Non sana Giulieta

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Relation atone d'automne qui se meurt au silence des coeurs perdus pour leur jouvence. Nous ne rirons plus les chants tristes qui unissaient les voies déphasées de nos choix. Alors que nous forçions les destins que nous savions pourtant vains, nous vainquions nos certitudes qui hurlaient la fin. Nécessaire. Attendue. Espérée. Nous trinquions à ces similis que nous voulions stimulis de l'essence des jours. Le matin devenait aurore et les soirs douleurs. De quoi ? De te voir te révéler sous ton visage vrai, toi qui maquillais mes peurs sous tes mots-saints - mes maux-seins - tes pluriels singuliers qui mal sonnaient.

Obscurescence diurne qui surgissait à l'appel de la lune, lycantrope psychique qui migrait d'héliotrope à mon désormais ex-orciste. Joueur de flûte sans sonate qui jouait le rat pour mieux tromper l'enfant, et dont les ondulations démodulaient nos relations.

Attention criait mon âme, mon corps et ma raison, mais mon coeur mal-sait-niais voulait l'apogée exangue que tu lui préparais dans ton creuset. Et puisqu'il se dormait, tu le voulais conscient. Du haut de ton Mont-aigu, ton âme me parlait à travers les mânes pour que je m'éveille à ton cadavre. Découvrir ton visage glacé. La troisième mort est la seule vraie.

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