Chapitre 5

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J'étais rentré chez moi, je n'avais pas voulus rester plus longtemps, Naos, ce qu'il avait dit n'avait aucun sens, ni c'est surnoms, je n'avais pas relevé mais personnes n'appelais quelqu'un petite humaine, nous étions tous humains alors pourquoi le faire ? Je ne comprenais pas, et je ne comprendrais sûrement jamais, et je n'avais pas l'envie de comprendre, après tout je ne comptais pas le revoir, j'avais accepté sa proposition, je ne voulais pas que cela continue ou ouvre une voie sur une possible relation amical entres lui et moi, après tout je l'avais rencontré pour la première fois quand j'étais assise sur ses falaises et qu'il était apparus nu devant moi, et puis je n'avais pas envie de faire rentrer quelqu'un dans ma vie, je consommais plus rapidement ma vie pour que la mort vienne me chercher plus vite, que je puisse rejoindre ma famille, je n'avais plus aucuns repères viable sur cette terre, et je n'avais pas la patience d'expliquer a quelqu'un pourquoi je ne voulais pas me battre pour vivre, je n'en voyais pas l'intérêt. Cela ne regardais que moi, j'avais alors pris la décision de le bloquer, pour ne plus jamais avoir de ses nouvelles, dans l'espoir qu'il comprendrais et me laisserais tranquille, il savait ou je travaillais et cela me faisait un peu peur, il pouvait a tout moment venir et s'imposer comme il le faisais a chaque fois.

Je n'avais pas cessé de faire tourner sa phrase en boucle essayant d'y trouver un sens, de voir ce qui y était caché, après tout pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'avais fais pour qu'il s'intéresse a moi de la sorte, je n'avais pas chercher a me rapprocher de lui, ou même a essayer de comprendre qui il était, j'avais plutôt espérer qu'il m'oublie complètement, j'avais eu de l'espoir que j'avais vite regretté, il n'avais pas cessé de venir a mon travail la semaine suivant notre rendez vous, et j'en étais devenu malade, je ne cessais d'essayer de le fuir et lui revenais a la charge sans se préoccuper de ce que je pouvais ressentir, il avait l'air de penser que tout le monde était a ses pied, il se comportais comme un roi, comme si rien ne pouvait l'atteindre, il avait l'air intouchable et sur de lui, il me faisait peur, je n'avais jamais eu à faire avec ce genre de personnes, d'habitude ils fuyaient quand ils comprenaient qu'il n'y avait pas l'ombre d'une chance, mais pas lui, il restait indifférent a tout ça, il s'accrochait pour me connaître et en apprendre plus, je ne comprenais pas et cela me rendais folle, je ne savais pas comment m'en sortir, j'avais l'impression que même si j'essayais de fuir il me retrouverais, j'étais la proie il était le prédateur. Comme ci quoi que je fasse je serais toujours poursuivis.

J'avais eu du coup la magnifique idée de me faire porter pale au travail, laissant mes collègues se débrouiller de la situation, ou même s'en amuser si cela pouvait leur faire plaisir, le seul regret que j'aurais de ne pas venir, serait mes patients, ils ne pourrons pas s'ouvrir à d'autres, il avait fallu tellement de temps, que j'avais l'impression de tout faire voler en éclat, comme-ci ce manège était son but final, me faire déserter l'endroit ou je pouvais me réfugier, sans qu'il ne puisse réelement m'atteindre, et j'en étais venu à la conclusion, que de toute façon, on ne pouvais pas fuir un psychopathe à moins de le faire enferme, et pour cela il faudrait des circonstances aggravante, ce qui n'étais pas le cas. Je pris ma tête entres le mains, et me demandais si je ne devenais pas folle, je n'avais jamais mis autant d'entrain a fuir quelqu'uns, et ça commencais a me fatigué, quoi que je fasse il était accroché, il me suivait peut être depuis longtemps, ou même il était amoureux de moi ? Une respiration plus tard je me traitais de folle à nouveau avant que l'on ne sonne à ma porte.

Une prière plus tard, je regardais dans l'oeillet, et quel fu ma suprise de trouver Naos sur le pas de ma porte. Cette homme était définitivement malade, mes collègues n'auraient jamais eu l'audace de lui donner mon adresse, ils avaient vu avec quelle energie je m'evertuait à l'éviter depuis des semaines maintenant, et pourtant il était la devant ma porte, a attendre vainement que je la lui ouvre. Plusieurs options s'offrait à moi, le laisser devant et faire comme ci je n'étais pas la et le laisser s'acharner sur ma pauvre porte qui n'avait rien demandé de tout ça, lui ouvrir la porte et lui dire ce que je pensais, ou alors lui ouvrir et essayé de comprendre ce qu'il faisait la. Je n'arrivais pas à savoir si je voulais rester mature ou alors jouer les abrutis de première, mais face a ce genre de personnes la deuxième options était la meilleure, alors sans l'ombre d'un remords, pour ma pauvre porte je me detournais prête a repartir devant ma télé, et m'évertuer a oublié un psychopathe.

La suite je ne l'avais pas prédit, comme aurais-je pu deviner qu'il défoncerais littéralement ma pauvre porte, et qu'elle ne tiendrais plus que sur ces charnières, je n'avais plus qu'a en changer, j'avais gagner le droit de faire changer ma porte dans l'espoir que cela soit fait rapidement. Je regardais stupéfait l'homme devant moi et vit rouge.

"- Non mais t'es complètement malade ma parole ? Je t'ai pas ouvert pour des raisons évidentes ! Alors qui te donne le droit de venir défoncer ma porte ? On est ami toi et moi ? Je ne crois pas donc si tu veux pas que j'appelle la police, dans l'espoir qu'il t'enferme dans un asile, tu a intêret a partir très rapidement et ne plus jamais penser a m'apporcher. Pauvre malade va !"

Il ne bougeais pas, je n'arriveais pas àa savoir si je voulais le giffler ou l'embrasser, remettant ma constatation de la folie qui m'entretenais. Il ne repondais pas et ne bougeais pas non plus, je gardais les yeux rivé sur lui, attendant le moindres signe de sa part, après tout pourquoi s'obligeait-il à a rester ? Je n'avais jamais rien promis, je ne lui avais jamais dit quoi que ce soit pour l'encourager dans sa bêtise, et lui ne me laissait pas tranquilles. Nous avons donc cesser de respirer pendant quelques instant, et nous nous sommes embrassés, le quel de nous deux avait commencé je ne sais pas, ce que je savais c'était que l'on s'embrassais à en perdre notre souffle.

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