Mes yeux s'ouvrent lentement. Je tremble en me souvenant des événement d'hier. Pensant que le vent m'a réveillé et voyant la nuit noir hors de la grotte, j'essaie de me recoucher.
Seulement un son me perturbe. J'entends comme une sorte de sifflement.
Observant les irrégularités de la pierre situé au dessus de ma tête, je me concentre là dessus pour ne plus entendre le son. Seulement je l'entend qui s'approche et le sifflement prend peu à peu la voix d'une femme qui murmure.
Le son est semblable à celui que provoquerai une rafale de vent à travers des feuilles très dense. Mais je perçois tout de même des mots.

- Viens. Rejoins moi. Je t'attends.

Pensant qu'il ne s'agit de rien d'autre qu'un rêve, je me pince le cou afin de me réveillé. Seulement cela ne change rien.
Je décide alors de m'asseoir en tailleur.

Vers l'entrée de la grotte, j'aperçois Aria, allongé sur le dos. Je me dirige vers elle afin de regarder sa blessure. Bien qu'elle n'est pas entièrement refermé, les plantes font leurs affaire et la plait commence déjà à disparaître.

C'est alors que je voie une légère aura mouvante devant la grotte. Celle-ci libéré une agréable lumière blanche. J'attrape mon épée et me dirige vers la lumière.

À peine ai-je poser un pieds hors de la grotte que je reste bouche bée. Une femme se trouve à deux mètre de moi et regarde dans la direction opposé à la mienne. Son corps semble fait de la même matière que l'aura qui l'entoure bien qu'elle soit plus solide.

Silencieusement je m'approche. Rapidement, elle brise le silence. Sa voix ressemble à celle d'un ange.

- Te voilà. J'avais peur que tu ignore mes appels. Dit-elle d'une voix angélique.

Là, elle se retourne et j'aperçois son visage. Elle semble blonde, possède un visage fin, des joues creuses et des yeux très clairs. Elle me regarde avec un sourire franc remplit de bonté. Automatiquement je porte mes yeux à mon arme et après un soupir, les ranges dans leurs étuis.

- Comment va ton amie ? Me demande t-elle d'une voix douce.

Sa question me gène. Comment peut elle être au courant pour Aria ? Était elle en train de nous espionné lors-ce-que l'homme en armure nous avait attaqué ? Non, même en essayant, je ne peut douté de sa bonté d'âme.

- Elle va bien, sa blessure guérit rapidement. Excusé moi mais .. Qui êtes vous ?

Je décide de le lui demandé afin de ne plus avoir de doute. Étrangement elle me souris mais son regard se remplit de tristesse alors qu'elle dirige ses yeux vers le sol.

- Je ne suis qu'un fantôme du passé. Ici ce n'est pas ma vie. Je suis simplement venu ici afin de vous aidez dans votre quête.

En prononçant ses mots, elle suscite aussitôt mon intérêt.

- Vous êtes au courant pour notre quête ?

Elle se met à rire de sa voix digne d'un ange.

- Évidemment que je suis au courant. Vous cherchez les Despiarels n'est-ce pas ?

Ne pouvant me retenir, je me met à sourire et l'assaille de question.

- Savez vous à quoi ils ressemblent ? Savez vous où ils sont ? Comment savez vous que nous les cherchons ?

Un bruit retentit alors derrière moi, quelqu'un viens de se réveillé dans la grotte.
La femme me regarde et me dit d'une voix pressé.

- Je suis désolé mais je ne peut te dire qu'une seule chose. Aide toi du monde.

Alors qu'elle se retourne et s'apprête à s'en aller. Je lui lance une dernière question.

- Comment vous appelez vous ?

Elle tourne alors lentement sa tête vers moi et me dit de sa voix divine.

- Tu peut m'appeler La Sorcière Blanche. Ou encore par mon nom. Hyvia.

Et c'est après cette dernière phrase qui me laisse bouche bée. Qu'elle s'éloigne. Après environs trois mètres, elle disparaît. Ne laissant derrière elle rien d'autre que le flux d'information qui se fraye un chemin dans mon cerveau.

Hyvia. Est-ce que je viens réellement de parler à Hyvia ? Du moins à son esprit. Ou bien était-ce simplement une femme qui voulait se faire passé pour elle.

Je rejoins rapidement l'entrée de la grotte pour voir Rizes me regarder rentré.

- Que faisait tu dehors ?

Je lui répond honnêtement en le regardant dans les yeux.

- Je viens de parler à l'esprit d'un des cinq dieux. Dis-je d'une voix détaché comme si c'était quelque chose de banal.

Avant qu'il ne me coupe la parole, je rejoins le fond de la grotte et m'endors rapidement sous sont regard inquiet.

Toute la nuit, des images de la déesse parcourt mon esprit. Sa beauté toujours imprimé sur mes rétines. Sa voix raisonnent toujours dans mes oreilles lors-ce-que j'ouvre les yeux.

Mon premier réflexe et de regarder vers l'entrée de la grotte, je voie que je suis l'avant dernier à m'être réveillé. À quelques mètres de moi se trouve Earin, toujours endormit. Pile au moment où je rejoins les autres, je voie Aria ouvrir les yeux. Bien que son visage soit d'une pâleur inquiétante, nous sommes tous rassuré de la voir éveillé. Après qu'elle ai avalé une ration, son visage reprend de ses couleurs et elle se relève rapidement. Bien que la blessure semblent lui faire encore un peu mal.

C'est alors que je me rend compte que Toar n'est plus là. Quand je questionne les autres, ceux-ci me disent qu'il est retourné voir les traces du combat d'hier.
La grotte est plongé dans le silence pendant que nous attendons que Earin se réveille. Maéris est collé à Aria et Ragnac est en pleine discussion amical avec Lind'ha. Par contre, depuis mon réveil, je sent le regard de Rizes braqué sur moi. Peut être qu'il me pense fou. Peut être que je le suis réellement.
Je parlerai de ce que j'ai vue à Toar quand nous le rejoindrons.

Une fois tous prêts. Nous sortons de la grotte, nos sac sur les épaules et reprenons l'ascension de la pente. Nous rejoignons rapidement Toar sur les lieux du combat. Quand ils nous voie approché, il hausse les épaules et nous dit.

- Il ne reste pas la moindre trace de lui. Pas la moindre goutte de sang ni quoi que ce soit. C'est comme s'il n'avait pas existé.

Nous reprenons alors la marche vers le sommet et nous recommençons tous à économisé notre énergie en ne prononçant pas le moindre mot.
En levant la tête, j'aperçois le sommet qui se rapproche à une vitesse ahurissante. Là-haut se dresse une tour de trois étages.

Nous atteignons rapidement le sommet et avant d'entré dans la tour, nous en faisons le tour afin de voir par les fenêtres si quelqu'un se trouve à l'intérieur et également si nous pouvons pré-visualisé quelque chose d'intéressant.

Nous ne voyons personne mais mis à part quelques livres et des meubles. Nous ne voyons rien depuis l'extérieur. Alors nous nous dirigeons vers la porte.
Étrangement celle-ci est ouverte.
En entrant à l'intérieur du bâtiment, nous sommes tous surprit par la propreté qui s'en échappe. En effet, pas la moindre poussière n'est présente. Tout semble rangé parfaitement, mit à part les livres dispersé sur la table.

Je m'en approche et tend la main en direction des ouvrages afin de voir leur titre.

"Tout savoir sur la magie"
"Puissance d'artefact"
"L'art de la vie"
"Lien astral"
"pouvoir divin"

Ne sachant pas quoi pensé de cela, je me dirige vers des tiroirs et les ouvres en espérant trouver quelque chose d'important. Seulement je ne trouve rien d'autre que de simple couvert en argent.

Pendant que tout le monde fouille la demeure à la recherche de quelque chose d'intéressant, j'observe la pièce dans laquelle je me trouve. Seulement rien n'attire mon attention. Alors sans demander leurs avis aux autres, je me dirige vers le premier étage. Là, j'aperçois ce qui ressemble à une chambre. Un lit se trouve au centre de la pièce, celui-ci est défait. Les couvertures traînent par terre. Un bureau est présent dans un coin de la pièce. Je m'approche pour l'examiner mais celui-ci est plein de feuilles écrivent dans une écriture que je ne comprend pas.
Laissant tombé cette étage pour le moment, je me dirige vers le dernier. À peine suis-je arrivé que je sais déjà que je ne trouverai rien d'intéressant ici. Mit à part des outils étrange que je n'ai jamais vue avant, des feuilles vierge, d'autres remplit de runes. Contrairement aux autres pièce, celle-ci est complètement ravagé par la poussière et la saleté.

Après un dernier regard, je redescend rejoindre les autres qui sont passé au premier étage. Pendant que Lind'ha et Toar examine le bureau ainsi que son contenu. J'aperçois alors sur celui-ci une sphère de verre, à travers laquelle je voie notre monde entier. Ce genre d'objet est très rare et porte comme nom "carte sylvienne". Sur les meilleurs modèles, il y à la possibilité d'approcher ou d'éloigner le morceau de terre que l'on observe afin de le détaillé ou non.

Une phrase apparaît soudainement dans mon esprit.

"Aide toi du monde".

Surexcité, je court auprès du bureau, attrape la carte d'une seul main et l'examine point par point pour ne pas laisser passer d'information importante sous mon nez.

Alors que je la fait légèrement pivoté pour observé un autre endroit, j'aperçois quelque chose d'étrange. En effet en regardant la carte, je voie une croix placé au sommet d'un haut relief.

En observant plus attentivement, je peut voir d'autre croix situé à différent endroit de la carte.
Aussitôt, je fait part de la trouvaille à Toar.

- Il se peut que les croix indiquent la présence des Despiarels mais rien n'est sur. Ulfric était ici avant nous. Il aurai pût la prendre si c'était le cas.

- Tu pense qu'il les cherche aussi ?

- Je n'en suis pas certain mais c'est une probabilité qu'il ne faut pas mettre de côté. Peut être est-il juste passé à côté de la carte. Peut tu la prendre dans ton sac ? Me demande t-il.

J'acquiesce et après avoir ouvert mon sac, je glisse la carte à l'intérieur.

- Je pense que ces feuilles ont un lien avec les croix. Dis-je à l'intention de Toar.

Celui-ci commence à marché en rond, la main sous le menton.

- C'est possible. Malheureusement je ne comprend pas cette langue, mais nous pouvons les emmener aussi. Peut être que quelqu'un saura les déchiffré.

Après avoir fourré les feuilles dans mon sac et avoir repassé la maison au peigne fin. Nous sortons et reprenons la route en sens inverse.

Le chemin du retour se passe dans le calme. Personne ne se met en travers de notre chemin et nous passons une semaine à marcher. Chaque soir, je sort les feuilles de mon sac et les examine longuement. Cela ne change rien, je ne comprend toujours rien à leurs significations mais cela me donne l'impression d'avancer.

Lors du dernier jour de marche. Alors que je suis entrain de discuté avec Toar de la suite des événement. Un crie me fait sortir de mes pensée. En effet je me retourne en même temps que mes camarades pour voir Maéris, tremblante de peur, tomber au sol. Aussitôt nous la rejoignons et je la voie, replier ses jambes contre son torse. Des larmes de sang coule de ses orbites.

Prenant la voix la plus douce possible, je me penche vers elle et après avoir posé ma main sur son épaule, je lui demande d'une voix calme.

- Que se passe t-il ?

Et là elle me répond faiblement.

- Droit devant nous. Je reconnaîtrai cette marque entre mille. Ulfric nous attends.