Chapitre 17  Une visite !

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Jour 13 (samedi semaine 2) suite

### Amina ###

Pierre rentrait avec un grand sourire, il était content d’avoir trouvé rapidement l’information manquante. Il me communiqua très rapidement cette donnée.

Mais il me regardait avec attention et me demanda :

– Amina que se passe-t-il ? Tu as l’air malade, on dirait que tu as vu un monstre ou quelque chose de pareil.

– Non Pierre je suis juste un peu fatigué, j’ai l’impression que le somnifère que maman m’a donné hier soir agit encore !

– Tu veux rentrer après le repas ? ou désires-tu t’allonger dans une des chambres pour te reposer ?

– Je verrais après le repas mais je veux rester ici ; merci !

Puis Ninah annonçait que le repas était prêt, elle me souriait en disant

– Monsieur, je vous ai préparé un agouti* qu’un de mes cousins a chassé la semaine passée, c’est donc de la viande de brousse mais d’origine certaine ! et pas une viande de brousse dont l’origine est inconnue ! Vous allez vous régaler !

Je voyais le sourire de Pierre s’agrandir et il félicita Ninah :

– Ninah, tu ne peux pas savoir comme tu me fais plaisir, je n’ai plus mangé cet animal depuis au moins dix ans !

– Monsieur je l’ai préparé suivant la recette de ma famille ! Je ne vous donnerai pas la recette car elle est secrète !

– Je te crois volontiers, ça sent bon en tout cas ! Ninah, viens manger avec nous, il y a assez pour nous trois et ce serait dommage de ne pas en profiter.

– Mais Monsieur, je n’ai pas le droit de manger avec vous !

– Ninah, va chercher une assiette et des couverts ! Je ne veux pas de discussion, si on est en privé j’ai le droit de décider qui vient manger à ma table et ce mets d’exception se mange avec les gens que j’invite !

– Oui Monsieur !

Ainsi donc Pierre avait décidé, j’étais heureuse, j’étais certaine que Ninah obtiendrait de loger dans la boyerie.

Le repas fut effectivement succulent, l’animal était parfaitement préparé, et Pierre à la fin du repas dit :

– Ninah, c’était encore meilleur que dans mes souvenirs, Amina et moi on s’est régalé ! Comment te remercier ?

– Oh, Monsieur dit-elle, je ne vous demanderai qu’une petite faveur : pour des raisons personnelles je voudrais changer de logement. La cohabitation avec ma tante devient de plus en plus difficile et il y a ici dans la villa une pièce qui a servi de boyerie et qui n’est plus occupée. Avec un lit et une petite armoire on pourrait la rendre à sa destination originale. Il y a une porte extérieure et une qui communique avec l’intérieur. Cette porte a été condamnée mais pourrait être débloquée. Comme cela, je serai encore plus disponible quand vous aurez besoin de mes services…

– Ninah, tu seras donc disponible tout le temps ? c’est bien ! Tu verras avec Benjamin (le boy) et Samuel (le jardinier) pour rendre cette pièce totalement habitable. J’avertirai les gardiens que tu viens habiter dans la maison. Il y a une condition cependant et elle est importante : tu y logeras seule pas de visites, ni de la famille, ni de petit ami ! C’est d’accord ?

– Oui, Monsieur, pas de visites je logerai seule !

Et elle se leva en vint coller un gros bisou sur la joue de Pierre en le serrant très fort. Pierre rougissait de cette marque d’affection et de remerciement mais ne dit plus rien.

Dans l’après-midi, pendant que Pierre et moi on travaillait dans le bureau, il y eut un peu de remue-ménage dans l’arrière de la maison, mais vers le soir avant que Zakpa me reconduise à ma maison, Ninah vint nous annoncer triomphante qu’elle avait déménagé et que sa tante lui avait même donné son lit. Elle vint dans la plus pure tradition se mettre à genoux devant Pierre en disant :

- Merci Papa*, je vous suis reconnaissante, je serai votre servante pour toujours.

Pierre ne voulait pas de cette marque de soumission et releva Ninah en la prenant par la main et lui donna un baiser sur le front.

Ninah se retirait en sautillant de joie, et demanda à Pierre ce qu’il désirait manger ce soir.

– Un peu de pain et de la charcuterie me suffira Ninah, dit Pierre

Je saluais Pierre et lui souhaitais un bon dimanche, car je restais avec maman jusqu’à lundi.

Je sortis par la cuisine pour dire au revoir à Ninah, qui m’embrassa brièvement sur la bouche en me remerciant. Je m’étais fait une nouvelle amie et alliée !

### Pierre ###

Avant le repas du soir je demandai à Ninah de me montrer son logement, nous passâmes par la porte qui avait été ouverte, Ninah me signala juste que cette porte ne pouvait plus être verrouillée mais que lundi un ouvrier viendrait la réparer. La porte extérieure par contre était sécurisée. Je donnais donc instruction à Ninah de garder la porte extérieure toujours close et verrouillée.

La chambre était sobre mais propre, le coin douche/toilette était nettoyé à fond et sentait la javel. Le lit reçu de sa tante laissait de la place pour y ajouter plus tard un siège et une petite armoire. J’étais satisfait.

Après le repas, je regardais encore un peu les nouvelles à la télé, puis je regagnais mon lit.

*Agouti : aulacode (Thryonomys swinderianus) à ne pas confondre avec l’agouti d’azara qui vit en Amérique du sud, est un ragondin, avec le rat palmiste ils sont les plus populaires de petit gibier dans les recettes de viande de brousse. Délaissé aujourd’hui à cause de l’Ebola.

* « Papa » est ici une marque de grand respect vis-à-vis d’une personne plus âgée et n’a pas de sens familial.

Jour 14 (dimanche semaine 2)

### Pierre ###

J’avais décidé ce matin de faire la grasse matinée, la maison était silencieuse. Mais je restais encore volontiers un peu dans mon lit car la nuit précédente Lysa m’avait épuisé et Amina et moi avions potassé le dossier pour le présenter rapidement à la réunion de la réorganisation.

Ce rapport était purement informatif mais permettait à la réunion de poser les questions au fur et à mesure des enquêtes.

J’étais encore dans mon lit lorsque Ninah rentrait dans la chambre avec mon téléphone qui sonnait en main.

– Monsieur, je suis désolé mais votre téléphone était sur la table du salon !

– Merci Ninah, allô ?

C’était Brigitte, une de mes « copines sexuelles » qui venait d’atterrir à Kin et demandait de mes nouvelles. Je lui donnai mon adresse et l’invitai à séjourner chez moi durant son escale. Elle repartait déjà lundi matin, ce ne serait pas long mais cela tombait juste un dimanche et cela promettait un bon moment de plaisir !

Je mis un short et allai dans la cuisine signaler à Ninah qu’on avait de la visite jusqu’à lundi matin.

Ninah me regardait avec envie, détaillant mon corps avec un grand sourire (concupiscent ?) et répondit :

– Oui, Monsieur, dois-je préparer une chambre visiteur ?

– Bien sûr répondis-je en pensant ne fusse que pour sauver les apparences ! Et nous mangerons ici ce midi, ce soir et au petit-déjeuner lundi.

– Bien sûr Monsieur répondit elle en regardant mon torse avec envie.

Ninah, que pensait-elle ? Son top blanc montrait à l’évidence les tétons de ses seins pointant à travers le tissu et son short vraiment mini montrait ses petites fesses qui me donnaient envie ! Sa taille n’était pas très grande, elle m’arrivait à peine à l’épaule et à part ses nichons elle avait encore une allure d’adolescente. J’étais entouré de femelles en chaleur ! Lysa, Amina et maintenant Ninah, je devrai redoubler de prudence. Mais je pensais à Brigitte qui sera là dans une heure au plus, à ses seins qui m’ont fait fantasmer tant de fois !

Il faudra que je la prévienne de ne pas se balader toute nue dans la maison comme à son habitude ! Car lors de ses visites je ne voulais pas avoir du personnel de maison présent mais ici avec Ninah résidente ce n’était pas possible ; d’autant plus que celle-ci marchant pieds nus elle se déplaçait en silence.

Enfin ! Le taxi déposa Brigitte devant la villa, c’est Ninah qui ouvrit la porte et en voyant ses yeux s’écarquillant d’étonnement, je compris qu’elle était scotchée sur les seins de Brigitte. Malgré son uniforme très strict, je crois que dans l’avion elle devait faire bander tous les passagers mâles et jalouser les femmes !

Ma main n’était pas assez large pour saisir ses seins naturels, elle me l’avait certifié dès notre première rencontre et vérification faite elle n’avait aucune trace d’une intervention chirurgicale ! Et pourtant lorsqu’elle était nue, sa poitrine montrait à peine l’effet de l’attraction terrestre ! Brigitte était très sportive et entretenait son physique

Dès qu’elle me vit, elle lâcha son bagage cabine et se rua sur moi en me roulant une pelle passionnée, Ninah d’abord pétrifiée prit la valisette pour la porter dans la chambre visiteur.

En m’embrassant, elle ne put résister à mettre une main sur mon entrejambe pour tâter mon sexe qui l’avait reconnue comme un chien fidèle !

– Où est ta chambre ? parvint-elle à dire hors d’haleine.

– Viens dis-je.

À peine la porte franchie, son uniforme volait/décollait dans les airs et pas cinq secondes plus tard nous étions debout mais nus ! Je sentais une main ferme sur ma verge pendant que je mis un sein en bouche.

– Pierre, j’ai une bonne nouvelle : je suis mutée sur le vol Casa – Kin et retour en alternance avec d’autres vols au départ de Casablanca pour quelques mois, les escales sont courtes seulement 24 heures mais on trouvera sûrement le temps de se voir quelques fois !

– C’est effectivement une bonne nouvelle !

Elle me poussa sur le lit, se mit en dessous de moi puis mit ses nibards/mamelles autour de ma verge et me fit une cravate de notaire qui est un nos fantasmes ensemble ! Je fis aller et venir mon pieu entre ses seins et à chaque poussée elle essayait de le mettre en bouche. Il y avait longtemps que nous n’avions plus pratiqué ensemble ce plaisir hautement érotique !

Je ne réalisais plus que nous avions nos habitudes car la branlette finissait immanquablement dans sa bouche !

### Brigitte ###

En arrivant à la villa de Pierre, je devais admettre qu’il était particulièrement bien logé ! Beaucoup mieux que la mission précédente, il avait vraiment de la chance.

J’étais content de le retrouver, il a toujours été un bon amant en fait sex-friend, car notre accord était « du sexe, pas de sentiments » et ça fonctionnait déjà au moins cinq ans.

Après notre embrassade et premier jeu, on était sur son immense lit en soixante-neuf, le plaisir des caresses buccales ne s’était jamais érodé, Pierre savait employer sa langue et il était particulièrement performant quand en même temps je lui suçais son gland.

Il ne fallait pas longtemps pour que j’atteigne le nirvana et j’eus juste le temps de le faire éjaculer dans ma bouche. J’ai toujours aimé le goût de son sperme, il était plus sucré que celui d’autres sex-friends. Pierre me suggérait d’aller manger avant le deuxième round en précisant que la boyesse résidait dans la maison. Et qu’il ne fallait pas choquer cette jeune file en courant nue comme à mon habitude ! Je mis donc une blouse longue qui montrait plus qu’elle ne cachait mais cette Congolaise dans sa brousse devait savoir comment étaient faites les femmes.

Pierre avait revêtu un peignoir léger qui laissait quand même un bel aperçu de son torse. Ce n’était pas un apollon mais il était bien foutu, suivez mon regard (non plus bas !). Nous prîmes place à table et une jeune fille vint nous servir. C’était elle qui m’avait ouvert la porte ce matin, mais je n’y avais pas fait attention, car j’avais plongé immédiatement sur la bouche de Pierre. La boyesse était vraiment mignonne, petite mais bien proportionnée. Le repas qu’elle présenta sentait très bon et elle avait un grand sourire en regardant Pierre. Lorsqu’elle me regardait, elle était très joyeuse et pas un soupçon de jalousie comme la servante de Pierre la fois passée. Mais son regard admiratif se portait vite sur ma poitrine ! Elle regardait mon corps sans aucune réaction négative, je dirais même qu’elle était contente de ma présence. Je constatais que son regard était lubrique, Toi, ma fille tu n’es pas innocente ! Je constatais que ma blouse était grande ouverte et ça avait l’air de lui plaire.

Lorsqu’elle s’était retirée dans la cuisine je demandais à voix basse :

– Tu l’as déjà mis dans ton lit ? Un beau brin de fille pareil ne doit pas te laisser indifférent.

– Non, répondit-il peut-être un peu vite, Je ne consomme pas des jeunes filles noires !

Ouais, cause toujours !

En venant desservir, elle proposa des fruits, dans un français parfait en s’adressant à moi avec « Madame ». Pierre me confirma qu’elle avait suivi des cours chez les sœurs qui lui avaient aussi appris la cuisine. De plus elle venait d’une famille bien cotée et avait déménagé depuis la veille dans la villa.

– Je ne serais pas jalouse ni surprise qu’elle finira bien dans ton lit ! Allez viens grand vicieux que je calme tes ardeurs avant que tu ne la violes !

Je lui pris la main et on s’installa dans le grand canapé du salon, Une fois que la boyesse avait rangé la table, on était seuls et je m’assis à califourchon sur Pierre pour bien sentir son pic contre mon bas ventre. Je faisais onduler légèrement mon ventre et très vite je sentais une bosse contre mon clitoris.

– Oh Pierre, tu es en forme ! Les tropiques te font du bien à ce que je constate, suce mes seins, profites-en !

– Oui Brigitte, je vais certainement en profiter, je t’ai déjà fait jouir par le passé rien qu’en jouant avec tes seins, es-tu toujours aussi sensible lorsque je te touche avec mes mains et ma bouche en te disant des choses excitantes.

– Oui Pierre tu es le seul à me donner un orgasme par mes seins, j’en ai envie, j’ai serré mes cuisses durant tout le vol en espérant de te voir aujourd’hui !

### Ninah ###

Dans la cuisine, j’entendais vaguement des murmures venant du salon, cette femme était vraiment belle et j’étais content pour Monsieur qu’il puisse avoir de la compagnie. Ce matin j’avais déposé sa valisette dans la chambre visiteur, mais elle n’y était allée qu’en fin de matinée pour prendre sa blouse. Cette femme était d’une classe bien supérieure aux putes qui venaient chez le vieux DG ! Elle était gentille et répondait à mon sourire. Ils avaient eu du sexe ce matin c’est certain, mais avec tendresse, ce n’était pas une pute mais une amie de longue date. J’avais vu comme ils s’étaient embrassés à son arrivée. À table ils avaient des regards complices.

Mais que font-ils dans le salon, je n’entends rien sauf quelques soupirs !

Si je risquais un coup d’œil, de la cuisine en ouvrant un tout petit peu la porte j’avais une vue sur l’ensemble de la salle à manger et du salon !

J’avais déjà remarqué que toutes les portes étaient très silencieuses, elles s’ouvraient toutes sans le moindre grincement. Je l’avais constaté lorsque la semaine passée, j’étais venue dans la chambre de Monsieur pour le réveiller et que je l’avais trouvé nu dans son lit !

La porte ouverte sans un bruit, je vis la femme dont la blouse était totalement ouverte sur ses seins magnifiques et Monsieur qui les embrassait, les caressait et les suçait comme un nourrisson. La femme gémissait doucement, Monsieur lui procurait beaucoup de plaisir.

En les regardant, je sentais mes seins se durcir et du liquide mouiller mon short ! Je mis ma main sur ma fente et avec mon doigt je sentais que j’étais toute trempée, mon doigt s’enfonçait dans mon vagin et je sentis une vague de plaisir !

Je mis un deuxième doigt et je me caressais comme quand j’étais avec mon amie chez les sœurs. Plus je les voyais sur le divan et Monsieur qui de ses caresses faisait gémir la femme, plus je frottais la petite bosse dans mon vagin.

Puis la femme eut un long cri très doux en disant « oh oui ça vient ! continue Pierre ! Aah ! Ouiiii ! ; à ce moment précis, mon corps vibrait profondément et je dus retenir un cri en me pliant en deux et me coucher sur le sol ! Jamais je n’avais senti un plaisir aussi fort !

Heureusement personne ne m’avait entendue et je refermais la porte et j’allais me coucher sur mon lit dans ma chambre. Ces images, ces soupirs, mes caresses m’avaient donné une jouissance inconnue.

### Brigitte ###

Pierre avait à nouveau réussi à me donner un orgasme rien qu’en m’excitant les seins, cet orgasme était plus subtil que dans mon vagin, mais jamais un autre homme ne m’avait fait jouir ainsi.

Pierre me souleva et me prit dans sa chambre où nous restions enlacés et je m’endormis.

### Ninah ###

Je me réveillais, détendue et à ma montre je voyais qu’il était temps que je prépare le repas du soir. J’ouvris la porte doucement, ouf, ils étaient partis, sans doute dans la chambre de Monsieur Pierre. En effet, la chambre visiteurs était ouverte et il n’y avait personne. La valisette de Madame était ouverte sur le lit, j’y jetais un coup d’œil mais rien de bien intéressant ! Un uniforme, deux soutiens, des culottes toutes fines ! Je n’avais jamais vu des pareilles, juste un petit triangle sur le devant et un fil à l’arrière. Ah, la femme blanche devait montrer ses fesses en mettant cela ! Il y avait aussi des affaires de toilette, des crèmes « intimes » et des préservatifs. Bien, je regagnais la cuisine et dressais la table de la salle à manger.

Puis Madame sortit de la chambre de Monsieur et vint vers moi dans la cuisine.

– Bonjour, comment tu t’appelles ?

– Je m’appelle Ninah Madame.

– Tu peux m’appeler Brigitte, on va sans doute se revoir. Tu as quel âge ?

– J’ai 23 ans

– Tu es mariée ?

– Non Brigitte et je n’ai pas de petit ami non plus, je ne veux pas encore me marier !

– Tu n’aimes pas les hommes ?

– Non pas vraiment.

– Tu aimes les femmes alors ?

– Oui, mais seulement des belles femmes comme vous !

– Ah bon, tu me trouves jolie ?

– Oh oui !

Elle me regardait avec des yeux souriants et me souleva sur la table, elle avait de la force, même si je ne pesais pas lourd. J’étais un peu surprise et du coup j’avais mes yeux en face des siens. Elle mit ses mains sur mes épaules et regardait attentivement vers mes seins…

Elle souleva mon top et dit :

– Mais tu es toute belle aussi, en disant cela, elle me caressait un sein en insistant sur le téton.

Tout mon corps fut parcouru de frissons, elle me souriait, et défit le bouton de mon short en disant :

– Montre-moi ton minou !

J’étais comme hypnotisée et j’enlevais mon short, tout en restant assise sur la table.

– Mais c’est tout mignon ! Tu te rases !

Et elle mit un doigt dans ma fente !

– Et tu mouilles ! Tu aimes les caresses entre filles ?

– Oui, j’en ai eu lorsque j’étais à l’école.

– Et maintenant ?

– Non, je ne vois plus mes amies depuis que je travaille.

– Et Pierre, tu l’aimes bien ?

– Oh oui, il est très gentil ! c’est un bon patron.

– Il t’a déjà caressé ?

– Oh non !

– Tu aimerais être caressé par lui ou par moi ?

– Par vous je veux bien, mais je n’ose pas vous le demander, je ne suis qu’une servante !

– Non, tu es mieux que ça ! Je vais te le montrer et Pierre me caresse aussi comme ça, il est merveilleux, tendre et pas brutal du tout !

En disant, elle pousse gentiment sur mon torse, je me trouve allongée sur la table et elle écarte mes genoux. À ma grande surprise, elle plonge sa tête sur mon entrejambe en disant :

– Oh tu sens bon, c’est bien, tu te laves souvent ?

– Oui, j’ai une douche dans la boyerie et Monsieur a donné du savon à tout le personnel en disant que tout le monde devait être propre et sentir bon ! il ne veut pas d’odeur de « nègre ».

– Il a dit ça comme ça ?

– Oui mais il n’est pas raciste, c’était dit avec un grand sourire !

Elle plongea sa langue entre mes lèvres pour trouver mon petit bouton, c’était délicieux, mon corps vibrait et en même temps de sa main libre elle pinçait mon sein.

Puis soudain, j’eus des éclairs dans les yeux et tout mon corps était secoué par un orgasme comme j’en avais eu jamais pareil !

– Ça t’a plu ?

– Ooh ouii ! Merci beaucoup, que puis-je faire pour vous remercier ?

– Rien pour moi, tu soignes bien Pierre ! Si un jour Pierre veut te caresser, laisse-toi faire, il ne te fera jamais mal, c’est un homme très gentil !

– Oui, je sais, Amina me l’a dit.

– Qui est Amina ?

– C’est l’assistante de Pierre, elle travaillait au service juridique mais Pierre l’a prise dans son service.

– Elle est jolie ?

– Oh oui, très jolie !

– Il a déjà couché avec elle ?

– Non, mais je crois qu’elle est un peu amoureuse de Pierre.

– Et toi, tu es aussi amoureuse de Pierre ?

– Un peu, c’est un bel homme !

– Oui et crois-moi, il fait bien l’amour. Comment sais-tu que c’est un bel homme ?

– Parce que je l’ai déjà vu nu, en sortant de son lit et sous la douche…

– Ah ah ! tu l’espionnes !

– Non, mais il ne fait rien pour se cacher, il est chez lui et je suis sa servante.

– C’est bien Ninah, tu es une gentille fille, continue comme ça !

Et elle quitta la cuisine, me laissant très troublée. Que penser de ce qu’elle m’avait raconté concernant Monsieur Pierre !

NDA : Gardez le suivi de ce récit ! N’hésitez pas à faire des commentaires sur cette journée ! Votez svp pour montrer que cela vous plaît, l’aventure continue !

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