Les pierres

2 minutes de lecture

Un autre aspect m'a fasciné plus jeune est la géologie de ce parcours et ses alentours.

Des pierrs sont afflerantes ou massives le long du chemin. On y trouve des shistes avec cette brillance du mica brillants et qui se délite en petites plaques et la pierre la plus commune est le granit. C'est au point de vue sur le Verdelet, le second point de vue qu'il est possible de descendre sur la pointe où se tiennent les pêcheurs avec leurs cannes. Il suffit de grimper sur le rocher ou sur le muret pour gagner un des petis chemins tracés au fil des passages. Des herbes constituent le sol avant que sur la gauche se dressent la pierre. Grisatre avec du lichen jaune qui rehausse son aspect terne, c'est du granit gris. Le contact est rude avec cette matière dure.

Attention la pente est sévère et sur le côté ces rochers dressés présentent des espaces pour s'y glisser et ils donnent sur le vide de la falaise. Souvent le vent vient brutalement rappeler son souffle puissant au moment où la tête dépasse.

La decente doit être lente et la pose des pieds avisée pour ne pas glisser sur les herbes et prendre attentions aux morceaux de roches cachés sous la verdure. Le risque de se tordre le pired ou de s'érafler la cheville est bien présent faut d'attention ou en cas de déséquilibre. Progressivité les plantes laissent place à la roche avec des aplats et des marches à gravir sur un sol où la semelle ne dérape pas.

Les rochers avec le lichen jaune se mutiplient et la vue sur l'applomb est vertigineux et agréable avec le bord de côte, les vagues qui s'y brisent et plus loin l'Ilôt du Verdelet.

Chacun trouve son chemin car rien n'est tracé, les dalles de granit tiennent au pied, le vent est souvent arrêté par la falaise et s'arrêter en contrebas pour admirer le mouvement des vagues est un spectacle renouvelé est apaisant et frais.

A partir de là, une zone particulière, isolée du vent est quittée pour regagner le chemin avec ses petits ponts en ciment dont la rembarde représente des branches d'arbres signes d'une époque passée. des crevasses se succèdent sur ce passage paralèle au chemin mais en contrebas. Le bord est très découpé et je me souviens d'une sortie en palmes vers le Verdelt avec un retour sur cette partie et j'ai le souvenir cuissant de la dureté et des aspérités de la pierre sur mes mains, mes genoux et les fesses.

Sur le côté gauche se dresse la falaise de pierre qui se délitent et un filet de métal protège les passants des chutes. Sur la droite une cale à l'apparence abandonnée, avec des algues glissantes. Puis le bord de mer s'applatit petit à petit jusqu'à parvenir au parking.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Lefeuvre ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0