Je voulais ma tranquillité
C'était un vendredi, une journée qui aurait du être calme et paisible. Lise et moi on devait allez à une fête le soir même, alors après le sport j'ai vite été sous la douche. C'était tranqille. Après je suis sortis pour m'habiller, mais mon casier avait été ouvert. Plus rien, vide, la serrure n'était pas forcé, et la seule à par moi qui avait la clé... Ouais, Lise.
J'ai regarder dans le couloir, personne à cette heure, j'avais une chance de me glisser au labo de chimie pour attrapper discrètement ma blouse. Sauf que bien sur, une trahison totale on la fait pas à moitié. Caché dans un angle d'un couloir Lise m'a pris ma serviette et j'ai fini nue. Bien sûr tout le lycée était là. J'ai passé six mois chez un psy.
C'est pas le moment de ressasser le passé.
— Je vais être très claire Lise...
Je sens que ma voix est légèrement forte, mais pas question que je baisse le ton.
— Tu es honnête avec moi, où tu t'en vas !
Je suis peut-être trop ferme...
— Je... Jack est... enfin j'ai...
— Parle-moi...
Soudain, le grelot tinte dans la boutique.
— Je reviens, ne bouge pas.
Je me lève, puis me dirige dans la librairie... Un homme avec un impère se tient devant le comptoir.
— Bonjour, madame.
Sa voix est clair, distancte, posé.
— Je cherche une jeune femme nommé Lise Carington, vous la connaissez il me semble.
— En effet.
Je pose mes mains sur le comptoir, calme je ne laisse pas mes émotions transpirer.
— Quand l'avez-vous vu pour la dernière fois ?
— Vous devriez d'abord vous présentez il me semble.
Il rit légèrement.
— Vous-avez raison, je suis l'inspecteur Pasquel, police criminel.
Il sort son insigne de sa poche, et me la laisse regarder.
J'ai désormais plusieurs choix possible.
1/ Je lui dit ou est Lise.
2/ J'essaie d'en savoir plus et j'avise.
3/ Je joue la comédie pour qu'il parte.
Franchement, j'aimerai la solution simple et sûr, mais même si j'en veux encore à Lise, je sens au fond de moi que quelque chose me perturbe. Alors qu'auriez-vous fait à ma place.
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