Chapitre 47 – Lora, ses expériences désastreuses – un massage nuru.

9 minutes de lecture

### Lora ###

- Je hais les hommes. Mais j’aime Marc !

Comment expliquer ça à Marc et Corina ?

Ma haine des hommes : j’en ai déjà touché un mot, mes expériences sexuelles dans les toilettes puantes, mon premier contact avec le sperme et surtout la découverte de l’infidélité de mon ami Éric.

J’avais vaincu certains dégoûts, assez étonnamment avec Marc, je fantasmais, je rêvai de refaire une balade sur son voilier, nue, caressant son gourdin. Depuis que j’avais dégusté son sperme, je trouvais cela aussi délicieux que du caviar ! Aujourd’hui encore, j’aurais pu continuer à sucer son sperme jusqu’à vider ses bourses. Mais mon vagin restait sec ! Ce n’est que Corina qui me procurait de la jouissance.

Le cas de Marc, après analyse me désarçonnait, autant j’adorais sa verge en bouche, autant la copulation n’avait laissé que des souvenirs douloureux, son sexe brûlait dans mon vagin ! Dès mes premières rencontres avec Marc, j’avais aimé sa gentillesse, sa capacité de décision rapide, il était mon maître maintenant pour le travail et pour le sexe ! Mais sa pénétration ne m’apportait que peu de plaisir. Alors pourquoi cette fixation sur la fellation et son sperme ?

– Écoute Lora, ne te mets pas martel en tête, tu ne parviens pas à trouver la jouissance sans fantasmer ? On va analyser cela calmement, par ta formation médicale, tu as de bonnes notions des refoulements dans le subconscient. Veux-tu que nous fassions des séances de psychothérapie, rien que nous deux sans Marc ?

– Non, Corina, dis-je, j’aimerais que Marc soit présent. C’est quand même l’élément déclencheur. Rappelle-toi, lors de notre ballade sur le Zéphyr, en nous changeant dans la cabine, j’étais excitée, je mouillais même le banc dans le cockpit. En arrivant dans l’appart de Marc, il m’a pénétrée et j’ai même joui ! Marc a même remis le couvert et j’ai encore joui sentant gicler son sperme contre mon utérus. Tout ce temps, tu étais là Corina, et je me demande si je mouillais à cause de toi et pas à cause de Marc. Le lendemain mon vagin était sec et ça n’a plus fonctionné ! Puis il y eut encore le soir avant la négociation à l’hôpital où je ne parvins pas à jouir en me masturbant, mais j’ai demandé à Marc de me satisfaire et j’ai joui et je crois même que mon vagin était irrigué.

– Lora, demanda Corina, lorsque tu penses à faire l’amour avec moi, sens-tu du désir ?

– Non, je ne crois pas.

– Et lorsque je te caresse ?

– Oui, alors là, je sens du désir et je monte vers l’orgasme.

– Et maintenant, pendant qu’on parle, tu mouilles ?

– Non !

Corina tendit sa main et vérifia entre les lèvres de mon sexe.

– Oui en effet, tu es sèche ! J’appelle Marc !

Marc entra dans la chambre et vint s’asseoir sur le lit.

– Marc, sois gentil, embrasse-moi dit Corina.

Marc s’approcha de Corina et l’embrassa en dénudant sa poitrine. Corina caressa la bosse de son pantalon. Le couple continua le baiser et les caresses en m’ignorant totalement. Corina extrayait la verge de Marc et massa son engin pendant que Marc suça les seins de Corina.

Très naturellement, je mis ma main sur mon intimité pour me masturber et constatai que mes doigts rencontrèrent un peu d’humidité.

– Corina, Marc ça fonctionne !

– Approche, dit Corina,

Elle mit deux doigts dans mon sexe.

– Oui, mais ce n’est pas assez, si Marc te pénètre maintenant, la cyprine n’est pas suffisante. Pourquoi veux-tu te masturber maintenant ?

– C’est de vous voir, les câlins me donnent envie !

– À quoi penses-tu maintenant, décris-nous tes envies !

– Je veux que Marc me suce mes seins et mon vagin, j’adore sa langue entre mes jambes. Je veux des caresses, de toi, Corina et je veux du sexe, être ton esclave.

– Quel programme dit Corina ! Alors commence par te déshabiller et je t’interdis de te toucher ! Tu veux être mon esclave ? Alors je ne veux plus que tu te masturbes et chaque fois que tu as envie, tu viendras te dénuder devant moi et lécher mon minou. Tu obéiras à Marc, lorsque tu seras dans ton appartement, et qu’il est seul avec toi, tu te mettras nue devant lui. S’il veut te caresser, tu ne pourras pas lui refuser même s’il veut un rapport anal ! S’il ne veut pas te caresser, tu lui demanderas quand même s’il désire un service sexuel. Et maintenant, là tout de suite, lèche-moi !

Je n’étais donc plus autorisée à garder mes habits en présence de Marc, Corina écarta ses jambes et je me mis à la lécher avec application.

– Non Lora, ta bouche plus près, Marc donne-lui une bonne claque sur ses fesses, car elle ne met pas assez de désir dans sa léchouille.

Je reçus une claque violente sur mes fesses. Le coup irradia longtemps mon fessier, puis je reçus une nouvelle fessée et je sentis les doigts de Marc glisser sur ma fente et masser mes muscles pelviens avec de l’huile.

– Continue Lora, dit Corina, j’adore ta langue !

Mais Marc insista sur mon anus et finalement glissa son doigt ( ?) dans mon orifice. Je n’avais encore jamais été pénétrée ainsi, et je trouvais que ce n’était pas désagréable ! Il augmenta la pression et je sentis que Marc agrandit mon orifice. Soudain je me rendis compte que ce n’était plus un doigt mais son pénis qui me pénétra pendant que sa main caressait mon clitoris. Mon cerveau visualisa sa pénétration et Marc avança doucement pour me pénétrer profondément.

Je m’imaginais être ainsi à l’avenir, nue devant mes maîtres, subissant leurs désirs, Marc tout en continuant à me pénétrer saisit un sein et pinça mon téton ! Je n’en pouvais plus, je ne parvins plus à tendre ma langue dans le vagin de Corina et j’entendis un hurlement !

Je me rendis compte que c’était mon cri ! Marc me tenait toujours fermement continua ses allers-retours dans mon corps qui vibrait sans interruption.

### Marc ###

Lora hurlait son orgasme, je continuai un moment car ses vibrations intenses m’excitaient davantage. Je ne voulus pas éjaculer et me retirai. J’enlevai le préservatif et écartai le corps de Lora, qui jouissait les yeux fermés. Corina comprit ce que je voulais et écarta ses jambes pour me laisser entrer. Elle me sourit et cria

– Oh, oui Marc défonce-moi !

Je n’hésitais pas un instant et je me défoulai jusqu’au moment où elle aussi cria en force son orgasme.

Lora avait repris ses esprits et me poussa sur le côté et se mit à califourchon sur ma bite. À mon grand étonnement, mon soldat la pénétra sans résistance. Son vagin était totalement imprégné de cyprine !

– Oui, Marc cria-t-elle vas-y ! Je suis tout à toi ! Sers-toi, fais-moi tout ce que tu veux, je t’obéirai !

– Attends Marc, cria Corina, laisse-moi profiter aussi, de notre esclave !

Elle se coucha la tête contre ma verge et lécha la hampe de ma verge puis introduisit la langue dans le vagin de Lora en soulevant ses fesses pour donner un peu plus d’espace à sa bouche !

– Lora, tu mouilles enfin, cria Corina, laisse-toi faire !

J’étais au sommet de mon désir et je me laissai aller dans mon orgasme. Ma vision se troubla et je sentis mon engin expulser tout le sperme contenu dans mon corps.

Lorsque ma vision s’éclaircit, Lora était toujours sur mon corps, allongée avec un grand sourire. Elle me fit un long bouche-à-bouche.

– Merci Marc ! Merci Corina, ce fut comme dans mes fantasmes ! Je peux me rhabiller maintenant ?

– Non, dit Corina, je veux boire ton vagin ! Je veux goûter le cocktail de ta cyprine et le sperme de Marc et ensuite tu t’occuperas de Marc, car il n’a pas débandé !

Corina but au vagin de Lora pendant de longues minutes.

– Marc, je suis à tes ordres ! Que dois-je faire ?

– Tu vas me faire un massage nuru.

– C’est quoi ? demanda-t-elle.

– Je vais t’aider dit Corina, j’ai acheté l’huile appropriée. Oui, Marc depuis la dernière fois qu’on en a parlé, j’ai acheté quelques flacons en prévision de te masser, mais on va laisser Lora s’initier à cette pratique.

Corina, étendit une toile plastifiée sur le sol et commença d’enduire le corps de Lora de cette huile visqueuse qui était nécessaire pour réussir le massage.

Je vis que Corina n’hésita pas à bien enduire le corps de Lora en insistant sur les seins, le ventre et les jambes. Les gestes de Corina n’étaient pas innocents ! Je vis qu’elle pinça plusieurs fois les tétons de Lora, qui vibra à son toucher.

– Oui, Lora tes tétons doivent être bien érigés, depuis que Marc m’a parlé de ces massages, je me suis documentée à ce sujet ! Marc et son italienne qui l’a initié à cette pratique, se sont bien amusés.

Lora était toujours debout et Corina termina d’enduire son ventre et passa délicatement entre les lèvres de son sexe.

– Rappelle-toi, tu ne te touches pas, tes mains ne servent qu’à te déplacer sur le corps de Marc, tu masseras Marc avec tes seins, ton ventre, tes jambes ton dos et tes fesses.

– J’ai compris Corina !

– Voilà Marc couche-toi, et bon plaisir !

Lora se coucha sur mes jambes et remonta lentement en appliquant ses seins contre mon sexe qui s’érigea au passage de ses tétons, elle remonta jusqu’à mon visage en comprimant ses seins contre ma bouche.

Je sais que je trichai un peu, mais je trouvai très amusant de sucer ses tétons au passage. Lora perdit une seconde sa concentration et émit un gémissement avant d’écarter son corps de ma bouche.

Ma verge dressée, bloqua à hauteur de son entrejambe et Lora ne parvint pas à passer sur cet obstacle au premier essai. Elle dut s’y reprendre plusieurs fois, ma verge poussant à chaque fois contre ses lèvres. Au bout de quelques essais elle comprit qu’elle pouvait employer ma verge pour se masturber et fit encore plusieurs tentatives jusqu’au moment où ma verge plia sous la pression. Puis ce furent ses seins qui se bloquèrent contre mon gourdin et elle s’amusa à passer ses tétons alternativement contre mon gland dénudé. Après être remontée jusqu’à ma bouche, elle continua son ascension jusqu’à ce que son pubis se collât contre mes lèvres.

Je tendis ma langue pour écarter ses lèvres et elle me permit d’enfoncer ma langue contre son clito. Elle fit des mouvements de va-et-vient sur ma bouche avant de redescendre vers mes pieds.

J’en profitai pour tourner ma tête vers Corina, affalée dans un fauteuil, se masturbant frénétiquement, les jambes écartées et serrant un sein. Quel spectacle, ma verge se redressa brutalement au moment du passage de l’entrejambe de Lora et glissa sans aucune résistance dans la grotte accueillante de Lora.

– Oh, oui Marc, je te garde ainsi, mon vagin est trempé, Corina viens maintenant !

– J’arrive ! dit Corina, je ne sais pas qui pourra me calmer, vous êtes tous les deux aussi gluants et glissants mais c’est toi Marc qui a la meilleure position ! Si je m’assieds sur ta bouche, tu pourras me faire jouir. Et toi Lora, profite que Marc coulisse dans ton vagin, moi je vais prendre tes seins.

Lora était prise en tenaille, Corina pinça les seins de Lora, ses muscles pelviens se serrèrent d’avantage et ma verge se rendit dans un orgasme fulgurant. Je ne pus plus continuer à caresser Corina. Elle bascula vers Lora qui se dégagea et les deux filles finirent leur désir en se masturbant mutuellement.

Je me levai et pris Lora et Corina pour les pousser dans la douche. Ce n’est que plusieurs minutes plus tard que l’huile de massage se dissolut sous l’action de l’eau et le savon. Les deux filles s’amusèrent encore à s’embrasser et se caresser, moi, j’étais détendu mais je voulus me reposer et quittai la salle de bains.

Je me couchai dans le grand lit de Corina appréciant son initiative d’avoir acquis un lit King-size, je n’eus pas le courage de les attendre et sombrai dans un sommeil réparateur. C’est Lora qui me réveilla en caressant ma poitrine.

– Tu vois Corina, il n’était pas encore endormi depuis longtemps. En médecine, on apprend à réveiller les patients en caressant la joue ou le torse. Ça ne marche pas toujours mais j’ai retenu l’astuce.

– Marc, dit-elle Corina m’interdit de me rhabiller, veux-tu un câlin ?

– Non Lora, reste dans mes bras, que je puisse tenir tes seins et m’endormir. Tâche de dormir aussi car demain on va commencer la procédure d’engagement et on doit trouver d’abord le médecin qui te remplacera dans ton service à l’hôpital.

Je sentis Corina qui se coucha dans mon dos, en calant une main sur ma verge reposée. Lora elle, frissonna au contact de mes mains sur sa poitrine. Ma verge reprit une belle érection et Lora écarta un peu ses fesses pour améliorer le contact. Elle tourna sa tête vers moi pour un baiser plein de tendresse.

– Merci, Marc, je suis ta servante !

NDA : Bon, j’ai déliré un peu dans mon fantasme, le prochain épisode sera plus calme !

N’oubliez pas de cliquer sur « j’aime ».

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0