La petite Quenottes

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Une cryptozoologue, appeler pour voir des cadavres aux marque qu’aucun médecins légistes, ne peux déchiffrer les marques causées par des animaux. Arriver sur place Amara, ce fait interpeller pour la chambre mortuaire de l’hôpital d’un village perdu en France.

- Bonjour, vous déviez être la cryptozoologue ?

- C’est ça et vous le médecins légiste ? (Vue le feeling elle n’espère pas)

- Non, il va arriver, pas trop compliquer le boulot ? vous vous faite pas trop chier ?

- C’est un boulot comme un autre, juste mieux payer. Répond telle avec un sourire bien dessinée aux milieux de son visage.

- D’accord je vois, je vous prie de m’excuser, je vais aller chercher le Doc. Le jeune homme quitte la pièce, à l’instant où il prend la porte et murmure un Connasse en referment la lourde derrière lui.

Amara, regarde les deux draps blanc et remarque vite la différence de taille sûrement un enfant et un parent. Comme à son habitude elle n’a que les détails au moment où elle voit le médecin, mais vue qu’il décide de prendre son temps. Elle prend l’initiative d’ouvrir le premier drap donc le plus petit des deux corps. Le corps sans vie d’un enfant de 10 ans à l’étiquette qui s’emble indiquer qu’il se nommé Théo. Une maque autour de la gorge comme si on avait essayé de l’étrangler, mais n’est pas la cause de la mort, la cause c’est que quelques choses et rentrer part son œil droit, une morsure ou une griffure à la lèvre basse droite. Plein de minuscule griffure sur son corps et son visage.

- Bonjour, je suis le médecin. Je vois que vous avez fait connaissance avec notre ami Théo.

- Bonjour, c’est exact, notre ami me dit que c’est un petit animal, comme je peux le constater ne serais pas plus gros qu’un jeune rat, sinon jamais il n’aurait pu passer l’orbite de Théo.

- Vous avez juste, madame ? Le médecin laisse un blanc, comme guise d’avoir réponse.

- Vous pouvez m’appeler Amara.

- Bien, j’ai trouvé sur le père, des poils de souris. Au même instant il enlève l’autre draps.

- Doc, avant de s’attaquer au père peut-ont finir avec Théo s’il vous plait ? ou aurai-je déjà tous vue de lui ? demande telle en même moment qu’elle prend des gants poser à l’entrée de la pièce comme à disposition.

- Bien évidemment, je pensais que vous l’avez déjà inspecté vue la conclusion. Celui-ci lui ouvre la mâchoire du corps sans vie, Amara quant à elle se penche au-dessus pour regarder à l’intérieure de sa bouche. Ou plus dents n’est l’intérieure, sauf une atteinte d’une petite carie et son œil posé sur la langue comme un trophées avec sans impacte directement à sa prunelle, dilatées et flaccide comme chaque œil mort.

- J’ose ? demande -telle avec un air dégouté et impressionnée.

- Oui, vous pouvez. On a eu tout accord de la mère.

- D’accord, ouvrer sa mâchoire le plus que possible, je vais essayer de le sortir.

Pendant qu’elle le sort délicatement, Amara sent qu’il n’est plus attaché au nerf optique, alors le laisse dans sa bouche car ce n’est pas à elle de l’enlever. Elle jet ces gants bleu en plastique à la poubelle, sort son téléphone portable dans sa poche de pantalon en jeans noir. Elle écrit en détaille ce qu’elle à vue à un numéro.

- Je suis désolé Doc, j’ai besoin d’une cigarette. Dit-elle en sortant de la pièce et part à l’extérieure de l’hôpital. Sans avoir quitter le regard de l’écran et s’allume une clope et passe un appelle. Mais le destinataire ne décroche pas. Mais après quelques minutes, la personne rappelle.

- Ma chérie, qu’est-ce qu’il se passe.

- Salut, maman. Je voulais te dire que je ne pourrais pas rentrer pendant environ une semaine, je suis sur une grosse affaire et pour une fois ça ne peut pas être un humain.

- D’accord, ma porte sera toujours ouverte, tu me dis quand tu pourras être là.

- Maman, tu ma foutu à la porte au moins quatre fois si ce n’est pas plus, mais là je te le demande pour les jumelles, je veux que tu les traite bien… sinon bas tu les verras plus et moi non plus tu as compris ?

- Oui ma fille, j’ai compris.

- Bien. Je vais reprendre le boulot, c’était ma pose clope. Amara raccroche et retourne à la chambre froide, ou le médecin légiste n’est plus.

Elle reprend des gants et soulève à nouveau le drap, que le doc à sûrement remis au moment de quitter la pièce. L’étiquette indique un homme d’environ 40 ans et nommé Mr Antoine Dubois. Plusieurs marques de griffures et morsure sur tout le corps, mais le visage et le plus impacter. Presque toutes les dents arracher à par celle toucher par des carries et une en arrière ancré. Cause de la mort, mordue directement dans la jugulaire.

- Finalement, tu as beaucoup moins souffert que ton fils. Réplique celle-ci qui le recouvre pour une dernière fois, avant la mise a terre.

- Ah vous êtes revenue, en peux s’attaquer à Mr Dubois. Interromps le Médecin en rentrant dans la pièce.

- Ah Doc, non c’est fait, il me faut les coordonnées de la mère. Amara se débarrasse de ces gants en attendant que Mr Gabriel Laurent, médecin légiste écrive les réponse sur un posthite.

Une fois, qu’elle a eux toute information fais c’est salutation au Doc et part en la direction de sa voiture bugatti noir, Amara part à l’hôtel le plus proche ou la mère a une chambre d’office.

Arriver dans la ville d’à côté, un hôtel miteux se trouve posé au bord de la route, Amara se parque et sort de la voiture ou elle s’allume une cigarette avant d’aller à l’accueille du bâtiment.

Pendant qu’elle consume sa clope, elle écrit se qu’elle a vue du corps sans vie de Antoine Dubois, au même numéro que celui du rapport de Théo.

Dès qu’elle finit, Amara rentre dans l’établissement puis se dirige à se qu’elle prend pour un accueille ou un grand I pour information et écrit en bleu et blanc. Une vielle dame qui aurais du prendre retraite depuis déjà des années comme fossilisé sur sa chaise se tourne en la direction de celle-ci beaucoup plus jeune qu’elle-même.

- Bonjours c’est pourquoi jeune femme, une chambre ou c’est pour ramener clients ? demande la vielle au dentier qui grince à l’haleine bien pesante.

- Non vielle bick, je cherche madame Dubois.

- Bien, elle et à la chambre numéro 5, en haut à gauche, vous aller trouver ou il vous faut quelqu’un pour vous tenir la main ? Répond celle-ci en fouillant dans son livre.

Sans prêter attention à sa réflexion, elle longe le couloir jusqu’au escaliers en claquant ces talons sur chaque marche et tape à la porte qu’elle cherche.

- Bonjour, c’est pour quoi ? demande cette femme, cette mère encore dans son deuil, en même temps cela ne fait à peine deux semaines.

- Bonjour, toute mes condoléances, je dois vous importuner avec quelques questions s’il vous plaît.

- J’ai déjà tout dit à la police et ma famille son partie en autopsies. Demande celle-ci qui commence gentiment à perdre patience.

- Je le sais, je travaille avec le médecin légiste, je ne pourrais pas en dire d’avantage, mais je ne pourrais trouver le coupable, si vous ne voulez pas me parler. Amara tourne les talons directions les escaliers.

- S’il vous plaît revenez. Demande celle-ci qui part en lambeau de larmes.

- Bien, habiller vous madame Dubois, je vais vous payer à boire, je vous attends vers ma voiture. Amara descend en attendant celle-ci et regarde sur son portable, où se trouve le bar le plus proche.

Amara, s’allume une cigarette et se tient sur sa portière gauche et attend que madame du bois la rejoigne ce qu’elle fait quasiment directement. Quant Amara fini de fumer, elles prennent place dans la voiture jusqu’au bar de la ville et prenne un coca chacune.

- Madame, merci pour le verre. Dubois, ce remet à pleurer après tous c’est malheur vécue.

- Oh, vous pouvez m’appeler Amara. On va devoir faire équipe, un peut vous le voulez bien madame Dubois ? demande celle-ci, on lui passant un mouchoir.

- Vous pouvez m’appeler Ambre également, poser moi vos questions.

- D’accord Ambre, pourquoi tu n’étais pas avec eux ? Réplique Amara, en écrivant discrètement sur son portable, les réponses donner par madame Dubois.

- J’étais en Italie, en voyage d’affaires. On devait passer le week-end dans la maison, je devais les rejoindre. Celle-ci se remet à larmoyer et tremblant de toute place.

- Je suis désolée, de te faire vivre sa Ambre. Console Amara en la caressant l’épaule.

- La maman d’Antoine vient de décédé, mais elle n’avait pas ces marques à l’enterrement. Elle à toujours vécu dans cette demeure. Dire qu’ils sont juste aller pour trier et vidé la maison, pour quand puisse la vendre.

- D’accord, est-ce quelqu’un savait que vous allez débarrasser la maison ? D’un air étonné demande Amara, en baissant le regard sur son écran, pour la future question.

- Non, il me semble quand la dit à personne, Théo n’a pas supporter le décès de sa grand-mère. Il sait beaucoup refermer sur lui. Explique cette mère qui n’arrive pas à calmer sa tristesse.

- Désoler de demander ça, mais c’est bien vous qui avez trouvé votre famille ? demande Amara qui regarder les yeux coulant de cette femme démunie.

- Oui, mon fils sait trainer jusqu’à la porte d’entrer, mais na pas eux assez de force pour l’ouvrir et mon mari dans le couloir.

- D’accord, je comprends que ce n’est pas facile, je vais vous ramener à l’hôtel et aller sur les lieux.

Amara la ramène devant l’hôtel et par en la direction de l’adresse noté sur le posthite. Elle sort de sa voiture et enlève ces talons pour des basquets discrète, prend une lampe de poche de son coffre, une cage de transport pour rangeur en plastique. Puis ouvre la porte et essaie de se faufiler entre les rubans de la police, une fois à l’intérieure elle allume sa lampe. Elle remarque encore les marques de sang de Théo et que rien na bouger depuis l’accidents. Amara traverse la maison trouve une seconde flaque de sang surement celui du mari, juste en face une petite boîte en fer, avec un dessin d’une souris dessus. Amara, la prend et l’ouvre au seul ou qu’à ou quelques choses en sort, mais étonnamment elle et remplis de dents. Oui les dentitions qui on disparus aux corps sans vie des victimes. Un bruit de pas la fais lever la tête, elle remarque sous un meuble qu’il y a quelques choses de petit et blanc. Elle l’attrape et vois que c’est une dent de lait. Elle la dépose dans la boîte avec les autres, referme la boîte et la glisse dans sa poche. Amara va voir la chambre que le petit aurais squatter, mais en sortant de la chambre elle vue un parcourt de ficelle d’une chambre à l’autre. Alors que le soleil peine à rentrer, car la police à fermer les portes, les stores des fenêtres. Amara calmement et doucement, rouvre tout sur son passage, comme pour laisser vie reprendre souffle de la maison.

Amara revient dans la chambre d’Antoine, quand il était petit et ouvre également le store et elle entend quelque chose entrer en vitesse dans la bibliothèque de la chambre. Elle regarde et voit un troue dans le bois et qui part profondément dans le mur, elle allume la lampe qu’elle venait à peine d’éteindre, mais appart de la poussière qui former minuscule chemin, plus toiles d’araignées rien ne se mis à la lumière. Amara sortie la boîte à dents de sa poche et la secoue doucement, mais aucune réaction attendue ne se fut.

- Salut, ton chez toi n’est pas très propre… écoute en va cohabiter ensemble, le temps que tu ne te montre pas. Bon c’est simple tu n’auras pas tes trophées. Amara referme le store de cette pièce et part vers sa voiture, se changer un ensemble de training confortable noir, prend un pyjama tout aussi noir et change de cage de transport en métal et prend une pince.

Amara vient s’installer dans la chambre, elle prépare un piège à souris avec une dents à l’intérieure et le pose au pieds du lit. Pendant qu’elle attend que le piège fonctionne elle met son téléphone à charger, puis se regarde un film. Mais après quelques bonnes heures à attendre elle s’endort.

Mais comme un murmure elle se fais réveiller, par une douce musique venant du rongeur, qui tourne au tour du piège, comme pour dire qu’elle est plus intelligente des autres.

- Salut, belle petite souris des dents, si tu veux récupérer toutes tes dents elle son dans le sceau vert derrière toi.

Comme si elle a compris elle regarde, mais Amara l’attrape avec sa pince et la met doucement dans la cage et l’enferme et la regarde sur tout c’est angle. Pendant que ce rangeur la feule, dessus comme aucune souris ne le fais avant elle. Elle ne la lâche pas du regard.

- Oh, tu es une madame… blanche albinos, mais tu as un œil blanc comme s’il n’y avait jamais eux d’iris. Quelques taches de sang et encore des blessures ouvertes. Une oreille que tes congénères ou un chat aurais mordu.

Amara pose la cage sur le lit et prend la dent dans le piège, elle remarque vite que la souris ne quitte pas la dent du regard.

- Écoute, on va faire un marcher, tu va me suivre et je te redonne tes trophées.

Elle rembarque ces affaires et la bestiole, sans oublier sa boîte de pandore et prend sa voiture pour enfin rentrer direction le centre C.P.P.C.E Pour être plus dans le détail cryptozoologie protecteur paranormal des créatures qui ne devrais pas exister.

Pendant tous le trajet Amara entendais la musique de cette petite bestiole, qui coupais sa chanson en lui disant je m’appelle Quenottes, qu’il ne faut pas toucher. Cette souris regardait la boîte à dents qui est posé à côté d’elle, mais sans pouvoir toucher.

Arriver au portail du centre, Amara montre sa tête a une caméra et la barrière automatique se lève pour la laisser rentrer au parking. Une fois parquer, elle sort avec la souris et la boîte à dents puis prend un ascenseur ou elle monte dans un hall. Ou tout est vitrée, mais comme la nuit et tomber on ne vit rien, mais depuis l’extérieure en ne voit que l’entrer du parking et des kilomètres de nectar de mur de plus de 50 mettre de haut. Une colonne remplie d’ordinateur, mais un homme un peux bouffit la vois et se lève de derrière son écran.

- Amara ce n’est que toi, ouf j’ai cru que c’était le grand chef, la chasse étais bonne ? demande t’il avec un rire nerveux qui laisse sortir une fossette de sa joue en dessus de sa barbe brune.

- Berry, comment tu va ? ça va ? désolée comme tu vois j’ai les mains prises, je suis débordée à tout à l’heure ou à demain.

Amara rentre dans l’ascenseur le plus proche et monte à l’étage numéro quatre. Quand les portes s’ouvrent elle marche rapidement jusqu’à son bureau ou sur la porte et écrit Keller. De son nom complet et Amara Keller Burke. Elle ouvre un grand terrarium à vitre contre bale, elle glisse de la nourriture pour souris et de l’eau, une gamelle de sang et la boîte à dents ou elle l’ouvre doucement et ferme le terrarium. De la cage de transport qui va avec le terra elle le colle contre le mur en bas à gauche et le rongeur courts dans la plus grande cage. Amara écrit sur un bout de papier Quenottes et le colle sur le terrarium, écrit en grand dangereux déjà deux mort ou peut être trois. Puis prend un matelas et se couche à côté de sa nouvelle amie qui c’est remis à chanté sa musique, ce qui la endormis.

Samara et Samira chap.2

Le lendemain, Amara se fais réveiller en sursaut par son patron qui la regarde avec un regard noir.

- Tu as encore dormi ici ? tu préfère dormir à côté d’une bestiole horrible qui a tué et qui mérite quand la coupe en deux plutôt que rentrer chez toi ? demande celui-ci qui lui attribue un café au lait.

- Nathaniel Taylor, oh merci pour le kawa, écoute mon mari me manque et je voudrais vraiment recoucher avec toi, mais laisse-moi faire mon deuil tu veux bien ?

- Je t’attendrais quoi qu’il arrive, on a aussi eu une fausse alerte sur un ourse tueur, mais avec de la recherche approfondit, elle été sous cocaïne et elle protégée ses petits en la mise sous désintoxe et en attend de nouveaux appelle part médecins légiste.

- D’accord, je vais aller me fumer une clope et merci pour le café. Elle l’embrasse sensuellement avant de quitter la pièce et de descende à l’extérieur, ou se trouver plusieurs personnes qui fume et bois leurs café du matin.

Après avoir consommer toute sa cigarette, elle remonte à son bureau ou elle donne de l’eau fraiche à Quenottes. Amara la regarde plus attentivement, elle remarque que c’est une souris show une race connue pour leurs concours de couleurs et souvent utilisée pour les laboratoires. Elle s’assoit face à son ordinateur, écrit son rapport avec les cadavres et l’approche avec la souris. Après plus de deux heures à écrire et lire des dossiers de créatures. Son téléphone retenti.

- Salut, maman qu’est-ce qui se passe ? Demande Amara presque inquiète.

- Ouais ! Viens chercher tes salle gamines, j’en ai marre… les ont le même salle caractère que toi en plus sauvage.

- Maman ! Je travail, tu te fou de ma gueule ? leur grand-père et en voyage et elles été là pour toi pendant une seule semaine.

- Je suis devant ton boulot, je veux que tu viennes les récupérer et en se verra à noël !

- N’y compte pas !

La mère d’Amara raccroche, tandis qu’elle part aussi rapidement que possible de son bureau à la porte d’entrer du centre. Les deux jumelles en pleur se retrouve devant la grille. Amara les fait rentrer dans l’immeuble en vitre et les ramène à une cafétéria ou elle prenne boisson de leurs choix.

- Samira, Samara expliquer moi, il c’est passer quoi pour que votre grand-mère s’énerve autant ? demande la mère, presque trop furieuse pour les regarder en face.

- Maman.

- Maman, promis ce n’est pas notre faute, elle fessait à manger le voisin et venue l’engueuler et elle s’en a prise à moi regarde mon bras. La grand-mère, la couper avec un couteau à steak.

- Oh ma puce, je suis tellement désolée aller vient en va a l’infirmerie toi Samara tu restes ici ok, tu ne bouges pas.

Amara passe à l’accueille demandant à Berry de rester près de son autre fille rester à la cafétéria et part en la direction de l’infirmerie. Au moment de rentrer dans l’infirmerie, Amara se fais interpeller par l’un des sécurités qui sont normalement à l’entrer du centre.

- Rick, je sais les enfants ne son pas les bienvenues et sa peut être très dangereux, je vais appeler quelqu’un pour qu’il vienne les chercher.

- Au moins tu connais les règles, donc tu c’est que Mr Taylor sera avisé.

- Oui, va lui dire et oublie pas de dire que ma fille la chair de ma chair et blesser.

- Oui madame Keller.

Elles rentrent dans la pièce et en attendant que Samira soit prise, Amara contacte chaque personne qu’elle connaît et une amie à elle la répondu, qu’elle passerait la semaine avec les filles. Mais qu’il faut juste attendre qu’elle vienne les chercher. Après que l’infirmière l’ai cousue, Amara ramène les filles au portail ou son amie arrive les récupérer.

- Merci beaucoup Cindy. répond Amara avant d'embrasser ces filles et de retournée dans son bureau.

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