Rimes en commentaires de ce rêve :

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Attrape-Rêve : Un sacré rêve dis-moi ;-)

DJEDGE : Oui en effet, n'est-ce pas,

    Même de façon trop brèves,

    Les rêves ont don d'ouvrir des portes,

    Vers d'étranges ailleurs de toutes sortes.

Attrape-Rêve : Les rêves sont à attraper,

        Et à toi d'en jouer,

        Avec facéties.

DJEDGE : Certes, il faut savoir les saisir,

     Pour s'en rappeler, les écrire,

     Car pas souvent, mais à leur guise,

     En nos nuits, ils s'immiscent.

    J'ai souvent fait éveillé le rêve,

    De faire le même qui ne s'achève,

    Pour, en oniriques paysages,

    Entre dormeurs faire connaissance,

    Où que soient en réalité nos existences,

    Et explorer des lieux pas toujours sages,

    Mais où toujours l'Inspiration danse,

    Nous montrant ses plus beaux visages.

    Et au réveil, chacune et chacun pourrait,

    Par d'autres se souvenir des aventures,

    Vécues ensemble chez Morphée,

    Lorsque le sommeil, de ses parures,

    Recouvre nos corps physiques,

    Qui d'un repos bien mérité se piquent.

    Ce serait vraiment super chouette,

    D'ainsi se connecter sous la couette,

    A des parties multijoueurs,

    Sans avoir nul besoin d'ordinateur.

    Il y aurait beaucoup de monde,

    A se coucher plus tôt que d'habitude,

    Suppliant que le sommeil les tombe,

    Pour retrouver en toute béatitude,

    Les onironautes qui leurs sont chers,

    Ah, si seulement celà pouvait se faire.

    En attendant que celà se puisse,

    Nous reste encore l'écriture,

    Permettant que d'autres rêves on esquisse,

    En solo ou à plusieurs, c'est aussi l'aventure !

Attrape-Rêve : Rajoute ce poème dans ton recueil,

        Il est juste parfait,

        Et je me vois flattée,

        De le trouver au lever du soleil,

        Déposé sur mon oreiller,

        Après mon sommeil,

        Où les rêves se sont assoupis,

        Pour que je les attrape ravie,

        Et les distribue à l'infini.

DJEDGE : Joli poème qui en cette matinée,

    Viens se joindre au soleil,

    Pour illuminer cette journée,

    Ainsi se présente dès le réveil,

    Cadeau à mes yeux émerveillés.

    Assurément, commence bien la semaine,

    Car gaieté et inspiration viennent,

    Par ses rimailles échangées entre nous,

    Et je te rassure, question il n'est pas du tout,

    De les laisser sombrer dans gouffre de l'oubli,

    Se fondre parmi la masse de nos divers écrits.

    Comme les rêves, les perdre serait deuil,

    Alors en chantier sont de matériels recueils,

    Outre ici en ce bel écrin de pixels,

    Où rimes et prose ont des ailes,

    Pour voler partout sur la Terre,

    Afin de se chanter chez les autres,

    Qui comme toi, des Muses sont Apôtres.

    Alors, soyons les explorateurs de mines,

    Remplies de merveilleuses pépites,

    Aux couleurs qui le cœur illuminent,

    De les cueillir, hâtons nous vite,

    Armés de notre plume qui loin chemine.

Attrape-Rêve : Ces joutes me ravissent le cœur,

        Elles sont des perles de bonheur,

        Que j'apprécie avec langueur.

        Si de nos envolées,

        Nous pouvons épicer,

        Agréablement nos journées,

        Alors jouons sans hésiter.

        De nos vers, faisons une portée,

        Où les mélomanes du monde entier,

        Pourront,qui sait, jouer,

        De leurs violoncelles endiablés,

        Nos textes au cours de soirées,

        Dans de fabuleux banquets.

        Tu sais où tu peux me trouver,

        Et j'accepterai les défis à relever,

        De quelques vers, mes phrases se posent,

        Tel un papillon sur ton épaule je les dépose,

        Pour qui sait, te cajoler,

        Et ton inspiration réanimer.

DJEDGE : Oh ! Muse, que c'est beau !

     J'avoue que me manquent les mots,

     Face à tant de délicatesse et d'attention,

     Et c'est avec grand plaisir que papillon,

     Je laisse se poser sur mon épaule,

     Papillon aux ailes jaunes citron,

     Annonçant du Printemps enfin le role,

     Papillon aux ailes dorées d'Inspiration,

     Qu'il répand lors de ses valses aériennes,

     Messager de sa muse écrivaine,

     Dont je me surprend à voir le regard,

     Sur les ailes de ce petit être bavard.

     Déesse de Trobar, changeant d'apparence,

     De Zeus Roi des Dieux, tu as semblance,

     Lui l'incorrigible coureur de jupons,

     (Et disons-le, même une fois de pantalon),

     Qui pour mieux séduire ses conquêtes,

     Adoptait moultes métamorphoses,

     De diverses créatures et choses.

     Papillon aux ailes de lumière,

     M'accompagne en d'autres sphères,

     Celles de Plaisir, toujours et encore,

     Et sur mon épaule devient mentor.

Attrape-Rêve : Je virevolte,le cœur léger,

       En découvrant tes mots posés.

       Tel le papillon, je butine,

       Moi l'éternelle coquine,

       Je me prélasse dans ce jardin,

       Parcours le chemin,

       De tes poèmes avec entrain,

       Tu sais t'amuser à chantonner,

       Bien belle mélodie endiablée,

       Où les plus téméraires s'abreuveraient,

       Au doux son de ta voix à jamais.