Prompt

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On se tripote côte à côte tout en regardant ce film de cul, à cause de tout ça l’excitation nous gagne. On ne se regarde pas particulièrement mais on s’astique sans se hâter profitant du moment.

Ce n’est qu’après une bonne dizaine de minutes que Jean semble plus prompt à la jouissance et accélère sensiblement la vitesse de ses mouvements. Je le comprends : la scène à l’écran est particulièrement excitante! Je fais de même, inspiré par la situation (à l’écran).

L’un comme l’autre, à force de nous tripoter, nous arrivons à jouir, Jean d’abord mais je ne tarde pas non plus imaginant vivre la scène avec ma douce Amandine. Puis, après nous être essuyés et avoir remis nos dessous, nous papotons un moment allongés sur mon lit.

- Moi : Petite question : tu sais où t’en es de ta sexualité?

- Jean intrigué : Comment ça?

- Moi : Hé bien tu sais, est-ce qu’on peut dire que t’es gay ou est-ce que tu ne sais pas?

- Jean : Sans te mentir, c’est pas que je ne sais pas, c’est que j’ai envie d’Erwan en ce moment et c’est tout ce que je peux dire.

- Moi : C’est déjà pas mal!

- Jean : C’est ce que je me dis aussi.

- Moi : Mais tu vas en parler aux parents de tout ça?

- Jean : Ils savent qu’on est ensemble avec Erwan.

- Moi : Ah bon et alors ils en pensent quoi?

- Jean : Euh il m’ont juste dit la même choses que toi, ils sont contents pour moi mais ils me demandent de rester discret.

- Moi : Oui histoire de pas avoir de problèmes avec certains…

- Jean : Exact et aussi pour ne pas être la risée de nos amis.

Ils sont bienveillant nos parents, je n’en doutais pas mais le fait qu’ils ne jugent pas la sexualité “décalée” de Jean en est une preuve supplémentaire. On parle un long moment jusqu'à nous endormir sans même nous en rendre compte.

Lors de mon réveil le lundi matin, je suis tout excité rien qu'à l’idée de simplement la retrouver, je bande déjà fort malgré la branlette d’hier soir. Jean, lui, dort encore et, tout comme moi, ne porte qu’un slip : on s’est vraiment endormi comme des merdes.

Il est encore tôt, je n’ose pas envoyer de message à Amandine. Je mets quelques vêtements supplémentaires et descends prendre le petit-déjeuner. Je laisse Jean dormir : il n’est pas "du matin", il a encore la réputation d’être un lève-tard.

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