Pensées à la volées
Doux chant des merles, envoutez moi avec vos gazouillis et donnez grâce à la Belle inconnue qui sommeil ces temps-ci. Donnez moi espoir et la force nécessaire pour continuer la route qui est mienne, le destin qui est mien, laissez moi le temps de faire ce vague à l’âme pour arriver sur le chemin des destinées. Je sais que je ne mérite pas le bonheur, mais ce soir, je ne sais pas, j’ai envie de poser la plume, pour elle, pour son regard, pour son esprit brillant comme la lune, pour sa plume de maître. Pour elle.
J’ai perdu le met que d’écrire depuis lors, mais ce soir, je pousse avec force l’envie de composer pour elle, encore et encore. J’espère qu’elle se reconnaîtra sur ce rouleau de papyrus comme composé par les scripts d’antan, au temps des hiéroglyphes, où partons en des temps plus anciens, comme ceux des tablettes de l’ère de la Mésopotamie.
Ou pire et partons plus loin encore, comme à l’aube de la Création au temps là où le temps est comme suspendu par un fil, comme celui du Destin, à l’aube de la force de l’Amour de l’Espérance et du Chaos. Ces trois forces primordiales, pour comprendre que l’amour portée à cette Belle inconnue transcende au travers des âges, des époques, des saisons.
Je suis cet homme qui pense comme dix, mais qui aime comme mille. A la Belle inconnue à son esprit si brillant et bien sûr, à son cœur de lys.

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