Chapitre 12 : Nouvelle vie
Une douce odeur de fruit me parvient aux narines. J'entends quelques voix prononcer des paroles incompréhensible. Je sent un support mou sous mon corp et je commence à me demander où je suis.
Les derniers souvenirs qui me restent en mémoire sont ceux de ma bataille contre l'homme en rouge. J'avais réussi à le maîtrisé. Et j'avais ensuite reçu un coup à l'arrière du crâne. Puis plus rien.
Je me redresse soudainement en décidant enfin d'ouvrir les yeux. Je me trouve actuellement dans ce qui pourrai être une sale de repos, plusieurs lits se trouve autour de moi. Tous vide.
Des liens m'entravent les poignets ainsi que les jambes au lit.
Prit de panique, je commence à me débattre et au même moment une clochette se met à tinter à une vitesse alarmante ce qui me surprend et provoque l'entrée de deux hommes dans la pièce.
Ils portent une tenu de couleur blanche et rouge, je comprend immédiatement qu'il s'agit de médecins.
— Ah, tu a enfin décidé d'ouvrir les yeux. Cela fait quatre jours que tu es ici. Nous commencions à nous demander s'il n'avais pas taper trop fort. Est-ce que tu m'entend ?
Il avait dit cela en voyant que je le regardait d'un œil mauvais.
— Où suis-je ? Demandai-je d'une voix qui se voulait méfiante.
— Calme toi, nous ne te voulons aucun mal. Tu es à Dalvos. Tout te sera expliquer plus tard. Pour l'instant nous sommes ici pour être sur que tu va bien et que tu es prêt à te lever.
Je commence à paniquer. Je ne reconnais pas ces personnes. Je n'ai jamais entendu parler de Dalvos. Où sont mes compagnons ? Que m'a fait mon adversaire ? Il m'a peut être envoyer dans son territoire.
L'un des hommes s'approche de moi et défais chaque lien en me regardant. Pour être sur que je ne lui saute pas dessus.
Une fois que je me retrouve libre, il s'éloigne et me regarde comme si je n'étais qu'un sujet de test.
— Levez vous s'il vous plait.
Sachant que je ne pourrai pas vaincre deux personnes dans mon état actuel, je décide de leur obéir. Tout en gardant un œil sur eux.
Je me lève et aussitôt ils me demandent.
— Aucune difficultés à rester droit ? C'est très bien. Disent ils après m'avoir vue répondre à la négatif.
— Est-ce que vous y voyez clair ?
Je hoche la tête en signe d'affirmation et le premier homme sort de la salle. Me laissant seul avec son équipier. Le deuxième s'approche, s'assoit sur le lit duquel je viens de me lever et me demande de m'asseoir, ce que je fait après une petite hésitation.
— Écoute, ici nous ne te voulons vraiment aucun mal. Peut être que tu pense le contraire, sa serai même normal mais tout te sera bientôt expliqué. Pour te faire preuve de notre bonne fois, tes compagnons sont devant la porte. Cela fait quatre jours qu'ils vivent à nos côtés et qu'ils attendent ton réveil. Il pourrons même te témoigner notre bonne fois. Tout sa pour dire, ne pense pas que tu es en danger. Ici tu es comme chez toi. Aller je te laisse les rejoindre.
Il se lève et m'aide à faire de même. Je me dirige vers la sortie et avant de pousser la porte, cherchant quelque chose à dire. Finalement j'y renonce et je sort de cette salle.
Ce que je voit me laisse bouche bée. Nous sommes dans une énorme caverne qui doit faire au moins la taille de Efuran en longueur. En hauteur cependant, je n'aperçoit même pas le plafond. Malgré toutes les torches et les sorts de lumières. Des ponts et des passerelles s'entremêlent partout. Des escaliers en pierre taillé les reliant les uns au autres. Cette ville se trouve sur une vingtaine d'étage différent.
Des bâtiments de plein de style différent sont visible. L'étage ou je me trouve actuellement est situé tout en bat de la caverne. Pendant un moment, j'oublie l'État de panique dans lequel j'étais quelque minute avant grâce au son environnant. Les rire des vieilles hommes en train de jouer au Fret, les cries des enfants qui s'amusent à se courir après, les voix des marchands qui vante leurs produits.
Il me semble alors entendre quelqu'un dire mon nom dans mon dos. Bien que l'homme m'ai prévenu, je ne peut m'empêcher de sourire en voyant Earin courir vers moi suivit de Aria et Ragnac. Tous ont un large sourire sur le visage. Je les prends chacun dans mes bras, content de les voir en bonne santé.
— Que c'est il passé ? Je demande afin d'obtenir des réponses clair. Pourquoi sommes nous là ?
Ragnac explose de rire et me regarde en souriant avant de dire d'un thon léger.
— Suit moi, je connais un bon endroit où nous pourrons parler de cela.
Et il me conduit à travers plusieurs rue, passant devant des boutiques de parfum, des boutiques de livre de magie bat de gamme et des boutiques de vêtements. Jusqu'à arriver devant ce qui me semble être un bar. Je n'en avais jamais aperçu avant, étant donner que cela est une spécialité des nains, bien que les humains en est créé aussi. Chez les elfes cela reste inhabituel. Ragnac m'observe, comprenant mon désarroi devant cette bâtisse.
— Moi non plus je n'en avais jamais vue avant mais une chose est sur. Bien que je n'aime pas beaucoup les nains, ils ont eu une très bonne idée en créant cela.
Nous nous asseyions donc à une table en pierre entouré de quatre chaise en pierre également. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant s'approcher de moi, un nain. Il s'approcha à petite enjambé, un bloc-note à la main. Il regarda d'abord Ragnac, lui fit un clin d'œil et lui dit.
— Toujours la même chose pour l'elfe casse pied ?
— Toute à fait petit gars ! Dit il avant d'exposé de rire.
Le nain regarde ensuite Aria en souriant.
— Et la jeune elfe, que veux elle ?
— Un verre d'hydromel, à la baie s'il vous plaît.
Il semble murmuré dans sa longue barbe une phrase que j'entends clairement.
— Quel sacrilège de couper de l'hydromel.
Il souris ensuite à Aria afin de lui faire comprendre qu'il plaisante, même s'il semble quand même agacé.
Il note la commande d'Aria sur son calepin et se tourne ensuite vers moi et Earin.
— Et vous les humains ? Je vous sert quoi ?
— Une coupe de Tharos pour moi chef. Lui dit Earin en faisant un grand sourire.
Il tourne ensuite son regard vers moi, attendant ma réponse.
— Euh .. La même chose s'il vous plait.
Il note cela et se tourne une dernière fois vers moi avant de partir chercher les commandes.
— Je suppose que c'est la présence d'elfe stupide qui te rend maboule. Ne t'en fait sa ira bientôt mieux.
Une fois encore, Ragnac explose de rire, ce qui provoque un sourire sur le visage du nain qui lui tapote l'épaule (qu'il atteint à peine) et s'éloigne à l'intérieur du bâtiment.
— Vous avez l'air de bien le connaitre. Dis-je en espérant des explication.
— Et bien ton père est ici depuis qu'on est arrivé, enfin presque. Et ils aiment bien ce chamailler.
Le nain revient alors avec un plateau content quatre verre, dont deux identique possédant une agréable couleur bleu foncé.
Une fois les boissons en main, nous nous regardons et je demande à Aria et Earin.
— Et vous, vous faites quoi depuis que vous êtes là ?
Aria me dit qu'elle avait passer la première journée devant la porte de l'infirmerie à espéré que je me réveille. Puis les prochain jour à faire le tour des boutiques, en découvrant de nouvelles culture.
— Et toi Earin ?
Là elle devient rouge et Ragnac reprit son seriux avant de me dire d'une voix calme qui réchauffe le coeur.
— Depuis le début, elle à passer chaque journée à ton chevet.
Afin de cacher ses roues rouge, elle porte le verre à sa bouche et disparu derrière pendant une bonne minute.
Nous passons ensuite plusieurs minutes à nous raconter des histoires idiotes qui me firent bien rire. Je fini même par me rendre compte que je me sent à l'aise dans cette endroit que je viens de découvrir. Même si certaine chose me sont encore inconnu. Je me décide donc à leur poser des question.
— Que s'est-il passer l'autre jour ?
— Premièrement je tient à te dire que tu avais tord quand à ses intentions, elles étaient tout à fait noble. Je pensais pourtant la même chose que toi, j'étais persuadé que tu avais raison. Mais je vais t'expliquer. Il nous avait tout les trois paralysé, nous ne pouvions plus faire le moindre mouvement. Nous ne pouvions que regarder votre duel. Tu à d'ailleurs été admirable. Quand tu à réussi à le maîtrisé, il c'est passer quelque chose d'étrange. Mon coeur avait arrêter de battre, un clone de lui même était apparu dans ton dos et comme tu à du t'en rendre compte. Il t'a assommé avec une pierre. Nos mouvements ont ensuite été libéré. Sans hésite j'ai voulu sauté sur cette homme seulement il nous à raconter son point de vue, il t'a porter et nous à demander de le suivre. Ensuite nous sommes arrivé ici. Puis ils nous à dit que quand tu serai enfin réveillé, nous serions mit au courant du reste de l'histoire ainsi que de la suite des événement. Il nous à également dit qu'il était l'un des chefs de cette armé. En parlant avec les habitants j'ai apprit qu'il s'agit d'un groupe de rebelle qui se bat pour les mêmes valeurs que nous. Ils sont donc effectivement nos alliés.
Il porte son verre à sa bouche, suivit de nous trois. Nous restons silencieux pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que je demande.
— Mais pourquoi m'a il attaqué alors ?
— Et bien c'est toi qui m'a provoqué, il fallait bien que te rabatte le caquet. Dit alors une voix derrière moi.
Je voie l'homme, cette homme avec son armure rouge et ses long cheveux blanc se trouve derrière moi.
— Désolé si j'y suis aller trop fort avec la pierre mais j'avais pas vraiment le choix. Enfin bref, les maîtres m'ont demandé de vous prévenir, ils souhaiteraient vous voir dans deux jours au zénith devant le palais. Soyez à l'heure s'il vous plait et bonne soirée à vous. Darick, j'espère que tu te plaira ici.
Il tourne les talons et s'éloigne silencieusement à travers les rues de Dalvos, sans nous laisser le temps de lui répondre, sa mission accomplit.
Je jette un œil à mon verre et après réflexion, le vide d'une traite.
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