### Sofia ###

J’étais folle, lorsque Corina est entrée dans le magasin, j’avais flashé immédiatement sur elle : un corps bien fait, une sportive certainement, ses cheveux roux et ses taches de rousseur en faisait une égérie parfaite pour produits de beauté ou vêtement féminins !

Dans le choix des robes elle avait immédiatement trouvé celles qui étaient totalement conformes et coordonnées avec sa couleur. Lorsqu’elle se déshabillait pour essayer les robes choisies, je fus étonnée de voir qu’elle ne portait pas de soutien ni de culotte !

J’étais jalouse de son corps déjà hâlé sans doute allait-elle sur une plage de nudiste, l’homme qui l’accompagnait était bien accordé, certainement un grand sportif, il me semblait l’avoir vu dans un magazine qui traînait sur la table de l’échoppe de ma tante. Mais il ne m’attirait pas sexuellement.

Corina, puisque le beau mâle l’appelait ainsi, était certainement anglaise avec un accent pareil à celui de la BBC et à ma grande surprise elle parlait le grec parfaitement ! Elle me plaisait vraiment, je l’aurais bien mise dans mon lit ! Au moment de l’essayage je ne pus résister à caresser ses seins, ce qui provoquait des vibrations dans tout son corps, je mouillais rien qu’en pensant qu’elle était vraiment réceptive aux attouchements entre filles !

Elle était vraiment sympa et en parlant j’appris qu’ils étaient venus en voilier et qu’ils comptaient faire quelques excursions autour de l’île. De fil en aiguille avec l’accord du capitaine je fus invité à bord pour l’apéro et manger un snack. Mais beaucoup boire et peu manger, cela me faisait perdre la bienséance et pendant que Marc rangeait le barbecue Corina et moi nous furent tellement excitées que Marc en descendant dans la pièce principale nous trouva seins nus en train de nous caresser mutuellement, je compris que Corina était lesbienne !

Marc en descendant l’escalier fut d’abord étonné puis s’assit en face de nous et sortait son sexe impressionnant pour se caresser ! À part les pénis de mes frères aînés je n’avais jamais vu un engin pareil et je devins complètement folle !

Mon désir pour Corina fut amplifié à la vue de Marc qui profitait du spectacle de deux gouines qui se faisaient plaisir. Mais Corina voulait plus, elle invita Marc à se rapprocher car elle voulait qu’il participe et soudain ma bouche se trouvait face à un engin dont le gland sortait de son prépuce et Corina m’invita à le prendre en bouche. Corina et moi on se disputait pour voir celle qui aurait le jus de Marc dans sa bouche ! J’eus une grande partie de son sperme mais je le partageais avec Corina qui n’était pas contente car Marc était toujours en pleine érection. Dans les brumes de l’alcool je trouvais cela bizarre car mes frères débandaient après avoir éjaculé, mais Corina connaissait son homme et prit un condom qu’elle parvint à coiffer sur sa bitte et m’invita à copuler avec Marc. Je devais être complètement à l’Ouest car je l’enfonçais dans mon vagin et fis des allers-retours pour jouir sur son engin. Corina me fut d’une aide précieuse car elle avait mis sa main sur mon bijou pour accélérer ma jouissance.

Je ne sais pas si Marc avait joui mais Corina arracha le condom pour prendre Marc en direct et la banquette tremblait lorsque Corina et Marc jouirent de concert. Je ne voyais plus très clair mais je me souvins avant de sombrer que je tenais le mât de Marc en même temps que Corina et qu’elle essayait vainement de le prendre en bouche !

Au réveil le lendemain, J’avais un mal de crâne terrible augmenté d’une douleur vaginale. Je ne rêvais pas, j’avais bien baisé avec Marc en présence et avec l’accord de Corina. Celle-ci avait aussi les cloches de la cathédrale qui sonnaient dans sa tête. Il n’y avait que Marc qui était resté sobre et conscient.

Je tenais toujours sa verge et voulus finir son érection toujours vaillante, Corina me regardait faire et eut un petit sourire lorsque Marc fit encore un petit orgasme avec une éjaculation très modeste.

Corina voulut s’excuser auprès de Marc, mais celui-ci s’endormit épuisé.

Corina nous préparait à chacune un verre d’eau et une aspirine. Elle prit conscience de l’énormité de ce qui s’était passé mais trouvait qu’on avait bien profité de nos caresses et de l’engin de Marc.

On s’habillait toutes les deux pour prendre le frais sur le pont où quelque temps après Marc se pointait sans dire un mot. On était gênées mais Marc ne disait rien à ce sujet et m’invita à rester sur le bateau pour faire le tour de l’île.

Je pris la peine d’avertir ma tante qui me donnât congé pour deux jours, le temps de ramasser mon mini-bikini et la crème solaire, de donner une bouteille de vin frais en m’excusant pour l’excès de la veille et Marc leva l’ancre. Il avait accepté nos excuses sans trop de commentaires.

Au large, Corina enlevait le haut avec l’assentiment du capitaine et je fis pareil. Nous nous mettions une bonne couche de crème solaire puis de concert enduisîmes Marc.

Vu ce qui s’était passé la veille je me limitais à enduire ses épaules et son dos alors que Corina avec un sourire enjôleur enduisit son torse et se permit même de la masser en dessous de l’élastique de son short qui montrait à nouveau une érection impressionnante. Marc était vraiment infatigable et je jalousais un peu Corina qui avait la possibilité d’en profiter tous les jours !

Marc annonça qu’on allait ancrer dans une marina quasi déserte, il y avait quelques barques de pécheurs et nous reçûmes une invite d’accoster une grosse barque amarrée à une bouée. Le capitaine très sympathique nous assura qu’il venait de rentrer de sa pêche et ne comptait pas naviguer avant plusieurs jours. Il était sympa et nous offrit un splendide poisson que Marc compensait par une bouteille de vin.

Après le repas Corina m’invita dans la cabine avant pour dormir, mais durant la nuit je sentis que Corina quitta la cabine sans doute pour rejoindre Marc.

Je ne pus rester seule longtemps et en entendant des bruits révélateurs de jouissance je décidai de les rejoindre. Ils étaient totalement nus sur le pont dans un clair de lune superbe et Corina m’invita à les rejoindre. Lovée dans ses bras, je la caressais mais je voulais aussi goûter la peau de Marc et très rapidement je parvins avec l’accord de Corina à caresser la bite de Marc.

Ce fut un tourbillon de jouissance, Corina me disait plus tard en riant que j’avais sorti des obscénités en grec pendant nos jouissances et ce n’est que dans l’aube naissante, le goût de sperme dans ma bouche que je n’en pouvais plus.

Marc, bien réveillé décida donc de reprendre la navigation. Corina et moi on se mit à la proue pour guider Marc à la sortie de la marina et puis on reprit notre conversation de la veille.

Je révélais que j’avais été initié au sexe par mes frères, qui jeunes encore jouaient à la poupée avec moi pour me déshabiller et me chatouiller. Plus grands, ils m’apprirent la fonction du pénis, au départ je les prenais en bouche puis dans l’adolescence ils me montrèrent la masturbation vaginale et à ma majorité je leur demandais de prendre ma virginité. Ce fut un moment de tendresse et de bonheur, chaque fois que nous étions ensemble mes frères n’hésitaient pas à baiser mais toujours avec un préservatif. Ils ne voulaient pas d’accident ; le moment le plus dramatique fut lorsqu’ils trouvèrent une petite amie et se marièrent ; mais cela ne changeait en rien mes rapports avec eux, même étant mariés ils venaient encore régulièrement me baiser ensemble ou séparément, alors qu’en dehors de ces rapports je ne couchais qu’avec des femmes. Je ne voulais pas d’autres hommes que mes frères !

Corina me raconta qu’elle n’avait jamais couché avec Marc avant cette croisière, que son divorce récent lui faisait hésiter de se mettre en ménage avec Marc. Je la rassurais en lui disant que je ne voulais pas lui voler son homme, mais que j’étais intéressée dans une relation sexuelle avec elle. Elle m’avoua qu’étudiante en internat, elle avait eu une relation torride avec une condisciple, mais par la suite elle n’avait plus eu d’amie lesbienne. Mon contact dans la boutique avait réveillé son envie de caresses féminines tout en gardant son désir pour une relation hétéro avec Marc. Elle reconnut que Marc était un bon baiseur et chaque fois que possible de jour ou de nuit, ils avaient copulé ou s’étaient masturbés ensemble.

Pour bien profiter du soleil Corina et moi on se couchait sur les bancs du cockpit, chacune d’un côté de Marc totalement nues. Je voyais entre mes paupières que Marc ne savait plus où poser ses yeux, heureusement il était attentif à la navigation !

Après le passage au large du phare qui indiquait le cap Sud de l’île, J’étais superexcitée et ne pus me contenir et j’approchais ma bouche de Corina pour la masturber, Marc trouvait qu’on était de belles salopes et décidait de s’ancrer dans une baie car il ne tenait plus !

Il avait à peine jeté l’ancre que je m’approchais de lui et descendis son short d’un coup sec, Marc eut un hoquet de saisissement et moi je voyais son pénis sortir tout droit, je ne pouvais pas m’empêcher de le saisir et commençais à le masturber comme je faisais avec mes frères. Corina cependant interrompit mon mouvement. Corina voulait que Marc aille chercher des condoms, puis elle lui mit une protection pour que je puisse calmer mes pulsions sans risques.

C’était trop bon, Marc me fit jouir rapidement car Corina me masturbait le clitoris en même temps. J’en voulais encore et continuais jusqu’à mon deuxième orgasme. Mentalement je m’imaginais que c’était mes frères qui me défonçaient et je pleurais de jouissance dans les bras de Corina pendant que Marc criait son plaisir.

Corina ne put attendre plus longtemps et voulait se calmer elle-même en se masturbant, mais Marc prit la relève et lécha son clitoris jusqu’à ce qu’elle explose alors que je lui pinçais les seins. Elle n’était pas encore satisfaite jusqu’à ce que Marc la copule et je vis le couple jouir de concert jusqu’à l’extrême !

Je les laissais revenir lentement de leur plaisir et je descendis chercher une bouteille de vin et des verres. À ma montre on n’était pas loin de midi et donc on pouvait profiter de cet arrêt de sexe pour se restaurer et reprendre des forces.

Marc et Corina étaient vraiment géniaux et je pensais déjà avec envie à repartir avec eux en croisière avec des passagers et moi comme guide et partenaire de leurs jeux.

La fin du trajet fut très calme, on se rhabillait à l’approche du port de Linaria avant d’accoster près du terminal des ferries. J’étais un peu triste de les quitter, mais je devais encore assurer quelques jours de présence au magasin de ma tante avant de retourner à Athènes. Il était convenu qu’ils reprendraient contact à leur retour de leur croisière pour me présenter au musée national et planifier les croisières ultérieures.

Corina m’embrassait longuement et en disant au revoir à Marc, je profitais que Corina rangeait les amarres pour caresser discrètement le mât de Marc en lui faisant un clin d’œil.

### Marc ###

Quelle journée ! Après avoir sécurisé le bateau au quai, on regarda Sophia s’éloigner en se retournant encore quelques fois et elle nous souffla un baiser avant de disparaître derrière les maisons.

Corina prit le vin pour nous servir un apéro, et vint s’asseoir près de moi en me donnant un gros baiser sur la joue.

– Ça t’a plu ?

– Oh oui, inattendu mais très jouissif ! J’ai quand même appris un petit coin de ta jeunesse !

– Et toi ? Comment as-tu passé ton adolescence ?

– J’ai été trimbalé d’internat en internat suivant les divers déménagements de mes parents qui vivaient leur occupation trépidante. La plus grande partie j’étais dans une école privée mixte en Suisse où les mœurs étaient assez libérées. Mais ça, je te raconterai ce soir dans l’intimité de la cabine !

NDA : cela fera partie du prochain épisode ! J’espère que ce récit vous plaît toujours ! J’ai l’impression d’écrire pour mon seul plaisir : je suis au vingtième chapitre et pour les 19 précédents j’ai récolté à peine 7 « j’aime » sur 570 lectures ! Les lecteurs de Scribay ne sont pas très enthousiastes ou timides ou est-ce tellement inintéressant ?

Un nouvel épisode mardi 28/7/2020 si tout va bien !