Chapitre 1

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Lundi, encore une fois, l'envie de ne pas me lever se fit sentir, je ne voulais plus voir le monde, je ne voulais plus me mettre derrière mon bureau et trier les documents, écouter les histoires mélodramatiques des patients que je voyais, que faire quand son psychologue avait envie de mourir ?

Ma mère me disait toujours que l'univers était fait de mille étoiles, plus grandes les unes que les autres, certaines oubliées, d'autres continuent de grandir, certains porte leur nom, vestiges d'un passé, je n'ai jamais vraiment su pourquoi ma mère comparait tout aux étoiles, mais c'est le seul moment où je me sentais libre.

Je me disais cela tous les jours et chaque fois que j'allais sur cette falaise escarpée et reculée. J'étais sûr que personne ne m'y trouverait. Les pieds suspendus dans le vide, j'évitais d'avoir des idées sombres, de penser que quelqu'un de mal intentionné ou par mégarde puisse me pousser, m'entraînant dans une fin tragique. Je n'avais personne à qui me raccrocher. Mes parents étaient décédés, l'un après l'autre. Ma mère avait succombé au cancer. Mon père était mort de chagrin, me laissant seule rapidement. J'avais quitté tôt la maison et je n'avais pas eu à m'élever seule. Mais je n'avais pas développé un goût de vivre. Je m'étais replié sur moi-même et je n'avais laissé aucune chance à quiconque d'entrer dans ma vie.

Je finissais de me préparer, pour me diriger vers mon lieu de travail, j'avais fais psychologue, car ma mère m'en avait donné l'envie, elle avait toujours été de bon conseil, et avait toujours été une bonne personne qui se préoccupait des autres, laissant souvent ses problèmes de coté, comme si il n'était pas important.

Mon travail m'avait toujours plu, enfin jusqu'à maintenant, je ne sais pas pourquoi depuis quelques semaines, j'ai l'impression de dépérir plus vite que je ne le pensais, pas que l'idée me déplaise, mais je ne pensais pas accueillir la mort aussi tôt, je savais ce que je voulais, il n'y avait rien pour moi sur cette terre, c'est que je me tuais à penser, mais mon corps refusait de faire le moindre mouvement, pour tomber de cette falaise chaque soir, comme si la gravité voulait me prouvé une dernière chose, pourtant je m'était préparer à ça, je l'avais décider depuis bien longtemps déjà, mais je n'avais jamais réussi à passer le cape et j'étais rester cloué sur place en pleurant a la misère qu'était devenu ma vie, j'avais quitté mon petit ami, j'avais supprimé mes amis, j'avais instaurer autant de distances que possible avec les collègues de mon travail, j'avais agis volontairement pour qu'on ne me regrette pas, je n'avais pas envie de blesser quelqu'un plus que nécessaire, mais personnes ne m'avait retenue, comme si ils savaient.

J'avais passé la journée au travail, enchainant les patients, décomptait les heures, pour arriver plus vite a mon endroit, au seul endroit ou je pouvais presque me sentir vivante, j'avais l'impression que ma journée était interminable, et affreusement longue, comme si il n'aurait jamais de fin, me rendant compte de mes pensées, je souris discrètement, je ne savais pas qu'on pouvait tombé si loin d'en la dépression, au point qu'on aurait presque envie de mourir sur le moment.

L'aiguille sonna enfin la fin de mon interminable séance, un enfant maltraité et harcelé a l'école, n'ayant jamais parlé a ses parents il était venu chercher du réconfort dans mon bureau pensant peut être que je l'aiderais, mais je ne pouvais rien faire pour lui, je cherchais moi même peut être du réconfort au bord d'une falaise le soir, j'avais demandé si il en avait parler, il m'avait répondu que non mon seul conseil, avait été d'en parler avec ses parents ou un ami proche, qui pourrait le comprendre.

Je mis ma veste, n'ayant pas forcement besoin, nous étions en été, et la Floride, avait le luxe d'être un endroit chaud, et nous n'avions pas a nous plaindre, et j'aimais ma ville, surtout que j'avais garder la maison de mes parents, et que j'avais décidé de m'y installer rendant mon appartement, je n'étais pas loin de ma falaise, quand une mauvaise impression se faisait sentir, comme si quelque chose de mauvais allait se produire ce soir, que c'était mon dernier soir.

Laissant ce certain malaise de coter je partis m'installer au même endroit que tout les soirs, sans me préoccuper des alentours, choses que je devrais faire, ne sait on jamais, et me mis a fixer le ciel, découvert en cette soirée, les étoiles n'étaient pas encore apparus, et je ne m'en plaignait pas, les paysages était magnifique, en dessous de moi se trouvais l'étendue de ma ville, et les magnifique couleur du ciel, je savais que ca n'allais pas durer et qui bientôt des milliers de petite sphères brillante se trouverais au dessus de moi, sans que je n'en comprennes le sens, je savais juste que je portais le nom de l'une d'elle, la plus belle d'après ma mère, car ses dans sa direction que mes parents on regarder pour se marier, alors je passais des heures a la contemple me faisant plaisir a dire que mes parents étaient à ses cotés et m'attendais pour que je reprennes ma place dans le ciel.

J'entends derrière moi une branche qui casse sous le poids d'un animal, d'un gros animal je pense, et un grondement sourd en ressort, je suis sur le territoire de cette bête et elle n'as pas l'air d'apprécier que je sois là, pourtant je n'ai jamais eu le moindre problème, je n'ai jamais vu une seule bête autours de cette endroit, alors comment cela ce fait il que ce soir quelque chose essaie de me faire comprendre de partir. Malheureusement je suis tétanisée par la peur, je ne sais pas comment je vais pouvoir partir, je connais mon corps, je sais qu'il ne va pas me supporter longtemps, mes jambes vont vite m'abandonner, et je ne sais pas si la fuite soit la meilleure décision, l'animal pourrais sûrement me rattraper rapidement.

Un souffle dans mon coup me paralyse encore plus, ne me voyant peut être pas bouger, il avait décider de s'approcher, m'effrayant encore plus, et par la peut être obtenir un mouvement de ma part, ma respiration se hache, c'est un souffle chaud, et c'est une grosse bête, peut être un loup, mais je n'avais pas souvenir que les loups pouvaient être aussi gros.

Un murmure, enfin c'est ce que je crois je n'ai toujours pas bouger de l'endroit où je souhaite disparaître, comme si la bête avait disparu et un homme ou une femme c'était retrouvé à sa place, chose impossible, puisque je n'ai jamais vu quelqu'un faire fuir un aussi gros animal sans faire de bruit, puisque même la bête n'as pas semblé bouger de derrière moi, j'espérais plutôt me réveillé, dans l'espoir que je mettais endormi à la belle étoile, un mouvement de ma part, fit grogner là personnes derrière moi, m'embrouillant encore plus, une bête ou un homme derrière moi ? L'espoir que ce soit une femme était vraiment faible, je ne pense pas qu'une femme grogne.

J'esquisse un dernier mouvement, pour essayé de me retourner, et le seul endroit où mes yeux se sont posée c'est sur un homme nu, en pleine forêt en amont d'une falaise devant moi. Comment était il arriver là ? Je ne savais pas et je ne voulais pas forcément le savoir non plus, ma seule envie était de partir d'ici et de rentrer dormir chez moi, j'avais eu un trop grand coup de frayeur pour que je puisse me sentir bien.

---- Mots de l'auteur ---

J'espère que cette histoire vous plairas, ça fait longtemps, je me disais que je devais écrire quelque chose que j'avais imaginé et inventer, et je vous sors enfin les premiers chapitres j'ai mis du temps avant de le poster, j'ai supprimé, recommence, et enfin j'ai eu la fin de mon histoire en tête je n'avais qu'a tisser une toile autours de tout ça, et de pouvoir compléter quelques chose, je sais que des histoires avec des loups-garous ou même des vampires, il en a partout, mais j'espère que mon histoire vous plaira, autant qu'elle ma plus a moi.

N'hésitez pas à commenter, ou même a voter, si jamais certaines chose sont a revoir n'hésitez pas a faire des commentaires constructifs, je ne suis pas une écrivaine confirmé et je ne suis pas forcément très doué pour tourner de belle phrases mais j'espère que vous aimerez cette aventure autant que moi j'ai aimé l'écrire.

Merci à vous, et j'espère à vos retours.

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