Cela peut sembler fou, je le sais. Mais a eu une telle influence sur ma vie que je pense que ce défi est l’occasion d’en parler.

Christopher Bang Chan. Auteur, compositeur, interprète, mannequin coréo-australien, leader du groupe de K-pop Stray Kids.

Il ne me connaît pas. Et je ne connais de lui que ce qu’il accepte de montrer à travers les écrans. Pourtant, il m’a aidée.

Sa voix, d’abord, est pour moi thérapeutique. Son parcours est inspirant. Sa maîtrise de plusieurs langues m’a poussée à perfectionner mon anglais et à débuter le coréen.

Son courage quotidien, et l’attention qu’il porte aux membres de son groupe, ont toujours suscité mon admiration.

Et puis son sourire fatigué, dans les Chan’s Room — ces lives qui furent ensuite interdits par son agence, jugés trop « personnels ».

Cet artiste, toujours plus occupé dans une vie constamment exposée aux fans — dont une partie peut se révéler toxique — prend malgré tout sur son temps personnel pour leur parler.

Ses vlogs silencieux sont une véritable bénédiction : un espace de calme, d’apaisement, presque parfait.

Même si je ne suis plus son groupe, ni même sa carrière, avec la même intensité qu’avant, il reste pour moi vraiment précieux : Chanie et ses fossettes.