Au commencement la terre était informe et vide, le monde était plongé dans les ténèbres ,aucune vie ne pouvait s’y développer jusqu’ au jour ou une force inconnue ,une Energie ,une conscience supérieure s’opposa aux ténèbres, nul ne sait l’origine de cette force ,tout ce que l’on sait c’est que tout comme les ténèbres elle subsistait dans l’éternité et n’avait aucune origine .A la suite d’un combat qui semblait pouvoir durer éternellement la conscience supérieure voyant qu’ elle ne pouvait éliminer les ténèbres du fait de son immortalité utilisa ses dernières forces et scinda les ténèbres en six cent soixante-six fragments qu’ elle éparpilla a travers la terre sous la formes d’esprit supérieurs endormis .A la fin de ce terrible combat le monde était en ruine ,le processus de reconstruction mené par l ETRE suprême mis du temps a se mettre en place et après plusieurs milliers d’années, les premiers bourgeons de vie commencèrent à se développer. Et parmi ses jeunes pousses précurseurs de la vie se trouvait l’humanité.

« Tu vois mon cher Mvondo l’origine de l’humanité n’est pas une histoire de big bang ah ah ah, ça aurait été trop facile, tu ne penses pas ? » s exclama mon maitre en riant.

Mvondo : Et qu’est ce qui me prouve que tout ce que tu me racontes s’est réellement passé ?

Maitre Paul : PETIT INSOLENT, JE T’AI DEJA DEMANDE DE ME MONTRER PLUS DE RESPECT

-pour commencer tu pourrais me vouvoyer

-ça serait déjà bon pour un début, et puis croire en ce que ton maitre te dit est une étape essentielle pour la maitrise de ta foi.

Mvondo : commencez déjà par rester sobre une journée, peut-être là je pourrais vous accorder ce respect que vous prétendez mériter, pauvre ivrogne.

……eh oh

………eh oh

Mais putain mvondo tu rêvasses ou quoi !!!!!!!!!!!

S exclamât Ebodé, mon compagnon de voyage. J’étais plongé dans mes souvenirs, je me revoyais discuter avec mon maitre des années en arrières, d’ailleurs pourquoi je pense à ça maintenant ? ça doit bien faire 4 années que je n’ai pas vu cet enfoiré.

Mvondo : désolé, j’étais perdu dans mes pensées. Nous sommes déjà arrivés au village ?

Ebodé : on a encore environ 1km de marche je crois.

Nous sommes des jeunes baptistes œuvrant pour le salut des âmes, notre mission consiste essentiellement à nous rendre dans des lieux reculés afin d’y prêcher l’évangile, notre congrégation a pour nom le saint évangile ; nos journées sont paisibles, on s’occupe bien de nous et tout ce qu’on fait c’est parler, exhorter, sensibiliser. On voyage beaucoup, en fait c’est un peu le boulot de rêve quoi….

La congrégation nous a envoyé en mission dans un village nommé Pantoto, selon les informations, depuis 2 ans toute femme qui tombe enceinte fais une fausse couche dans les 6 mois qui suivent, les villageois pense que le village est victime d’un mauvais sort (comment on peut encore penser de la sorte au 21eme siècle, je me le demande bien) notre mission sera donc de les rassurer et trouver une explication rationnelle a tout ça, n’y a pas d’autres choses à faire.

Ebodé : je ne sais pas pourquoi mais j’appréhende un peu cette mission.

Mvondo : ne me dis pas que tu crois à ces histoires de sorcelleries ? pas toi quand même.

Ebodé : …hum en tout cas allons.

Mvondo : rappelle-moi combien de mission avons-nous déjà fait, à chaque fois qu’on nous parle de fait mystique on se retrouve toujours après, soit devant des superstitions sans fondements, soit devant une farce de mauvais gout, parfois ce sont des coups montés pour effrayer et soumettre les populations

-donc ces histoires de sorcellerie je m’en bats un peu les steaks.

Ebodé : bref finissons vite cette mission et rentrons, d’ailleurs voilà même le village que j’aperçois

Mvondo : espérons qu’il y a seulement l’eau potable et l’électricité.

Ebodé : que Dieu t entende.

Nous voici donc à pantoto, village plutôt moderne du peu que je voyais, y avait de l’électricité (merci seigneur), des bars, des motos, genre un peu comme en ville quoi, mais quelque chose attira mon attention.

Ebodé : dis, tu ne trouves pas que ce village est un peu bizarre ? je ne sais pas pourquoi depuis notre entrée dans ce dernier j’ai la chair de poule ;

-d’abord que la voiture nous a laissé à 2km d’ici disant ne pouvait pas continuer à cause de je ne sais quelle raison, pourtant la route est en bonne état.

Mvondo : Oor arrête ta paranoïa, cherchons d’abord ou on va passer la nuit.

-Bonsoir mes enfants.

C’était un vieux monsieur qui devait être dans la soixantaine.

Mvondo : bonsoir le père

Ebodé : bonsoir monsieur

Le vieux monsieur : je vous ai vue depuis votre entrée au village, et vu comment vous êtes vêtus j’ai vite compris que vous n’étiez pas du coin.

-puis je savoir ce qui vous emmènes dans notre modeste pantoto ? si ce n est pas trop indélicat de ma part bien sûr.

Tout d’un coup je me rendis compte que tous les regards étaient fixés sur nous, nous étions à peine entrées dans le village que ce monsieur nous accosta en plein milieu de la route.

-Bonsoir monsieur je présente Ze Mvondo et lui c est mon confrère ebode nous sommes tous deux évangélistes, nous avons été sollicités par un habitant du village pour ….

-venir bénir sa maison bien sûr, pour quelles autres raisons encore …

Me coupa rapidement ebode qui m’arrêta le bras tout en me lançant un regard plutôt sérieux, là je compris directement « plus un mot » …pourquoi me demanderiez-vous et bah moi-même j’étais assez perdu

-ah d’accord, vous savez le village est assez petit donc tout le monde se connait ici et quand on voit des nouveaux visages on se questionne

- moi c’est papa thomas.

- enchanté papa thomas avons-nous répondu en cœur

-bon je vous laisse, et bienvenu encore si vous avez le temps faudra faire un tour au club matango (breuvage alcoolique traditionnel fait à partir du palmier) mais comme je vous connais vous les jeunes de la ville là.

Tout doucement il se dirigea vers un groupement de vieux qui étaient assis de l’autre côté de la route, si l’on peut même qualifier cette large piste de route.

-je pense qu’il est assez loin maintenant, c’était quoi a l’instant ebode ?

- attend tu voulais lui dire quoi ? qu’un de vos frères nous a contactés par ce que certaines de vos femmes ont des problèmes d’accouchement ? l’évangéliste Edgar nous a demandé d’être prudent.

- bon comme tu aimes souvent parler juste pour parler là. On est donc là pourquoi ? c’est une mission d’espionnage ? donc on doit se cacher comme ci on faisait quelques choses de mal … - tu ne me comprends pas, de toute façon laisse tomber c’est toujours comme ça avec toi.

-et d’ailleurs même faut déjà appeler notre commanditaire, continua-t-il

-attend, j ai même encore enregistré son numéro là comment eh ? hum …hum …

-sérieux Mvondo je suis déjà fatigué, dépêche-toi et Jesper pour toi que tu as enregistré le numéro là

- toi aussi tu me crois vraiment aussi tête en l’air Ebode ? c’est vrai que je n’ai pas une aussi grosse tête que toi mais ce n’est pas pour autant que - attend un peu, grosse tête là c’est dans quel sens ?

- toi tu as compris ça comment ?

- réponds d’abord, c’est dans quel sens ? par ce qu’apparemment tu n’aimes pas la paix.

- c’est bon …

-qu’est ce qui est bon ? tu penses que c’est toi qui décides quand commence et quand se termine les discussions …tu m’arrêtes ça Mvondo.

- c’est bon j’ai trouvé le numéro, tu peux me laisser finir ? [Avec un air d’agacement]

C’est monsieur mbiassi, attend je l’appelle je suis déjà fatigué de rester ici. Regarde comment on nous regarde comme si on était une attraction.

« Dring dring » *sonnerie

Ça passe mais personne ne prend

-essaie encore Noor

-et tu crois que je suis entrain de faire quoi là ? [La colère commençait à monter] -et tu veux te fâcher contre qui maintenant ? -ebode pardon, abeck ndem moi

-je ne sais même pas pourquoi on m’a envoyé en mission avec toi, j’ai pourtant dit moi l’affaire ci.

Dring, dring

Dix minutes plus tard

Trente minutes plus tard

-ekieu, sérieux que ça ne passe toujours pas ?

-comme tu vois, là depuis là rien. Hum

-gar la nuit va bientôt tomber, allons même demander aux pères là Noor [ebode faisait allusion au groupe de vieux du club matango qui était de l’autre côté de la route]

-mais ce n’est pas toi qui disais …

-laisse-moi d’abord l’autre là, c’était dans un autre contexte.

-ouais c’est ça

Alors on se dirigea vers le club matango qui était juste a 10 ou 15m de nous, et arrivé là une bien étrange nouvelle nous attendait.

-bonsoir a vous (se lança ebode, il n’a pas voulu me laisser parler, l enfoiré ne me fait pas assez confiance)

*Aucune réponse

-euh bonsoir oohh [avec une voix plus forte]

*toujours aucune réponse de leurs parts, pourtant on était juste devant eux …trop captivés par leurs commentaires ? non je ne pense pas, si c’était une ou deux personnes qui nous ignorait là je pouvais comprendre mais il était pratiquement 8 et formait un cercle autour de la carafe de vin. Même la vendeuse nous ignorait .c était bizarre et là soudainement.

-oui mes enfants

A cet instant tous s’arrêtaient de parler et j eu la même la sensation que la première ou il nous aborda.

-bonsoir papa thomas et désolé de vous interrompre …

*jusque là je ne comprenais pas ce qui venait de se passer, au moment où il ouvra la bouche, tout bruit cessa et tout ces vieillards qui entouraient le vieux thomas se tournèrent vers nous avec le plus grand sérieux. Comment un petit regroupement de villageois peuvent-ils être aussi imposant ? tant de question me venait à la tête …on se serait cru devant un roi et sa cour.

Tout tremblant je vis ebode se donner tant de peine à articuler mais rien ne sortait, je compris que ce que je ressentais n était pas juste une impression de ma part.

-désolé de vous interrompre papa thomas, mais depuis nous essayons de contacter notre hôte mais ça ne passe pas, pourriez-vous …

*là dès ma prise de parole leurs réaction a tous changeaient, je ne sais pas si c’était ce que je venais de leurs dire qui les surpris ...non ce n’était pas ça …je pense que c’est le fait même que je puisse parler qui créait autant d’interrogation. Mais pourquoi ? je continuai

-pourriez vous nous indiquer le domicile de monsieur mbiassi s il vous plait, c’est chez lui que nous sommes censés faire le sacrement de la maison.

*il resta là, silencieux tout en me scrutant soigneusement puis

- papa mbiassi ? [Avec un air de confusion]

- oui vous nous avez fait comprendre que vous connaissez tous les habitants du village, j’en déduis qu’il fait partie du lot

-effectivement je connais tout ceux qui peuples pantoto, hommes, femmes, enfants et même les animaux ah ah ah (éclatât il de rire suivi de sa bande) mais je n’ai jamais entendu parler d’un mbiassi ici

- QUOI !!!!!!!! S’exclama Ebodo

*semble t il qui soit sortie de sa torpeur

-vous êtes sûr que vous prononcez bien le nom, ou que vous ne vous êtes pas tromper de village ? vérifier encore bien vos données les enfants.

[Je sortis mon carnet, mon téléphone et tout ce qui pouvait nous permettre de clarifier cette histoire et tout concordait]

-c est bien monsieur mbiassi, il est âgé de 62ans, a une fille de 23ans vivant tous deux à pantoto, il n’y a pas d’erreur possible.

*ebode Hocha la tête pour confirmer mes dires.

[Le vieux thomas se tourna vers sa troupe]

-quelqu un connait un mbiassi a pantoto par ce que moi je suis un peu perdu hein.

[Ils firent mine de réfléchir mais leurs réponses se soldèrent par un non unanime]

-comment cela est-il possible ? On a causé avec lui tout juste avant de quitter la capitale.

Répliqua Ebode

-une blague de mauvais gout peut être. Rétorqua un membre de la troupe

-une blague ? c’est bizarre

- quoi d’autre dans ce cas ? je ne vois pas d’autres explications. Continua un autre

*cette histoire devenait de plus en plus étrange, je commençais à rejoindre Ebode, y avait quelque chose qui clochait.

-la nuit est déjà presque tomber et les voitures pour Yoda [la capitale] ne passent que le mercredi, faudrait songer à vous trouver un lieu pour dormir -mercredi ? comme mercredi qui était hier ?

*a un instant on aurait cru voir les larmes dans les yeux d ebode, sa tristesse me réconfortait un peu ah ah ah

[Après quelques instant, la troupe des joyeux buveurs commencèrent à se disperser afin de regagner le chez eux, tandis qu’ on se demandait comment on allait gérer tout ça]

-mé enfans. *c’était l’un de ses vieux alcooliques

Je pouvoi logé vou ché maison à moi

*surpris d’abord par ses lacunes à s’exprimer en français, on ne sut répondre instinctivement, le temps pour notre cerveau a s acclimaté à une telle cacophonie. Par ailleurs Cela m’a fait m’interroger sur monsieur thomas, comment fait-il pour parler aussi bien le français ? aurait-il fais ses études ailleurs puis est revenu s’installer à pantoto ? c’est l’explication la plus logique.

-ça serait très gentil de votre part monsieur, répondit Ebode

*nous voici donc chez notre nouvel hôte, petite maison plutôt charmante un salon, deux chambres, la cuisine et les toilettes étaient à l’extérieure, Apparemment il vit seul .il nous a montré la chambre dans laquelle nous dormirons, assez fatigué nous nous sommes rapidement lavés et hop au lit.

- bonne nuit papa mvele *papa mvele c est le nom de notre hôte.

-bon nui les enfans, on aura le tant de ben cosé demin .

-d’accord

*ce n’était pas toujours facile de comprendre ce qu’il disait mais déjà on avait un toit ou dormir et c’était le plus important.

- bonne nuit mec, murmura Ebode

-bonne nuit

Quelques minutes plus tard….

-hey

-quoi encore ?

-non cava

Environ deux plus heures tard

-Mvondo *murmura encore Ebode avec une voix, certainement pour vérifier si je dormais.

-oui

-tu n arrives pas aussi à trouver le sommeil ?

-oui ça doit être le stress du voyage

-pourtant moi je m’en dors souvent très rapidement mais bizarrement mes yeux ne clignent même pas.

-ah ce qui est sur le sommeil va venir

-c’est clair

KOKORICOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!!!!!!!

-enfin le matin, Ebode sérieux qu’on n’a pas dormit ?

-hum

-ça devait être vraiment le stress

-….

-tu ne parles plus ?

-que veux tu que je te dise ? tu as dit que c’est surement le stress.

D’ailleurs ou est le père mvele ? depuis hier je ne l’ai plus sentie. Dès qu’il est entré dans sa chambre plus rien, plus le moindre bruit.

-tu voulais d’abord suivre quel genre de bruit ? l’alarme incendie ?

-ah …je veux dire qu’on n’a pas fermé l’œil de la nuit, sa chambre est juste a coté de la notre mais le seul bruit que l’on ait suivi c’est lorsqu’ il a fermé la porte pour dormir jusqu’ à maintenant.

-dit comme ça c’est bizarre, surtout vu l’état du lit sur lequel on dort, tu penses seulement à te tourner ça a déjà fait les bruits [rires]

-tu penses vraiment qu’il y a de quoi rire ?

-nous avons encore cinq jours à faire ici d’après ce que le père thomas nous a dit.

-pour la voiture ?

-oui

*des heures passèrent, toujours aucune trace de père mvele. Nous avons cogné à sa porte jusqu’ a épuisement, aucune réponse. Nous nous sommes résolus à l’attendre à l’extérieure tout en regardant le paysage quand soudain

Tchak tchak tchak [bruit de porte de la chambre de papa mvele]

*un sentiment de peur nous pris direct, Ebode me lança un coup d’œil qui voulait clairement dire ‘ça c’est encore quoi ça ?’

[La porte s’ouvrit] ……silence totale

*voici papa mvele qui sortait de sa chambre fringant, on dirait qu’il avait passé la meilleure nuit de sa vie, contrairement à nous.

-bonjour les enfants

-hum [stupéfaction]

-j’espère que la nuit a été ?

*a cette instant précis l’expression du visage de nos deux héros était facilement descriptible [la peur dans sa forme la plus primitive] * salut moi c’est le narrateur, jusqu’ a présent le récit que vous suiviez était à travers le regard innocent et téméraire de notre jeune ami Mvondo, comme lui j’ai bien peur que vous veniez de comprendre que la situation n’est pas aussi évidente qu’elle le laissait paraitre. Pour la suite du récit je n’ai qu’une seule consigne pour vous chers lecteurs.

AME SENSIBLE S’ABSTENIR………..

*nos deux amis étaient dans un état qu’on ne pouvait décrire avec des mots, qu’est-il en train de se passer devant leurs yeux ? Le sentiment que quelque chose ne tourne pas rond.

-que se passe-t-il mes enfants ? pourquoi restez-vous ainsi figés sans dire le moindre mot ?

*Ebode cette fois ci fut le premier à reprendre ses esprits, il se dit en lui-même « surement hier il jouait la comédie » après tout, pour lui c’était la seule explication logique.

-non cava le père, nous sommes juste étonnés de vous voir aussi en forme ce matin

-oui.i..ii au…ssiiii en ffff …forme ..e *pour Mvondo ce n’était pas aussi facile

-y a les nuits comme ça qui vous requinque

-c’est ce que je vois *répondit Ebode

-eh bien mercredi est encore loin, et vu que vous avez été victime d’un canular vous n’avez plus de boulot. Qu’allez-vous donc faire pour tuer le temps ?

-pour le moment on ne sait pas trop hein…mais visiter le village semble être la chose la plus logique. N est ce pas Mvondo ?

-je pense aussi *répondit Mvondo avec détachement.

-tu m’as l’air assez fatigué Mvondo, on dirait que t’as pas bien dormi.

-si, très bien même.

-d’accord j’en suis ravi pour toi mon fils [esquisse un petit sourire]

-bon je vous laisse, je vais retrouver les autres au club. Y a des provisions dans les greniers, ici c’est le village ça déjeune bio ah ah ah

-on va s en sortir ne vous inquiétez pas, continua Ebode.

-okay je vous fait confiance.

*ainsi ils le regardèrent s en aller sans plus dire un mot, le voyant disparaitre au loin et dès l’instant ou on ne l’aperçu plus les langues purent enfin se délier… -MINCE !!!!!!!!!!!!!!!!!!C ETAIT QUOI CA !!!! s’exclama Mvondo -baisse d’un ton tu veux bien, et surtout pourquoi tu hurles ainsi ?

-pourquoi j’hurle ? t’es vraiment sérieux là ? un homme qui, hier n’arrivait pas même pas aligner deux mots correctement aujourd’hui il t étale un français aussi limpide et ça ne te choque pas ? c’était carrément deux personnes différentes mec.

-et quelle conclusion tu veux déjà tirer ? C’est mystique ? ah ah ah [éclat de rire] …nous y sommes, depuis quand tu crois en ce genre de choses ? qu’est-ce que tu me disais tantôt lorsqu’ on venait ? [Éclat de rire]

- … [il se ressaisit rapidement]

- [rire d Ebode]

-déjà, qui a fait allusion au mysticisme ici ? tu peux me le dire ?

- façon dont tu as hurlé là ? il manquait un peu tu commençais à courir [nouveaux éclats de rire]

-j’étais juste surpris, ça doit être encore le stress

-je me disais aussi [sarcasme] …mais c’est vrai que moi-même j’ai été très surpris -et ??

-il jouait la comédie

-ça se tiens, c’est logique mais tu penses que c’est vraiment ça ? je ne sais pas mais -quel autre explication Mvondo ?

-il jouait la comédie [malgré lui]

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