Cette année-là, le vent avait commencé à souffler le vingt novembre, jour de lune descendante. Pendant cette transition céleste, les bourrasques avaient viré du sud vers le nord, laissant le cers glacer Toulouse. Un ahan tumultueux balayait la cité dans le noir, fort et cruel.

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Ensuite, dans un geste solennel, il amena l’objet contre lui, fixant la photographie de Jessica avec des yeux embués. Dans ce regard se lisait toute la tragédie de son existence. L’amour et la perte s’y mêlaient comme dans une pièce tragique où rien n’est jamais vraiment fini.

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Ce texte est extrait du chapitre 56 Le Voyage Intérieur (https://bit.ly/4irYTpJ) du roman le Théâtre des Disparus (https://bit.ly/3JYSgi1)
Dans la rubrique fragments choisis (https://bit.ly/2-41-ADA-CONCLUSION-PASSERELLE-vers-ADA-Fragments-Choisis)