La faute à qui?
de
Christophe Hulé

"Pour vivre heureux vivons cachés".
Un vieux dicton des almanachs d'antan qui a la dent dure.
A ce propos, quand on a plus de dents, ou très peu, et qui ne font plus mal, on comprend combien ce dicton a "de la gueule" aurait dit Léo.
A toute velléité, exposée au grand jour, son lot de détracteurs.
Comme les archers anglais.
Autre dicton, que certains diront "à la con": "mieux vaut prévoir le pire".
C'est un peu comme l'instinct de survie, être surpris plutôt que frustré.
Le bon sens paysan n'a plus cours, et pour cause.
On a tué les paysans ou ils se sont donnés la mort.
Pourtant tout ça vaut bien De Gaulle ou une messe.
"Donner le temps au temps" disait le sphinx "pas très clair" (Bashung, à propos de qui vous savez).
Avant c'était les algorithmes, un machin débile, maintenant c'est l'IA, encore plus débile
mais franchement inquiétant.
Que ne remet-on au goût du jour la bonne vieille boussole.
Quel est le cap?
Nos aïeux n'étaient ni plus ni moins cons que nous autres.
On voit dans la presse, de plus en plus insipide et uniformisée, que les pourparlers ont échoué.
N'importe qui sait bien que c'est le sort des pourparlers.
Il y a la force brute et l'état de droit.
En fait ça ne fait même plus rire le peuple.
Nous sommes revenus "à bas bruit", comme disent les journaleux, au temps des Barbares.
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Commentaires & Discussions
Les barbares reviennent. | Chapitre | 4 messages | 1 mois |
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