Chapitre 8. Nus au soleil

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### Marc ###

Le repas du soir fut détendu, on avait calmé notre désir et la nourriture était succulente. Corina demanda une deuxième bouteille de vin en me regardant dans les yeux. Son regard devint de plus en plus lubrique au fur et à masure que le niveau de la bouteille diminuait.

Sa main se fit plus insistante sous la table, caressant ma bosse de mon short, je sentais que ses caresses étaient un appel à plus de plaisir, mais je doutais que se serait encore pour ce soir, et effectivement :

– Je serai sans doute un peu euphorique, mais je compte sur toi de me ramener saine et sauve sur le bateau ! J’ai encore devant les yeux notre jouissance dans la nature, mais j’ai apprécié !

– Corina, il n’y a aucun problème, je veillerais sur toi car tu es à l’heure actuelle la personne qui compte le plus pour moi !

Nous bûmes cette bouteille en se regardant de temps en temps mais nous étions assis en face de la mer et on regardait le soir qui s’installait progressivement.

Je mis mon bras sur son épaule alors qu’elle glissait une main sur ma bitte.

– Marc, je suis trop beurrée pour te faire l’amour ce soir, ne m’en veut pas, je suis heureuse. Mais j’ai peur de ne pas être prête, j’adore le sexe avec toi mais de là à rester dés à présent avec toi, c’est trop tôt !

– Corina, je ne te demande rien, on ne s’est rien promis ! Mais je ne te laisserai pas tomber. Viens moussaillon on rejoint le bord et je te mets au lit !

– Oui mon capitaine, mais je veux dormir nue dans tes bras ! Je veux te sentir nu contre moi…

La marche jusqu’au bateau n’était pas longue et à peine à l’intérieur elle jeta sa blouse dans le carré suivi de son short, arracha mon polo et mon short et se coucha dans la cabine avant.

– Viens dans mes bras dit-elle avant de sombrer.

Elle se lovait en cuillère contre moi, mon matelot en alerte se cala entre ses fesses, mais je ne voulais pas abuser de la situation. Je devais vraiment me dominer, dans la pénombre de la cabine je vis ses seins étalés et cela raidissait ma bitte. Pendant un moment, je pensais à me masturber pour me soulager, mais je ne voulais pas de ce plaisir solitaire alors que demain, sera une autre fête de jouissance. Sa respiration se fit plus lente et je finis par m’endormir avec une main proche de son mamelon que je caressais doucement.

Je me réveillais le matin sentant un massage inhabituel de ma verge toujours coincé entre ses fesses qui s’activaient.

– Kalimera Kapetán, je peux ? je voudrais un gros câlin avant le petit déjeuner car cela fait un moment que ton mât de misaine chauffe mes fesses et je mouille déjà !

– Je me demande comment j’ai pu m’endormir alors que je bandais depuis la sortie du restaurant et ton déshabillage expresse ne m’a pas calmé ! j’ai failli me masturber tellement la vue que tu m’offrais était excitante !

– C’est incroyable, je t’excite à ce point ? Je suis flattée, il est vrai que depuis le début de cette croisière la vue de mes seins nus, te fait bander sans arrêt ! Mets-toi sur le dos que je puisse t’enfiler une capote puis remets-toi comme tu étais en te réveillant !

Elle attrapa un blister dans l’équipet de la cabine, prépara ma verge avant de l’habiller, ce qui fit déjà pointer quelques gouttes à mon méat. Gourmande, elle ne put résister à les prélever avec ses lèvres. J’avais plaisir à voir la dextérité de sa manipulation.

Une fois couvert, elle poussa son postérieur jusqu’au moment ou ma verge pénétrait dans son vagin, elle ondulait pour mieux sentir mon bâton entre ses fesses. C’était divin, mon soldat se laissait faire avec plaisir. A ma surprise, elle eut un petit orgasme en gémissant doucement !

– Marc j’ai aimé ce rapport si doux mais tu n’as pas encore joui ! Attends je vais te faire une douceur à laquelle tu ne pourras pas résister.

Elle me repoussa sur le dos défit le condom et passa ses ongles doucement sur mon gland en insistant sur le bord et sur le frein, de temps à autre elle mouillait ses doigts dans sa bouche et reprenait sa caresse subtile avec ses ongles et puis brutalement je ne pouvais plus me retenir et j’éjaculais comme une fontaine un jet de sperme qu’elle captait avec sa bouche. Elle avala les jets blancs avec une délectation évidente !

– Voilà ça t’a plu ? demanda-t-elle après avoir avalé et nettoyé consciencieusement mon mât. J’ai vu une fois cette caresse dans un film porno !

– Tu es amatrice de porno ?

– Oui quand je veux me masturber ! C’est ainsi que j’arrive à ma jouissance solitaire ou alors sous la douche avec un jet puissant sur mon clitoris…

– Lorsqu’on sera à Athènes je veux voir cela, je regarderai te masturber devant un film porno et aussi sous la douche !

– Tu regarderas seulement ? ou tu compte aussi te toucher ?

– Bien sûr que je me masturberai aussi ! J’ai souvent pratiqué la masturbation en pensant à des femmes aguichantes, surtout après ma séparation, j’étais en manque complet, mais avec toi c’est la totale ! Je débande à peine depuis le début de notre voyage…

– D’accord Marc et le premier qui jouit paye le restaurant ce soir là ou le lendemain selon l’heure de l’évènement !

– Pari tenu ! dis-je mais rien que l’idée réveilla mon matelot sous les yeux amusés de Corina.

– Non Capitaine, je me réserve pour plus tard, j’ai toujours un fantasme à accomplir !

Je mis mon short un peu déçu et préparais l’eau pour le café.

Nous primes le petit déj dans le cockpit à l’air libre, Corina avait mis un T-shirt long et sa culotte de bikini, je la regardais avec insistance, mais ne dis rien. Sachant très bien que la courte balade d’Agnontas à Patitiri allait connaitre un épisode émoustillant.

Il y avait déjà des curieux sur le quai et du coup nous fûmes très sérieux et professionnels pour le départ. Pas question de se ridiculiser devant ces terriens ! Certains faisaient d’ailleurs des commentaires évocateurs de l‘anatomie de mon équipière, d’autres croyant que leurs voix ne portaient pas si loin, des commentaires salaces sur ce qui pouvait se passer à bord.

Ces jaloux n’étaient pas loin de la vérité dans leurs commentaires. Mais ni moi ni Corina ne réagirent à ces propos.

A la sortie du port je pris plein sud pendant plus d’une heure au moteur, car il n’y avait pas le moindre souffle d’air.

– Marc, je croyais qu’on allait à Patitiri, qui est plutôt au Nord-est ?

– Très bien moussaillon mais je veux sortir de la route des ferries car je n’ai pas envie de montrer mon anatomie ni la tienne à toute la Méditerranée !

– Alors je peux tout enlever ?

– Oui, mais avant que je me mets en panne prend les jumelles et fait un tour sur l’horizon pour vérifier si nous sommes seuls.

– Oui, Capitaine pas une voile à l’horizon !

Je mis donc le bateau en panne, la mer était d’huile et sans vent on n’allait pas dériver beaucoup. Je sortis un grand matelas de plage en mousse du coffre et l’étalais sur le pont à l’avant.

Corina me suivit mais je constatais qu’elle était déjà totalement nue ! Ses yeux avaient un regard lubrique et elle prit mon short par la ceinture pour me l’arracher et le jeter par le hublot dans la cabine avant..

– Voilà, maintenant on est à égalité ! Marc tu es le pirate et je suis ta prisonnière ! Prends-moi satisfait tes pulsions ! Laisse-toi aller dans tous les fantasmes que tu n’as jamais osé satisfaire !

– Oui, mais à tes risques et périls, mais le pirate veut jouir de tout ton corps, par ta bouche et ton vagin jusqu’à épuisement total de mon esclave !

– D’accord mais s’il te plait pas par l’anus ! Je n’ai pas de bons souvenirs des rapports annaux !

– Ok, ce n’est pas ma tasse de thé non plus quoi que j’en aie de bons souvenirs, On essayera un jour que tu seras bien préparée !

– Tu l’as fait avec ton ex ?

– Oui, elle adorait se faire prendre par tous les orifices ! mais notre lune de miel n’a pas duré longtemps comme tu sais. Je ne veux pas me souvenir d’elle… c’est toi mon objectif !

– Oui je vois, tu as ton mât tout dressé, couche-toi !

Elle se plaça à califourchon sur moi et enveloppa ma verge avec ses lèvres intimes qui suintaient déjà, elle faisait glisser son corps d’avant en arrière pour se masturber sur mon pénis couché contre mon ventre. Elle se penchait de temps à autre en avant pour que je puisse attraper ses seins, je me servais des deux mains pour caresser ses mamelons dont les aréoles et les tétons pointaient comme des obus. Je n’avais pas encore admiré en plein jour son excitation aussi violente. Corina était vraiment lancée, ses mouvements de son clitoris sur la hampe de ma verge, faisait grimper la tension. Je voyais ses lèvres intimes suinter et elle refusait dans un premier temps que je la pénètre.

Puis je réalisais que dans ma précipitation j’avais oublié de prendre quelques préservatifs à portée de main. Je lui en fis part :

– Marc, Je te jure que je suis clean et je prends la pilule, je vais te prendre sans condom, je veux sentir ton sperme gicler contre mon utérus !

– Corina, je te fais confiance, je suis clean aussi ! parvins-je à dire entre les caresses qui coupaient ma respiration.

– Oui, Marc viole-moi, prends moi !

– C’est toi qui es à la manœuvre car tu es au-dessus de moi ! Mais je te préviens je ne tiendrai jamais longtemps, le contact direct de ton vagin sans le caoutchouc est trop bon !

– Oui, laisse-toi faire je sens que je vais jouir aussi !

Elle hurla sa jouissance et ses crispations de son vagin furent le couronnement de notre rapport. Ma jouissance atteignit un sommet jamais atteint, je sentis mon sperme se répandre dans son corps, sensation que je n’avais jamais sentie, c’était mon premier coït sans préservatif et je ne le regrettais pas !

– Marc, ça y est je t’ai baisé sur le pont et sans préservatif ! deux fantasmes d’un seul coup ! Je recommencerai volontiers dés que tu seras prêt !

– Corina, si jamais tu es enceinte après ce coup je te jure que j’adopterai ton gosse sans regrets !

– Oh Marc approche-toi que je t’embrasse, tu es trop gentil, mais ce ne sera pas pour maintenant !

– Et plus tard ? Voudras-tu un enfant de moi ?

– Je pense que oui, je vais y réfléchir ! Marc tu me rends folle de toi !

– Dans le cas où on ferait des enfants, j’achèterai un plus grand bateau !

– Marc, j’ai dit que j’allais y réfléchir ! tu l’as dit toi-même, donnons nous le temps de se connaitre ; je n’ai pas encore retrouvé mon équilibre !

– Je plaisantais Corina, mais je suis patient, je nous vois bien avec deux enfants que te ressembleraient !

– S’ils te ressemblent j’aimerais aussi !

Pendant tout ce temps on se câlinait mais Corina réalisa que je ne débandais pas !

– Marc, tu n’es pas calmé ?

– Si, mais je connais une solution radicale en disant cela je descendis l’échelle de poupe et je plongeais dans l’eau.

– Marc, tu es fou ! elle est trop froide non ?

– Viens, elle est bonne, on est dans un flux d’eau plus chaude que je croyais !

Elle descendit prudemment l’échelle et finalement plongea.

– Tu as raison ! elle est plus chaude que je croyais,

L’eau était toute transparente, je trouvais cela bien agréable de nager tout nu. Puis elle éclata de rire en voyant mon sexe tout rikiki !

– Effectivement c’était la solution !

– Par contre Corina tes seins ! tes tétons sont tout raides ! Viens, je sors et je te présente ton essuie pour te sécher !

Je pris un plaisir fou de l’essuyer en frictionnant son dos, pendant qu’elle m’essuyait le torse. Elle jeta un regard inquiet sur mon sexe.

– Ton matelot mérite une réanimation, tu crois qu’il va encore me donner du plaisir ?

– T’inquiète ! Un peu de soleil et un gros bisou et tu verras qu’il reprendra vie !

Sa technique de réanimation était mieux qu’un gros bisou une succion intensive et voila mon matelot qui sortait de sa coquille comme les antennes d’un escargot !

– Bonjour mon copain ! dit-elle tu as un goût nouveau ! Tu goûtes la mer ! mais ce n’est plus une petite crevette mais le retour triomphant de ton mât de misaine !

– Toi aussi tu as aussi un goût salé, dis-je en suçant ses seins.

Je ne résistai pas à écarter ses jambes pour gouter son intimité encore trempée d’eau de mer. Mes mains encore mouillées sur ses hanches la faisaient rire.

- Marc tu es un gros cochon, tu ne résiste pas à gouter ma moule ! Oh chéri, c’est trop bon, continue, tu me réchauffe !

J’adore quand elle me plaque contre son intimité et elle ne me relâcha qu’après un petit orgasme discret que je sentis par les vibrations de son ventre.

– Marc, c’était divin ! Ta langue est délicieuse, mais pour ce matin je risque une saturation, laisse moi encore un peu au soleil !

Je me redressais en la regardant encore avec envie, son corps parsemé de quelques taches de rousseur me faisaient bander joyeusement, mais je vérifiais notre dérive qui était peu sensible et l’horizon était toujours vide, il n’y avait pas de voyeurs au balcon !

Je remontais l’échelle et remis le moteur en avant lente car je n’avais pas encore envie de rentrer, je voulais encore profiter de la vue de la naïade qui massait ses seins à la crème solaire !

Puis elle vint vers moi en jetant un coup d’œil au GPS,

– Capitaine ! il est passé midi, je vote pour un apéro !

– La bouteille et les verres sont dans le frigo, je prendrai bien un verre aussi, mais pas plus car le soleil tape déjà fort !

– Oui je vais te servir et puis je t’enduis de crème car je constate certaines rougeurs !

Je me demandais où elle avait bien pu voir des rougeurs, moi qui bronzais très facilement, à moins que sur une petite partie de mon anatomie qui en général ne voit pas le soleil !Le verre en main, je dégustais le vin frais en barrant debout pendant que ses mains douces étalaient la protection solaire de mon cou à mes fesses, en passant sur mon torse et descendant lentement vers son jouet préféré qui pointait vers le ciel.

Elle ne put résister à pratiquer un massage délicat sur toute la longueur de ma bitte et terminait avec une petite claque sur mes fesses en disant de me rassoir et en se mettant à califourchon sur mes genoux me montrant la splendeur de son torse.

Elle mit ses bras autour de mon corps et pencha sa tête vers moi en disant :

– Oui, en y réfléchissant bien un ou deux gosses de toi me plairaient bien, on leur apprendrait à nager, à faire de la voile et à plonger, à profiter du soleil sur leurs corps d’enfant ! En espérant qu’ils aient ta peau et non ma peau de rousse !

Marc mets le cap sur une ile déserte ! Je resterai toujours ainsi dans tes bras !

– Les îles désertes sont rares ici, mais il y en a une pas loin, mais elle est réservée aux phoques moines.

– On pourra les voir ?

– Oui, c’est prévu, notre amis Panos m’a procuré un permis de plongée en apnée, en face de l’île de Youra, je ne sais pas comment il m’a obtenu ce permis mais je compte l’utiliser avec toi !

Quelques heures plus tard nous arrivions en vue de l’île d’Alonissos qui pour moi reste la plus belle île de l’archipel des Sporades du nord !

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