Chapitre 35. Retour à Athènes – Bessie.

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NDA : La Grèce est une région avec de fréquents tremblements de terre, j’en ai connu quelques-uns toujours légers. Mais parfois les dégâts sont énormes avec des victimes.

Le hasard veut que l’actualité me rattrape avec un tremblement alors que le récit vient d’y passer quelques jours. Toute ma sympathie à la population de Samos. Heureusement mes amis sont indemnes.

### Marc ###

– Marc, tu veux vraiment piloter demain ?

– Oui Corina, j’ai déjà passé les examens théoriques ; j’ai quelques centaines d’heures en simulateur de vol, mais je n’ai jamais commencé la partie vols réels. Emily me propose d’être mon instructeur, je dois saisir cette opportunité ! J’ignorais d’ailleurs qu’elle avait la licence requise. – Autant le faire entre amis. Je lui payerai les leçons très officiellement, car elle devra certifier mes heures de vol.

– J’ai vu que Emily a un faible pour toi ! J’ai remarqué son baiser pour te souhaiter une bonne nuit…

– Corina, Emily m’a connu encore gamin, elle venait me chercher en Suisse, pour me conduire à mes parents pendant les vacances. Et puis elle m’a beaucoup aidé à surmonter le décès de mes parents.

– Oui, Marc, elle m’en a touché un mot.

– Ah bon ? Elle t’a raconté le voyage vers le crash ?

– Non, juste raconté qu’elle t’a amené là-bas. Elle aussi était marquée par le décès de tes parents. Toutes ces années où elle a piloté pour eux, ça laisse des traces !

– Oui, Corina, garde toujours le porte-bonheur de maman lorsque tu voyageras avec et surtout sans moi !

– Oui, Marc, je t’aime ! Mais toi, as-tu un talisman ?

– Oui, Corina, mais tu as dû le voir depuis longtemps, puisque je le porte toujours sur moi !

– Même maintenant ? Tu n’as pas de gourmette ni de chaîne avec un médaillon !

– Oui, mais je ne saurais pas l’oublier ! Il faut croire que tu n’as pas regardé attentivement.

– Où veux-tu que je regarde ?

– Allez, je vais te donner un indice : il fait partie de mon corps, mais si tu me regardes dans les yeux, tu n’as aucune chance de le voir !

– Procédons par ordre me dit-elle. Il fait partie de ton corps. Un piercing ou un tatouage. Je ne vois ni l’un ni l’autre. Ah, attends, « si tu me regardes dans les yeux, tu ne le verras pas », donc c’est dans ton dos ! Retourne-toi !

Je me retournai docilement, mais Corina était déçue :

– Marc tu te moques de moi ! Je ne vois rien !

– Tu n’as pas regardé partout !

– Enlève ton short ! Ah ! C’est là que tu les portes, juste au-dessus de ta raie des fesses, je vois deux petits tatouages très simples et discrets. J’en connais un : la croix de vie égyptienne, mais l’autre ?

– C’est l’œil de Râ (ou de Horus)

– Tu les as depuis longtemps ?

 Oh oui, depuis mes quinze ans, mais j’ai dû les rafraîchir un peu récemment car ils avaient pâli.  C’est maman qui me les a suggérés : L’Ânkh ou « clé de vie » est un hiéroglyphe signifiant « vie » et qui représentait l’attribut divin. La « clé de vie » est le symbole de la vie éternelle et la fertilité. L’œil d’Horus est le symbole protecteur pour les Égyptiens. C’est discret, la preuve tu ne les avais pas remarqués, ils ne font que quelques centimètres chacun et sont positionnés sur le dos juste au-dessus des fesses.

– C’est vrai ! Donc tu as ces symboles toujours avec toi !

– Oui et ne sont visibles que lorsque je suis totalement nu.

– Régina a dû les voir ! et Annie ?

– Oui Régina les a vus au début de notre relation. Annie, je n’en sais rien ; elle ne m’en a jamais parlé. Régina les trouvait trop petits mais a beaucoup ri pour la place où ils sont tatoués, elle a reconnu la symbolique et trouva que maman avait bien fait de me les suggérer comme porte-bonheur.

– Que dirais-tu si je me faisais tatouer les mêmes symboles ?

– À condition que tu les places au même endroit, ils doivent être cachés pour être efficaces. N’oublie pas que bientôt tu devras porter des robes de soirée très décolletées et afficher des tatouages sur tes épaules, tes bras ou dans le haut du dos, ce n’est pas très classe.

– Je suis d’accord, on en reparlera.

– Oui, c’est bien mais sache que je connais un très bon tatoueur qui travaille avec toutes les conditions d’hygiène, c’est le fils de celui qui m’a tatoué et qui a retouché le travail de son père !

– Et où crèche cet artiste ?

– À Paris ! Il est très connu, mais il trouvera bien le temps de te prendre dans sa clientèle.

– C’est loin !

– On combinera avec une balade dans les boutiques. Emily peut nous y amener en un peu moins de trois heures avec Alexia, elle connaît toutes les boutiques et les couturiers.

– Oh, j’en suis certaine, j’ai lu les étiquettes des robes qu’elle m’a présentées.

– C’est entendu alors ! Je te ferai savoir les dates possibles.

– Marc, est-ce que tu bois encore un peu de ce délicieux vin de Samos avec moi ce soir ?

– Oui, pourquoi pas, mais n’oublie pas que je vais piloter demain, mais si on décolle vers midi, l’alcool sera dissipé. Tu veux un accompagnement sucré ou salé ?

– Salé ! Que propose l’hôtel à cette heure ?

– J’ai vu que le room service sert à toute heure du jour et de la nuit ; que dirais-tu de calamars frits, crevettes, tomates et quelques olives ? À moins que tu désires aussi des sardines grillées ?

– Non, Marc, pas de sardines mais ce que tu proposais initialement me convient, mais pas de grandes quantités, Le repas de ce soir m’a comblé.

– D’accord.

Un quart d’heure plus tard le room service nous apporta le vin et un plat d’hors d’œuvre de calamars frits et crevettes garnis de quelques tomates et un bol d’olives noires.

Le vin était très agréable et Marc me fit la becquetée avec des crevettes et des bouts de calamar.

Il parvint quand même faire des taches sur mon T-shirt qu’il m’enleva et puis joua à cacher des olives entre mes seins pour venir les saisir avec ses lèvres.

– Tu es incorrigible ! Tu es vraiment malhabile, pourquoi suces-tu mes seins au lieu d’attraper les olives ! Tu ne saisis pas la différence ?

– Oui, je préfère le goût de ta peau lorsque les olives ont laissé des traces !

– Si je te répondais que les crevettes m’ont laissé un goût de trop peu et que je vois une très grosse crevette dans ton short ?

– Je dirai que nous sommes des adultes consentants et que personne ne peut nous déranger.

Je négligeai les dernières olives pour plonger sur son short qui fut éliminé en un tour de main. Elle écarta ses jambes pour me laisser goûter sa vulve, ma langue s’immisça entre ses lèvres pour glisser à son bijou. Elle gémit de plaisir et prit ma tête de ses deux mains.

– Oui, Marc, continue… c’est tellement délicieux ! Oh oui…

Je voulais profiter aussi et aussitôt qu’elle eut joui, je la pénétrai sans attendre. Ma verge était trop tendue pour attendre et laisser son orgasme se calmer. Je ne savais pas si Corina voulait une pause après avoir joui. Régina elle adorait que je la défonce après avoir joui de mes caresses buccales pour qu’elle sente mon sexe dans son vagin. Elle aimait avoir un orgasme vaginal juste après un orgasme clitoridien. C’était une jouisseuse et ne s’arrêtait que lorsque mon sexe n’en pouvait plus. Annie par contre ne voulait plus qu’on la touche après l’orgasme, mais une fois calmée et elle trouva toujours un prétexte pour aller se masturber dans la salle de bains. Je l’ai surprise deux ou trois fois dans notre courte relation à se masturber après notre rapport. Plus tard, lorsque j’ai réalisé qu’elle était nymphomane, j’ai cru avoir trouvé l’explication à cette pratique en me disant qu’elle simulait sa jouissance durant le rapport, pour ensuite se calmer dans la solitude de la salle de bains.

Mais pour Corina, je sentis qu’elle adorait le coït tout en vibrant encore de sa jouissance.

– Marc, quelle bonne idée de te décharger en moi après m’avoir fait jouir, c’est … trop … fort … mais continue et pince mes … seins… encore… ouiiii.

Je la gardai dans mes bras, durant mon éjaculation, elle fit jouer ses muscles pelviens, mon mât pris en étau et j’eus une deuxième vague de jouissance. J’étais fixé ! Elle me tourna sur le dos et se coucha sur moi en me présentant ses seins devant ma bouche.

– Suce mes seins maintenant tant qu’ils sont sensibles, Oui ! … plus fort … encore … Aaaah, oui … arrête je n’en peux plus !

Je pris conscience par les vibrations de son ventre, qu’elle jouissait encore sous ma tétée.

– Marc, oui tu as réalisé mon fantasme que je jouais lorsque je me masturbais avant de te connaître, une main sur mon clito et une main pinçant mes seins en imaginant un homme jouissant en moi !

– Et moi qui avais un doute pour te donner une nouvelle jouissance après ton premier orgasme !

– Tu connais la réponse maintenant ! Parfois en me donnant des plaisirs solitaires je pouvais avoir plusieurs orgasmes d’affilée qui me laissaient satisfaites et parfois épuisées comme maintenant !

– Eh bien moussaillon, je suppose que maintenant tu ne sens plus le besoin de te masturber toute seule ?

– Non mon capitaine, en tout cas pas quand tu es dans mon lit. Je t’avoue qu’après la croisière j’ai eu quelques fois envie de me calmer dans ma solitude.

– Et tu ne l’as pas fait ?

– On dirait que je suis dans un confessionnal : « Non, mon père, j’ai eu des pensées impures mais j’ai résisté à l’acte ! »

– Va en paix ma fille et ne pêche plus !

Corina ne put résister et me donna un coup de poing sur mon bras, en disant.

– Depuis que je te connais, je reconnais que je suis comblée sexuellement, même si parfois j’ai encore envie de caresser une fille !

– Quand même, mais cela ne me gêne pas vraiment !

– Oui, je vois, bien sûr, cela te plaît même, je l’ai constaté avec Sofia !

– Oui, parce que Sofia est bi, et qu’elle a voulu te caresser et copuler avec moi en même temps !

– Marc, il faudra qu’on se modère avec elle, sinon cela débouchera sur un trio !

– Oui, mais je ne me rappelle plus qui a suggéré qu’on dorme à trois dans la cabine avant, lors des croisières où Sofia ferait la guide culturelle !

– C’est moi, dit Corina, mais ce n’est pas pour fixer notre relation mais pour gagner de la place : moi dormant avec Sofia et toi me tenant dans tes bras !

– C’est très bien, mais n’est-ce pas utopique ?

– Non, pas tant que tu n’as que du désir pour moi exclusivement !

– On verra, dis-je, moi en tout cas je ne recherche pas à coucher avec elle !

– Bien, mon doudou, en attendant, dormons et si tu veux rêver de Bessie volant avec toi, sache que c’est moi qui tiens le manche !

– Et si toi tu veux baiser Bessie, tâche que je ne me retrouve pas dans ses bas ! dis-je en la serrant contre moi.

***

Je me réveillai en sentant que ma verge, déjà déployée, était toujours dans la main de mon équipière! En ouvrant les yeux, je vis que deux yeux grands ouverts m’examinèrent attentivement.

– Bonjour darling, tes yeux, en dormant ce matin, étaient très actifs sous les paupières, raconte-moi ton rêve !

– Je volais, mais Emily me tenait sur ses genoux pendant que Bessie me donnait le sein ! dis-je en la provoquant.

– Et moi ? demanda-t-elle un peu inquiète.

– Je n’en sais rien, je ne te voyais pas dans mon rêve !

– Oh lala ! Marc, je comprends ! J’ai intérêt à bien te surveiller pendant ton instruction de pilotage.

### Corina ###

Emily, nous téléphona pour nous avertir qu’elles faisaient encore un plongeon dans la piscine ce matin, je répondis que je les rejoignais pendant que Marc déclina prétextant qu’il devait revoir son cours de pilotage.

Comme la piscine était quasi privative, je ne m’encombrai pas de survêtements et descendis avec mon essuie-bain seulement.

Les deux pilotes faisaient déjà des longueurs lorsque j’arrivai et je fis pareil. Après quelques longueurs à grande intensité je me mis le long du bord où Bessie me rejoignit.

– Dommage qu’on ne puisse pas profiter tous les jours d’une escale pareille ! dit-elle.

– C’est vrai, mais si vous aimez la nage et la voile, je suis sûr que Marc vous emmènera volontiers sur le Zéphyr faire une mini-croisière dans les îles ! Je lui en parlerai !

– Tu sais que tu es belle, me dit-elle en s’approchant et me caressant en toute discrétion le long de mes flancs.

Cet attouchement me fit frissonner, ce que la copilote remarqua immédiatement.

– Tu as froid ? demanda-t-elle.

– Non pas du tout, répondis-je, je n’ai pas l’habitude d’être caressée par une femme.

– Tu n’aimes pas ? Tu préfères les caresses de Marc ?

– En fait, j’aime les deux, lui répondis-je. Toi aussi tu es belle, cela ne m’étonne pas que Marc fantasme sur toi ! Ni toi, ni lui vous n’avez jamais pensé que…

– Oh, j’avoue que Marc me plaît, mais Emily est jalouse et possessive.

– Je ne comprends pas tout à fait, Jalouse parce que vous avez une relation mais possessive ?

– Oui, Emily couve Marc comme une mère poule, j’ai même cru qu’elle avait une relation avec lui.

– Non, je crois plutôt qu’elle le considère comme son fils, c’est ce qu’elle m’a confié hier.

– Je sais, c’est ce qu’elle m’a dit aussi un jour que je regardai Marc trop intensément et qu’elle m’a demandé de regarder ailleurs !

– Tant mieux dis-je, j’ai confiance en Marc, il ne court pas après les filles. Au club de voile, beaucoup de filles ont voulu coucher avec lui, mais aucune n’a réussi à se glisser dans sa couchette !

– Alors les filles, cria Emily, déjà fatiguées ?

– Non, dis-je, on comparait nos maillots.

– Ah, ça m’étonnerait, viens Bessie, sort de l’eau et fais-moi un massage relaxant !

– D’accord, dis-je, je rejoins mon homme. À propos, Marc pense qu’il y a des caméras le long de la piscine.

– Corina, on s’en doute ! On ne va pas troubler le type de la sécurité qui se rincerait l’œil en nous regardant.

***

En entrant dans la suite, Marc leva à peine la tête de son laptop.

– Tu m’as l’air soucieux ! des mauvaises nouvelles ?

– Non, mais ce ne sont pas de bonnes nouvelles non plus. On craint des complications pour la petite Rina, comme un pneumothorax complexe. Les médecins suggèrent l’intervention d’un grand chirurgien, professeur au centre universitaire vaudois (CHUV) à Lausanne.

– Et ?

– La charmante chirurgienne blonde qui a un faible pour moi a étudié à Lausanne, elle va lui demander une consultation vidéo pour avoir son diagnostic.

– Croisons les doigts !

– Oui, c’est tout ce qu’on peut faire !

– Les pilotes t’ont dit à quelle heure on part ?

– Non, lorsque j’ai quitté les filles, Bessie allait masser Emily.

– Bon, je vais lui envoyer un texto ! et je prépare mes bagages, me dit Marc.

Je fis pareil, puis Marc m’appela pour dire qu’on quittait l’hôtel dans quelques minutes.

L’hôtel avait mis un minibus à notre disposition et nous embarquâmes tous les quatre vers l’aéroport.

Marc et Emily firent la check-list pendant que Bessie me montra tout l’intérieur de l’avion. Il est vrai qu’à l’aller Marc m’avait entraîné illico dans la chambre à l’arrière et je n’avais rien vu du reste de la cabine.

Bessie m’expliqua que l’avion était équipé pour huit passagers avec un coin repas et bureau équipé de Wifi. En cas de besoin la configuration intérieure pouvait être modifiée, mais depuis deux ans on n’avait jamais eu besoin de modifier l’intérieur.

Puis nous entendîmes la voix de Marc dans les haut-parleurs invitant les passagers à prendre place et « le commandant et son équipage vous souhaitent un bon vol ».

– C’est la première fois que je ne suis pas aux commandes me dit Bessie !

– Ce ne sera pas la dernière fois ! dis-je. Si j’ai bien compris, c’est Emily qui commande le décollage.

– Oui Corina, décoller à Samos peut être un piège si le vent n’est pas stable, de plus on doit virer assez court car on ne peut survoler la Turquie.

Lorsque les lumières des ceintures seront éteints on ira jeter un coup d’œil dans le cockpit et proposer une boisson à nos pilotes car comme tu as pu te rendre compte l’hôtesse n’est pas dans l’avion ; elle est restée à New York.

Effectivement, lorsque nous pénétrâmes dans le cockpit Emily avait cédé les commandes à Marc qui était très concentré à surveiller les innombrables écrans.

– Ne vous inquiétez pas dit Emily, nous sommes sous pilote automatique et l’avion est programmé pour nous amener à Athènes. La météo est excellente, pas de soucis. À l’approche, Marc n’aura qu’à suivre le guidage après avoir reçu l’autorisation d’atterrir. Ils ont déjà annoncé le créneau et la piste. On est entre un Olympic et avant un Panam.

– Ne t’en fais pas Corina, c’est comme au simulateur de vol sauf que le joystick est encore plus petit !

– Je ne suis pas inquiète dis-je en sortant du cockpit, j’ai confiance en Emily qui te surveille !

Le vol me parut plus long qu’à l’aller, mais c’était sans doute parce que je n’étais pas dans les bras de Marc…

Bessie me regarda troublée,

– Corina, je voudrais reprendre notre conversation de la piscine, Je t’ai dit que Emily est très possessive mais tu es jolie et je veux te toucher !

– Bessie, je n’ai jamais refusé les caresses d’une femme, durant mes études mes relations sexuelles étaient uniquement avec des filles.

Elle défit les boutons de mon top et plongea goulûment sur mes seins. Puis elle déboutonna mon jean et glissa une main dans mon vagin.

– Tu es trempée ! me dit-elle, ses caresses étaient divines.

Je défis les boutons de son chemisier pour sucer ses tétons dressés et glissai une main sous sa jupe où je découvris qu’elle n’avait pas de culotte.

– Toi aussi tu es trempée !

– Oui, en fait on voulait se câliner au bord de la piscine, mais la peur d’être visionnées nous en a empêchés.

Était-ce la soudaineté de cette relation, mais nous eûmes toutes deux un orgasme rapide mais fulgurant.

Ce fut Emily qui nous demanda par l’interphone d’attacher les ceintures et Marc posa le grand oiseau en douceur !

NDA : Il y aura d’autres épisodes à bord de l’avion, mais restons sur terre en attendant !

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