin plus feutré un bain a remous, la salle de bain était relativement grande avec une douche à l’italienne, le décor de la pièce était très romantique avec ses boiseries, ses draperies, et bon nombre de voile.

Je me retournai vers Léon pour lui demander si je pouvais m’absenter quelques instants dans la salle de bain, il me dit de prendre mon temps, car son ami avait bloqué la chambre jusque demain. Je m’éclipsai dans la pièce d’eau je revêtis l’ensemble que je venais d’acheter puis mis par-dessus un peignoir kimono en satin noir, je vérifiai mon maquillage. Puis le rejoignis dans la pièce principale d’un pas non assurer, Léon me rassura et me dit que j’étais parfaite. Il m’invita à prendre place pour qu’on puisse commencer.

Léon caché derrière son objectif se comportait en vrai professionnel, il tournait au tour de moi, corrigeait la position, replaçait une mèche rebelle, essaye de choisir le meilleur angle, shoot puis me guide pour la position suivante, et à chaque fois il recommençait son petit manège.

Minute après minute, position après position, je me sentais de plus en plus à l’aise, et commençait à me lâcher. Au fur et à mesure que la séance avançait Je me rendis compte que j’étais de plus en plus précise dans mes placements. Je pris même du plaisir à poser devant lui, Léon sentit que son modèle avait passé un cap et m’encourageait. Instinctivement je pris des poses qui ne méritaient pas de corrections. Le seul ordre qui sortait de sa bouche était continue ou bien parfait.

Après plusieurs shoots relativement sobres, sur la chaise, sur le lit ou bien drapée dans les rideaux de la chambre. Il me dit qu’il avait fait toutes les photos qu’il voulait et que je pouvais partir, je perçus dans le ton de sa voie une pointe de regret. Je fis l’étonnée, et je ramasse mon kimono de satin noir, et partis en direction de la salle de bain.

Il me rappela en me confiant que pendant le shooting, il avait eu des envies d’autre photo plus osées que celle qui l’avait prise. Je lui dis que cela m’avait beaucoup plu d’être prise en photo et que je pensais que ce qui venait d’être figé n’était que l’amuse bouche. Je lui rappelai qu’il avait la chambre à disposition jusqu’à demain matin, que moi j’avais ma journée et qui si on était tous les deux d’accord se serait un gâchis de pas pouvoir en profiter.

Je me permis quand même de lui demander de me commander des rafraîchissements, car j’avais une soif de pendu. Puis je luis demandais un moment pour que je puisse me refaire une beauté dans la salle de bains. Face à la glace je me demandais ce qui m’avait pris d’en redemander, ma petite voie coquine se rappela a mon souvenir, tu as pris du plaisir à la situation, et il n’y a pas de mal à être belle. C’est aujourd’hui j’ai l’occasion d’être une autre femme que celle de tous les jours, une femme libérée des carcans judéo-chrétiens libre de faire ce qu’elle veut de son corps sans penser au lendemain.

Je sortis de la salle de bain, me dirigea vers lui, bu une grosse gorgée d’eau, qui était arrivée pendant mon absence. Je demandai à Léon ce qu’il voulait faire maintenant. Il ne me donna que peu d’indication je devais prendre possession de l’espace de la chambre lui me suivrait, me Guiderait si besoin en était, c’était le moment ou mon côté salope voire chienne pourrais s’exprimer.

Je fis le tour de la chambre, le lit ou je me couchai sur le ventre, sur le dos, puis le fauteuil ou je me calai entre les accoudoirs, la fenêtre, au rideau et tenture ouvert, et à chaque fois le clac de l’appareil résonnait dans la chambre silencieuse.

Cachée complètement a son regard derrière les tentures, j’eus l’audace de dégrafer mon soutien gorge que je balançai a son regard puis toujours le soutien-gorge à la main je sortis de ma cachette et le lâcha. Je me dirige lentement vers le fauteuil Chesterfield en accentuant les ondulations de mes hanches. À mi-chemin, je m’arrêtai, bloquait mes hanches, puis je me penchai lentement, très lentement comme si je ramassais quelques choses.

Je le sentais malgré la distance physique, comme s’il était près de moi humant mon parfum, puis je repris mon chemin, j’arrivai au fauteuil je me penchai en m’appuyant sur les accoudoirs. J’accentue ma cambrure, et doucement j’ondulai mon postérieur, puis je lui jetai un regard coquin et me mordant la lèvre, et sourds clac de l’appareil retentit.

Puis je me redressai, et me mis à jouer avec l’élastique de mon string, sans attendre le commentaire je fis glisser mon string le long de mes jambes, je ne lui laissai aucun moment de répit, je lui envoyai ma lingerie au visage. Pendant tous ce petit jeu je ne me suis pas privée de l’observer, de lui jeter des œillades équivoques, de darder de sourire entendu, Il sait que je sais qu’il ne me regarde plus avec son œil de professionnel.

Il déposa son appareil, et me rejoignit, il posa délicatement ses mains sur mes hanches, elles sont chaudes et douce, il suivit délicatement les mouvements de mon bassin. Je collai mes fesses contre lui, je sentis tout l’effet que je lui faisais son membre n’était déjà plus au repos, je me redressai, il tenta de m’embrasser, je le repoussai en lui disant que ceci était le seul interdit de la journée.

Il tomba dans le fauteuil, je débouclai sa ceinture, déboutonna son pantalon y infiltra ma main afin de libérer son vit, il était dur, en pleine puissance, brûlant de désir, je l’embrassai, le titilla du bout de la langue, en tournant tout autour, son sexe durcit encore, ensuite j’englobai son gland dans ma bouche, le suça doucement pendant quelques instants, puis tout doucement j’entre un peu plus sa hampe dans ma bouche, intensifiant mon pompage.

Je sentis sa main se poser sur ma tête, à chaque fois que sa queue entrait dans ma bouche il accompagnait le mouvement et insidieusement il me faisait l’avaler de plus en plus. Puis il me demanda de le tailler sans les mains, je retirai ma main continuant mes succions jusqu’à ce que son gland et ma glotte s’entrechoqua. Ce qui provoqua un râle d’étouffement.

Il libéra sa prise, me prit dans ses bras et me déposa sur le lit, sans ménagement il me retourna tête dans les oreillers, Léon se mit alors à genou, bascula ma croupe, je n’eus pas le temps de me demander ce qui se passait que son prépuce frappa déjà à la porte de mon mont de Vénus.

Lentement il entra en moi centimètre après centimètre, lorsqu’il n’avança plus, il recula et revint encore et encore dans une lenteur irréelle, lorsqu’il butta au fond de mon antre. Léon repris ses allées et venues tout en accélérant régulièrement la fréquence. Je me sentais toute chose brûlante, mes sens étaient exacerbés, mon cœur s’emballa, ma respiration se saccada.

Baf ! de je ne sais où sa main percuta lourdement ma fesse droite, je laissai échapper un « Oh oui ! » grave, à peine remise de cette fessée que déjà une deuxième claque s’abattit sur mon cul et puis une troisième, j’en redemandai, car chaque impact me propulsait plus loin cet orgasme puissant, qui se déchirait mes reins, je ne pouvais plus contrôler cette boule d’énergie qui sortit de ma gorge en une explosion de cri et de trémolo de jouissance, lui de son côté se retira me laissant sombrer dans ce chaos sensuel.

Alors que je sortais de ma torpeur, il est à mes côtés nu son sexe toujours au garde à vous il me dit qu’il sait que j’aime, qu’il dirige nos ébats et me dit empale-toi dessus. Je me mis à califourchon, il m’arrête, et me dis que je dois mettre dos à lui. Je corrige la position et cette fois-là s’était moi qui le travaillai. Il entra en moi facilement, tellement que je suis encore trempée de la toute à l’heure, je m’appliquai, a chaque flexion de mes jambes il pénétrait plus profondément en moi.

Il m’attrapa les cheveux, les nouant dans sa main, j’accélérai mes mouvements sous ses encouragements. Je le sens au fond de moi, par son pouvoir il contrôlait totalement notre passe d’arme, chaque fois que j’allais trop vite ou qu’il était sur le point de craquer, il me stoppait en tirant par les cheveux.

Lentement mais sûrement nous commencions à vibrer à l’unisson, nos râles se répondaient, sans crier gare il relâcha son étreinte et nous explosèrent dans un duo de chant orgasmique.

Il a tout lâcher en moi, tellement que je sentais son jus mêlé a ma cyprine couler de mon con, et ruisseler sur mes cuisses, nous sombrons dans sommeil bien mérite après une tel après midi

Lorsque je me réveillai je vis par la fenêtre que la nuit était déjà tombée. Je me levai, et sans le faire exprès je le bousculai ce qui le tira de son sommeil. « Que fais-tu ? » me demanda-t-il je lui dis que j’allais prendre une douche, puis rentrer chez moi.

Je me précipitai dans la salle de bain et profita de la douche a l’Italienne, plus que de raison je le sentais sa présence et je savais qu’il me photographiait, mais je fis comme si de rien n’était. Je me rhabillai et je pris la poudre d’escampette vers mon nid douillet, sans demander mon reste, je ne revis jamais Léon, mais de cette histoire j’en garde un souvenir merveilleux.

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