Chapitre 31 –Câlins après le Conseil.

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### Corina ###

Monsieur l’administrateur délégué, je suis à votre disposition, baise-moi mon salaud, avant que je ne pleure !

Quel stress ! Je ne me rappelais plus exactement de ce que j’avais déclaré au Président qui souriant, me regardait dans les yeux ! Mais apparemment j’avais frappé juste ! J’étais acceptée (comme si j’avais réussi le bac !)

Le porte-bonheur d’Eileen (la maman de Marc) avait fonctionné ! Marc était clairvoyant et avait vu juste ! Cette broche était connue de la plupart des membres de ce Conseil et c’était comme si Eileen était présente derrière moi, la main sur mon épaule !

Après avoir arraché mes vêtements (sans les déchirer quand même) je défis les vêtements de Marc, j’ouvrais son pantalon et mis l’objet de mon désir en bouche, (tiens pour la première fois son érection était très molle) en quelques secondes sa verge reconnut ma bouche comme territoire familier et je sentis son érection contre ma luette ! Je n’avais pas l’habitude de le prendre si loin en bouche, je me reculais un peu pour plus de confort et entrepris une fellation comme une pute, sans m’arrêter !

Mais Marc n’était pas de cet avis ! Il prit ma tête entre ses mains et recula son sexe, pour enfoncer sa langue à la place ! Il explora tous les coins de ma bouche aspirant ma salive, je dus le stopper pour reprendre ma respiration !

– Marc rends-moi ma sucette !

– Non, sinon j’éjacule dans quelques secondes, je veux te défoncer, car tu mérites d’être châtiée.

– Oh, oui j’ai été méchante, je mouillais ma culotte de stress devant cette assemblée, bien que tous aient un visage souriant comme pour me mettre à l’aise.

– Oui, le Président Noah, est un homme très aimable, mais sec et méchant devant la bêtise humaine, mais ce n’est pas le sujet. Tu mouillais de stress ou de désir ?

– En fait je crois que je te désirais, je m’étais bloquée sur ton image, toi nu devant moi, serrant ta verge entre mes seins et éjaculant sur mon visage. De plus j’avais envie de me toucher. Heureusement ce flash n’a duré que quelques secondes et je repris mon sang-froid pour répondre aux questions du Président.

– Corina, tu es encore plus vicieuse que Sonja !

– Quand je suis en manque c’est probable et depuis ce matin tu me tournes en bourrique, tu t’es joué de moi. Je suis sûr que tu voulais déjà me baiser dans la boutique d’Alexia, j’ai vu que tu bandais devant la jolie médecin et puis dans l’avion tu m’as baisé en pensant à la jolie Bessie. Tu aurais bien voulu qu’elle te pilote en tenant ton manche !

– Mon Dieu, tout ça !

– Oui, mon doudou, défonce-moi alors si tu ne veux pas me rendre ma sucette !

Je sentis soudain qu’il me coucha sur le dos, écarta sans brutalité mes jambes avec son genou et s’enfonça à l’aveuglette dans mon con. Je devais être bien lubrifiée car il progressa sans peine en comprimant mes muscles pelviens je parvins à le faire éjaculer sans avoir joui !

– Ça t’a plu mon capitaine ?

– Oui, mais toi ?

– Je ne préfère pas maintenant, je vais prendre une douche pour me rafraîchir et me préparer pour le dîner. J’ai envie de toi certes, mais je suis trop nerveuse. Viens avec moi sous la douche, lave-moi et calme-moi avec tes caresses sans me faire jouir.

Il me porta sous la douche, régla la température de l’eau ni trop chaude, ni trop froide. Il m’embrassa tendrement ce qui réveilla son mat ! Décidément Marc certains jours était infatigable ! Avec une éponge imbibée de crème douche il passa doucement sur tout mon corps n’oubliant aucun endroit comme sous mes seins, mes aisselles, mon entrejambe. C’était doux et relaxant ! Puis il me massa les épaules et mon dos, jusqu’à ce que je soupire de contentement. Il me rinça et me sécha. Passa le sèche-cheveux sur ma tignasse qui se coiffait aisément ! Je vis son regard admiratif à travers le miroir et je me sentis belle !

Il me présenta mon string puis déploya la superbe robe longue pour que je l’enjambe, il prit délicatement mes seins pour les placer correctement dans la robe qui se portait sans soutien et ferma la tirette dans mon dos. Je me retournai vers lui pour l’embrasser et ris en voyant qu’il était toujours tout nu !

– Tu comptes rester ainsi ?

– Ça te plairait ?

– Non ! je ne tiens pas à t’offrir à la nouvelle administratrice grecque qui te dévorait des yeux alors que tu étais habillé, j’imagine le succès que tu aurais dans cette nudité !

Rappelle-moi son nom ?

– Mélissa.

– Quel prénom sensuel ! Habille-toi, tu as le temps pendant que je bois un verre de ce petit vin délicieux de Samos !

– Il te plaît ?

– Oui, il est doux, mais rassure-toi je prendrai juste un petit verre, il sera encore frais ce soir lorsqu’on reviendra ! À propos, Il y a un autre joli brin de fille parmi les administrateurs, qui est-elle ?

– Elle s’appelle Dana et est américaine du Texas, elle a succédé à sa mère l’an dernier qui est gravement malade.

Pendant qu’il parlait, il revint vers moi dans un magnifique costume gris clair sur une chemise à col ouvert. (Ah, qu’est-ce qu’il est sexy ! Encore plus qu’en maillot ou tout nu !) Il agrafa la broche et me présenta la bague en disant :

– Comme j’ai dit tout à l’heure, cette bague de fiançailles fut offerte par mon grand-père maternel au début de sa carrière, il n’était pas fortuné à l’époque. Plus tard, il voulut lui offrir une bague plus imposante qu’elle refusa en disant « qu’une grosse bague aujourd’hui ne te coûte rien par rapport à celle que je porte et qui t’a demandé beaucoup de sacrifices, c’était un acte d’amour sincère dont je me souviendrai toujours ». À la mort de ma grand-mère, c’est maman qui la portait régulièrement.

Je suis heureux de te voir porter ces deux bijoux. Ils sont pour toi, tu as certainement vu les regards de certains administrateurs comme le président, ils sont heureux que la tradition continue !

– Marc, j’en suis consciente, je t’aime !

***

Notre entrée dans la salle du dîner fut accueillie avec de grands sourires. Le Président vint vers moi pour me donner un verre de champagne, il prit mon bras en disant :

– Venez Corina que je vous présente les administrateurs individuellement, nous nous appelons par nos prénoms mais cela n’enlève rien au respect que nous avons pour chacun. En dehors des séances du Conseil je suis Noah, au conseil, j’aime bien le cérémonial quand on m’appelle « Président » ! Tu seras peut-être un peu perdue au début de retenir leurs noms mais lorsque Marc aura déverrouillé ton code utilisateur et que tu auras introduit ton mot de passe, tu pourras regarder à ton aise les identités de chacun et apprendre comment ils/elles peuvent t’aider dans ta tâche. Plus tard n’hésite pas à faire appel à leur compétence et leur cercle d’influence.

Il me présenta chacun et je sentis cette chaleur de contact de chacun comme celle que je connaissais de Marc. À table, les places étaient libres mais je fus entourée de Abby qui me révéla qu’elle était l’amie d’enfance d’Eileen (la maman de Marc) et de Linda. Les deux femmes étaient américaines et je les évaluais dans la cinquantaine, mais extrêmement dynamiques et me firent rire avec les anecdotes sur Marc et sa maman.

En parlant de Marc, il était entouré de Mélissa et l’allemande Ursula et ils conversaient tous les trois en allemand ! Marc ! Quel charmeur, il faudra que je le surveille !

Plus tard Mélissa me prit en aparté et s’adressa à moi en grec:

– Corina, j’ai appris que tu es traductrice en grec et russe ! Félicitations, je suis nouvelle au Conseil mais ma maman m’a introduit dans la Fondation depuis de nombreuses années et je voudrais t’aider dans ta fonction. Je réside la plupart du temps à Athènes et je te présenterai à mon mari et mes deux petits enfants la semaine prochaine si ça te convient. Je t’enverrai quelques dates via notre réseau avec mon adresse privée, si Marc peut se libérer ça fera plaisir aux enfants qui adorent « tonton Marc » qui est souvent venu à la maison en Grèce.

J’ai appris que vous restez quelques jours à Samos, demain je vous enlève tous les deux pour une balade en mer. Je suis sûr que cela vous plaira ! Marc est déjà briefé !

– Merci Mélissa, on aura l’occasion de parler entre copines si Marc veut bien.

– Oh ne t’en fais pas, Marc sur le bateau aura son occupation, il paraît que vous faites des régates ?

– Oui, on s’est connu au club de voile, nous venons de rentrer d’une croisière à deux de quinze jours. Mais ce n’est que cette semaine que j’ai appris sa véritable identité!

– Je suis jalouse ! Je vous souhaite beaucoup de bonheur !

– Je te laisse entre les mains d’Ursula qui laissera peut-être sa liberté à ton Marc ! À qui je dois encore parler mais sinon je le verrai demain.

Je fus happé par Ursula qui était encore en pleine conversation avec Marc, mon allemand datait de l’école de langues mais je ne fus pas trop handicapée. Marc me prit par les épaules et me serra contre lui suscitant un grand sourire de l’allemande !

J’appris ainsi qu’elle allait se marier dans quelques semaines avec un industriel qui venait d’apprendre les activités de sa fiancée dans la Fondation. Je lui avouai que son fiancé n’était pas le seul vu ma prise de connaissance toute récente de l’organisation.

Puis il se fit tard et Marc et moi prîmes congé, la grande majorité était déjà partie vers les chambres.

Dans l’ascenseur, je plaquai un gros bisou sur la joue de Marc, j’étais heureuse et plus du tout stressée.

Dans la chambre, Marc m’aida à enlever cette robe merveilleuse, qui avait eu son succès durant le dîner.

– Viens Corina, demain nous serons en vacances ! C’est le hasard mais tu pourras papoter avec Mélissa, j’ai bien connu sa maman, elle pourra beaucoup nous aider à la mise en place de la soirée caritative d’Athènes. La salle de spectacle est déjà réservée et les invitations envoyées, mais nous avons que peu de réponses, on ne sera pas trop avec le staff de la Fondation pour appeler chaque invité qui n’a pas encore réagi. Mais maintenant je veux te féliciter à ma manière de ta nomination !

– Mais Monsieur l’administrateur délégué, mon corps est à votre entière disposition ! Je suis nue devant vous, je vois une grosse bosse dans votre pantalon sans doute due à toutes ses jeunes administratrices pendues à vos lèvres et même de moins jeunes qui te prendraient bien dans leur lit. J’ai compté neuf femmes à bord dont sept très comestibles, en fait même Ashley fière de m’annoncer ses soixante-quinze ans n’avait pas une ride et des seins bien dressés. De plus elle te regardait en disant : « Marc, tu es encore plus charmant que l’an dernier, c’est l’amour qui te rend si séduisant ! » et ta réponse ! Vil flatteur : « Ashley, chaque fois que je te vois tu es encore plus belle ! ». J’ai failli éclater de rire… Tu as failli demander l’adresse de son chirurgien !

– Corina, tu mérites une fessée ! Quel manque de respect à notre plus grande donatrice, qui nous a déjà envoyé trois fois son chirurgien pour reconstruire le visage d’enfants défigurés ! Aujourd’hui ces enfants sont retournés à l’école sans le moindre problème et peuvent se regarder dans un miroir sans pleurer !

– D’accord, je suis insortable ! D’autant plus qu’elle est très gentille. C’est vrai ton histoire d’enfants défigurés ?

– Oui, femme de peu de foi ! Cela a fait d’ailleurs la une des journaux aux US montrant le chirurgien ayant rendu le sourire à des enfants accidentés dans un bus scolaire. La presse a juste mentionné le bon cœur du médecin ; Ashley et la Fondation n’ont pas été citées !

– D’accord Marc, je suis insolente, donne-moi la fessée Maître !

– Non, pas ce soir ! Je ne veux pas que tu montres des marques demain lorsque tu seras en maillot sur le rafiot de Mélissa. Mais je note cette punition dans ton carnet scolaire ! Ce soir tu seras ma soumise quand même ! Enlève mes habits et fais-moi jouir !

– Oui, Maître, mais ne m’oublie pas ! Je suis déjà trempée depuis que tu m’as promis cette fessée…

J’eus à peine dévêtu mon amant qu’il écarta mes jambes, je sentis sa barbe déjà un peu rugueuse sur la peau intérieure de mes cuisses et avant que sa langue atteignît mon bijou, je frissonnai déjà de plaisir ! Je ne me souvins pas du nombre d’orgasmes ni des positions délicieuses qu’il me fit subir mais deux heures plus tard, je parvins à ce qu’il lâcha prise après une ultime copulation qui replia enfin son mât. OMG, j’étais une naufragée dans ce grand lit mais heureuse dans ses bras ! Je me souviendrai longtemps de cette nuit sur l’île de Samos !

### Marc ###

Le matin en me réveillant, je mis quelques minutes à me souvenir de l’endroit où je m’étais assoupi épuisé, Corina était agrippée autour de mon corps et j’eus un lever du drapeau rien qu’en effleurant sa peau !

Mon équipière s’éveilla au mouvement de mon gréement et me fit un sourire épuisé !

– Bonjour Marc, tu devras me porter ce matin ! Mes jambes ne me soutiendront pas ! Mais ne fait rien avec ton appendice que je sens entre mes jambes ! Je me rends !

– Bonjour moussaillon ! Je te ferai un massage délicat sans sexe qui te revigorera et puis le petit-déjeuner avec une portion extra de café fort fera le reste ! Puis nous irons à la marina où nous attend Mélissa.

Comme promis, je lui fis un massage complet en appliquant une huile de massage fournie par l’hôtel. Corina était étendue nue sur le lit, je commençais par le cou, les épaules et puis le dos. Pour être à mon aise j’avais revêtu un pantalon d’intérieur en coton.

Lorsque j’atteignis le bas du dos et ses fesses, mon mât se manifesta impérieusement. Corina qui avait la tête tournée vers moi vit avec plaisir que le massage que je lui prodiguai n’était pas sans effet sur mon sexe.

– Oh, Marc fit elle en caressant mon entrejambe, je suis désolé mais je ne pourrai pas te suivre ce matin.

– Corina, il n’y a pas de souci, je t’ai promis un massage relaxant sans sexe ! C’est normal que mon corps réagisse lorsque mes mains glissent sur ta peau. La vue de tes fesses toutes mignonnes et musclées est très excitante mais je ne ferai rien pour t’exciter !

– Bien sûr mon capitaine mais même si ton massage est relaxant pour mon corps, mon esprit courre sur les fantasmes de ce que je pourrai te faire.

– Voilà, je termine par tes mollets et tes pieds et puis tu pourras te retourner sur le dos.

– Oh Marc, pas trop vite, masse encore ma plante des pieds, c’est merveilleux ! Où as-tu appris à masser ainsi ?

– Etna ! Ou si tu préfères Régina Marchetti.

– Tu couchais souvent avec elle ?

– Oh oui, chaque fois qu’on se voyait, je t’ai déjà dit qu’elle couchait avec moi alors qu’elle était promise par contrat. Elle était experte en massage relaxant et aussi pour le massage érotique. Sa mère lui avait transmis toute sa science !

– Tu m’apprendras ?

– Bien sûr ! Mais ce matin tu ne voulais que du massage relaxant !

– Oui, Marc, mais tu peux peut-être me donner un aperçu de ta connaissance !

– Bien entendu ! Tu m’arrêteras si je vais trop loin !

– D’accord, en attendant continue de masser mes pieds !

Je revoyais les épisodes de massage avec Etna ! Combien de fois je lui ai donné des jouissances orgasmiques rien qu’en la massant, quelques fois on faisait l’amour avec sauvagerie après ce prélude ; d’autres fois elle me masturbait pour que je répande mon sperme sur ses seins. Elle était jouisseuse comme Corina mais avec une fougue italienne alors que Corina était plus réservée.

– Retourne-toi maintenant, je dois encore masser tes épaules, ton torse et tes cuisses.

– D’accord, commence par mes seins !

– Je croyais que tu voulais un massage sans sexe ?

– Oui, sans sexe pour moi, c’est sans pénétration : tu peux tout faire sans copuler ! Et moi je pourrai te caresser, si tu enlèves ce pantalon de jogging ! Tu es trop tendu, je te calmerai à la fin de la séance !

Je ne me le fis pas dire deux fois ! Corina s’était couchée sur le dos, et admirait mon mât de misaine au grand pavois !

– OMG, ton érection est toute-puissante ! Est-ce ma vue ou les souvenirs de ton Italienne ?

– Sans mentir, les deux ! Régina était une maîtresse de l’érotisme !

– Tu m’apprendras ?

– Oui bien sûr, d’autant plus que tu en connais déjà une bonne partie !

Je commençai de masser ses seins dont les aréoles et les tétons s’érigèrent comme des menhirs. Etna m’avait décrit les sensations lorsque je massais les pointes de ses seins et me conseillait sur la jouissance crée par mes massages en profondeur sur sa poitrine.

– Marc, sais-tu que tu as des gouttes qui sortent de ton méat ?

– Non, c’est toi qui as mon sexe devant tes yeux !

– Tu aimes me caresser ?

– Oui, le massage m’a toujours émoustillé ! Je vais d’ailleurs descendre mon massage sur ton ventre et tes cuisses !

– Marc, tu avais dit que c’était un massage sans sexe !

– Bien sûr, sans sexe car tu ne veux pas copuler, mais rien ne m’empêche de passer mes mains entre tes cuisses, et de constater que tu mouilles grave !

Je glissai mes doigts entre ses lèvres mais sans la pénétrer ni caresser son bijou. Mes doigts sortirent imbibés de cyprine. Je les mis dans ma bouche puis je recommençai et mis mes doigts dans sa bouche.

Elle eut un râle de jouissance et me masturba jusqu’à ce que j’éjacule sur son ventre.

– Ton massage m’a fait le plus grand bien, je t’ai fait jouir pour te remercier et te détendre avant que tu n’ailles courir derrière Mélissa !

NDA : j’espère que cet épisode vous a plu !

L’épisode suivant est assez chaud : encore une balade en mer ! Sur le canot de Mélissa…

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