Chapitre 85. 

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### Marc ###

En descendant dîner, j’admirai mes deux compagnes sexy, leur vue me donnait déjà une trique du diable avant d’être assis à table. En effet, Bessie avait mis une robe bleu azur aux épaules totalement dénudées ! Ses bras fins quoique musclés, légèrement hâlés et surtout ses seins ! Le bord supérieur de la robe couvrait à peine ses aréoles. Le bas de sa robe était en dégradé, découvrant ses genoux et son dos, mais plus long sur son postérieur. En marchant son buste vibrait sous ses pas et je suspectais qu’elle ne portait rien en dessous pour soutenir ces merveilles. Était-ce mon imagination mais il me semblait que ses seins étaient un peu plus ronds et plus lourds !

Emily avait une robe plus sage en apparence, le tissu couvrait effectivement ses épaules mais en regardant plus près sous la lumière crue des projecteurs du couloir, je vis que le tissu était légèrement transparent. Un regard attentif révélait des seins nus cachés par de la mousseline avec un léger motif floral. Heureusement le maître d’hôtel avait le regard rivé sur leurs tenues plutôt que sur la bosse de mon entrejambe !

Les deux femmes me souriaient ayant constaté avant de nous asseoir que mon pantalon était vraiment trop serré. Mais aucune des deux ne fit allusion à mon physique. La conversation portait sur la maison de Vathia et de ses environs.

Je fus soulagé que Bessie ne fasse aucune allusion aux photos et feuillets de maman lorsque Emily demanda l’origine de cette maison.

– Mes parents recherchaient un endroit isolé pour se détendre loin de leurs obligations professionnelles et surtout loin des journalistes. Ils ont pu préserver le secret de leur refuge jusqu’à la fin ! Il va sans dire que je compte sur vous aussi pour garder cet endroit loin des curieux.

– Il faudra qu’on emploie des ruses de sioux déclara Emily. Il n’est pas évident de rejoindre cet endroit, la solution hélico me semble la plus simple. J’ai d’ailleurs effacé le trajet et les coordonnées du GPS de l’appareil. Le loueur ne pourra pas trouver notre destination, seulement un rayon d’action approximatif basé sur la consommation de carburant et le nombre d’heures de la turbine. Pour le reste, on n’a déposé aucun plan de vol. Lorsqu’on retournera la semaine prochaine je ferai un large tour d’horizon pour voir si d’autres endroits d’atterrissage sont possibles.

Après le repas, en remontant par l’ascenseur, les deux femmes profitaient de la promiscuité pour se serrer contre moi. Emily me prit par la hanche ce qui accentua sa quasi-nudité Mais Bessie fut encore plus hardie en pressant son ventre contre mon sexe tellement gonflé que je pensais que j’allais jouir dans mon pantalon !

Dès que la porte de la suite se referma sur nous, quatre mains défirent ma braguette et extrayaient l’objet de leur désir. Je pus me retenir contre le mur derrière moi pour ne pas me laisser tomber, leur toucher me coupait la force de mes jambes alors qu’elles n’avaient pas fait grand-chose.

– Les boutons sont dans mon dos ! dit Bessie.

– Les miens aussi ! fit Emily, mais fait attention le tissu est très fragile.

– Alors, je suggère que Bessie défasse le haut de ta robe, dis-je. Je ne tiens pas à abîmer cette merveille.

Ce fut un feu d’artifice de quatorze juillet ! Les seins de Bessie apparurent après que j’eus défait la rangée de boutons et la poitrine de Emily se dévoila pendant l’effeuillage délicat sous les doigts habiles de sa copilote.

Les deux robes churent sur le sol, je découvris que les deux femmes étaient totalement nues à l’exception de tanga blancs et roses couvrant à peine le pubis (rasé) et dévoilant le galbe du fessier ! Bessie me prit par le cou, me forçant à me pencher vers ses seins dont les tétons dressés m’invitaient à les sucer. Emily ne voulant pas rester inactive empauma mes testicules et décalotta ma verge.

Je fus poussé sans ménagement pour me retrouver couché dans le large canapé du salon où les pilotes écartèrent leur string, l’une pour montrer ses lèvres intimes devant ma bouche et l’autre pour laisser le passage à mon harpon.

Tout cela se fit sans une parole !

Le silence ne dura pas longtemps : Bessie qui faisait du rodéo sur mon sexe entama vite des mouvements violents et désordonnés rythmés par de gémissements de plus en plus bruyants. Emily émit des petits cris qui finirent par un long râle, me gratifiant d’un jet de cyprine. Bessie craqua en synchro avec mon orgasme, puis se coucha sur le corps de sa compagne pour terminer par un massage bilatéral des seins laissant ma verge encore pulser à l’air libre.

Les deux femmes continuèrent leurs baisers et caresses mutuelles pendant un long moment. Le spectacle redressa mon mat pourtant bien comblé. Ce fut Bessie qui remarqua mon grand pavois et le cacha entièrement dans sa bouche. Comment elle fit pour ne pas avoir des haut-le-cœur je ne compris pas, mais je sentis distinctement mon gland toucher sa luette ! Je réussis à ne pas éjaculer en la forçant à se retirer. J’interrompis sa fellation en enfonçant un doigt lentement dans son anus !

– Tu n’aimes pas mon baiser ? demanda-t-elle.

– Si au contraire ! mais je ne voulais pas terminer si vite !

– Ah Monsieur veut jouer longtemps avant d’atterrir ! dit Emily.

– Oui d’autant plus que vole sans visibilité. Vous êtes des profiteuses ! sous prétexte d’être en couple lesbien vous trouvez encore plus excitant de goûter un organe mâle et de profiter de ma semence !

– Oui Marc tu as signé un contrat ! Il faut respecter ta signature !

– Je suis désolé mesdames, je n’avais pas besoin d’un avocat et d’un notaire pour palper, sucer vos seins, boire votre cyprine et jouir dans votre corps !

– Marc, on n’a pas déclaré la guerre des sexes ! On veut un bébé, engendré par toi, en espérant qu’il ou elle te ressemble ! dit Bessie. Mais ce qui n’est pas marqué dans ton contrat, c’est qu’on veut un service après-vente !

– C’est nouveau ?

– Oui ! On veut un garçon ET une fille ! dirent-elles en chœur.

– Il faudra me violer ! répondis-je.

– Tu peux compter sur nous ! répondirent-elles.

– Vous allez former de jeunes pilotes ?

– Ben oui ! dit Bessie, on doit continuer la succession/continuation.

– Je veux renégocier le contrat alors ! Imaginez que vos bébés soient ma seule descendance !

– Marc, tu as d’excellents avocats qui pourront toujours écrire un amendement !

– Bien ! Mais les filles, vous m’avez tellement émoustillé, il faudrait penser à me libérer !

– Je demande la priorité, dit Bessie, je veux un enfant !

– Mais moi je veux le droit de cuissage, sans moi tu n’aurais qu’un bébé in vitro.

– Je ne peux pas vous arbitrer dis-je. Je donnerai la jouissance à toutes les deux ! Mais, nuance, je garde ma semence pour l’exécution de ma signature.

– Oui, dit Emily, cela doit te sembler bizarre, deux lesbiennes qui veulent des rapports hétéros !

– Non, pas vraiment ! je ne vous ai jamais cataloguées dans une case exclusive. Vous me plaisez bien et je veux de vous dans mon cercle proche !

– Marc, quand retournerons-nous à Vathia ? demanda Emily. Ce n’est pas par désir mais pour planifier la location !

– Dans cinq jours ?

– Ce sera bientôt la fin des vacances !

– Oui, dis-je, mais je dois encore terminer les documents laissés par ma mère !

– Ils sont importants demanda Emily.

– Oui, mais uniquement pour connaître la partie secrète de maman !

*-*

### Bessie ###

Le lendemain, je me réveillai alors que le soleil brillait déjà. Marc et Emily étaient debout et profitaient du petit-déjeuner. Je n’avais rien entendu ! En me levant, j’eus un petit étourdissement qui me déséquilibra quelques instants.

M’approchant de la table, l’odeur des œufs et des baked beans me donnèrent la nausée et j’eus à peine le temps de rejoindre la salle de bains. Ma douce Emily me suivit en silence.

– Ma chérie, est-ce le signal que nous attendons tous ?

– Mais n’est-ce pas un peu tôt ? C’est peut-être le repas d’hier qui m’est resté sur l’estomac.

– À d’autres ! Dans ma vie j’ai déjà vu ce genre « d’indigestion » à de nombreuses occasions parmi les passagers !

– Ne dis encore rien s’il te plaît. Attendons encore un peu, je ferai le test lorsque nous serons à Vathia !

– D’accord ma puce !

Je n’eus pas de vomissements et nous retournâmes en silence à table. Marc était occupé sur sa tablette et n’avait rien remarqué.

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