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Époumoner à l’inceste des parentèles métissées les aigremoines kaolin, argiles et labiles, dont l’habit ne fait pas l'aumône à la rue des parvis ardoisés où se cachent, naguère épais, les étiques marcheurs ambulants sous les gyrofoires du trône. Les tentes crevées par l’attente à en perdre son latin et les bras sans tombe qui s’égarent au graviers des fosses déclarations, dans le regard sceptique des tabatières vénéneuses qui ne s’émeuvent plus, imperméables verrières où ruissellent les cieux intrigués, les pipistrelles à l’amer des refrains mal aimés comme des branches aux pendus. Sous les figuiers étrangleurs s’agitent les hyènes au rire de caniveau, s’ébrouant de jactance nasillarde dans les avanies broussailleuses des crevasses verruqueuses. Les cornes poussent comme des frelons de fête foraine avant que mon corps ne m’use au biniou des estocs adipeux dont on frappe le clou des spectacles dans les détours enchantés des tripots fleuris aux balcons géraniums. Acclamer la vie et l’avis des idoles parvenues, auréolées de grâce rance à s’en beurrer les mirettes, à s’avaler et s’alourdir aux périssoires avironnantes des dates péremptoires. Courir loin des feux de la rampe qui déjantent les penauds crevés, s’avachissent dans les prés hypothétiques et les prêts hypothécaires, à poursuivre les comètes à coup de post-it enlistés, enlisés dans les sabords torves et tortueux des échappées mouvantes. S’incendier de grammaire sous des trombes d’éléphants mauves, et les bons jours sur répéteur, qui se menthent au fond des mojitos. A faire trinquer les verres fumés les yeux dans les yeux de l’importance ajourée, epuisette des avanies vinassières où pataugent les foies de morue ancoliques, saumurés à l’encaustique des cirés jaunes, les fourrures térébenthines qui s’écharpent au col des sacrilèges éternels. Les averses plurielles qui s’estompent à terre d’adélie et délivrent les freux de bassan dans les bassins candides où nagent les fémurs en guérite et les espardons soutirés et sous titrés à même les pagnes clair-obscur qui s’épongent au pinson des consignes vermoulues. Les appétits sans fin qui salivent aux solives tapenades sous des planchers charcutiers, les délateurs à la voix lactée qui conspirent au chevet des nuits sans quartier ni croissant, accrocher des gouttières aux cheveux des comètes éméchées et des chats d’orichalque au châle sanguin des oranges intrépides. Des chiffons de suie dans des yeux de khôlombes calfeutrés à l'affût des baisers de judée, goûtant l’acide acédie des séides séditieux qui succombent aux incubes tentations des incartades contraintes. Les blasons noirs qui hantent les trottoirs fanés des orgueils petrichor, battus aux coutures des fleurons festonnés qui s’affolent à l’ivoire des vitrines en deuil, qui se halotent dans les flaques lampadaires comme des grenouilles de pénitencier, dans les grilles baptismales des fanaisons indélébiles. Les heures se pervenchent au cadran des chaudrons égarés au frisson des chemins boueux et des flaques enciellées à la herse des ramages macramés. Les secondes s’épiloguent dans les péroraisons aquarelles des torsades indivises, parresses oniriques de prélats dans les hamacs en fleur des vergers aux alouettes. Le chant du paon qui s’escrime dans les buées rauques des silences écrevisses, à ne pouvoir s'empêcher d’ouvrir les guillerets à la ligne amarescente des alinéas d’eau douce, lacunes cavalières sur les montures des lunes amazones, scindées d’azur farouche par le galop des psychopompes pellucides.

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