Drôle de défi…
Pour une fois je ne vais pas faire un pas de côté comme je sais si bien faire.
Je vais donc parler de mon pays.
C’est un pays de gentils cons, capables de dénoncer leurs voisins juifs, mais de ne rien dire d’un coin à champignons.
Un pays capable de trahir plus d’un million de ses concitoyens en leur disant qu’il les a compris.
Un pays où un décoré de la francisque peut devenir président.
Un pays où un borgne a failli devenir roi de millions d’aveugles
Bref, si on devait rapidement le résumer, cela serait : lâcheté et corruption. Lâcheté morale, lâcheté politique, corruption passive et active.
Car en fait, qu’attendre d’une telle population qui réussit le bac à 99%.
Où l’on peut décrocher un master de coupeur de cheveux en quatre ?
Bof ! De toute façon à force de vendre au Qatar ou aux Chinois, tout ce qui a fait notre culture, notre force et peut être notre génie ? que nous restera-t-il ?
Des fromages, beaucoup de fromages de toutes sortes... Mais pasteurisés, pour complaire à Bruxelles un faubourg de Berlin.
Et quand on pense que l’institut Pasteur n’a même pas été capable de sortir un petit vaccin contre la toux… J’en ri jaune.
Je ne porte pas un nom bien français, je vous l’accorde, mais dans ma famille on l’est devenu par le sang versé et cela depuis Napoléon.
Je crois que pour nos trois couleurs, aux quatre coins du monde, nous avons gagné toutes ses batailles et perdu toutes ses guerres.
Alors que dire d’autre ?
Nos meilleurs étendards :
Brel, Gainsbourg, Chagall, Picasso, Aznavour, Lino Ventura étaient-ils vraiment Français ?
Qu’ont-ils trouvé ici ?
La cuisine peut être ?
C’est vrai, qu’ici, on est des mangeurs de couscous (j’en fais un assez exceptionnel cela dit).
Il parait même qu’on a une des meilleures vodkas, que nos whiskys sont au top et qu’on a même une bière championne du monde !
Il nous reste aussi le pain, d’ailleurs un petit con nous a obligés à marcher à la baguette, avec des autorisations de sortie pour aller chercher la dite baguette.
Ils nous reste encore le vin, alors là, je dis profitons-en, avant qu’une armée d’imams et de pastèques ne nous en privent.
Maintenant messieurs, je vous dis aussi profitez de vos femmes, tant qu’elles sont encore libres de s’habiller ou non comme elles le veulent.
Dommage seulement que je ne parle pas finnois, car en voyant leur Première ministre danser, j’aurais bien demandé cette nationalité.
Mais, bon faute de mieux et parce que je suis fainéant, je crèverai Français.
Vous me direz que je ne suis qu’un pisse-vinaigre !
Et vous aurez raison, cela prouve donc, que malgré tout, mon âme reste française, car le vinaigre est aussi une valeur sure… quoiqu’on disait cela de notre moutarde de Dijon.
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