Correspondance fantastique.
Un truc qui m'intimide dans l'infini.
Ce quelque chose d'intimiste dans l'insipide.
À peine arrivée que c'est déjà parti vite.
La pluie me parle de mes erreurs.
La nuit me conseille de laisser faire.
ben là les frères, la plupart font le bruit de mon coeur.
Oui la reverb sonne très très fort.
J'ai fui le noir sur un météore.
Fonce tête baissée à la gloire des matadors.
Mate un peu. Dis-moi que j'ai tort.
Ho mon dieu ! Dis-toi que c'est fort.
Au bout du chemin c'est le métissage.
Calme comme le temps, qu'aucune de ces vagues ne dévisage.
L'impression de léviter, en plein pèlerinage.
J'fais mes grimaçes, sur mes rivages.
J'vis le climax en plein clivage.
En vrai je m'immerge, au plus près de l'image.
C'était dimanche. C'est l'or qui ment.
mon orchidéé, j'en dors plus moi.
J'suis survivant, même le jour suivant.
C'est jouissif, époustouflant, éblouissant.
Des poussières d'anges qui poussent les rangs qui boost les vents.
Rien d'ébouriffant. Rien à y faire.
Écoute, je te le dis en tant que mammifère.
Chacun pour sa guerre.
Tu peux trouver un chagrin sous chaque pierre.
ou chaque main qui l'enterre.
Son voile en satin qui s'envole.
Qu'on s'entende. c'est mon poid en safran, mais en tonnes.
Mais encore ? 10000 ans plus tard c'est toujours l'homo sapiens qui prend forme.
L'oeuvre du matin qui se renforce. Un maintenant qui prend sens.
Amour et force. Récoltes et chances.
Allez thcouss.

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