Même si t'aurais la vérité qui pourrait la maitriser.

J'ai peut-être besoin de dégrisé.

Soit c'est des trucs à éviter.

Sois ces fruits distillés augmentent le son de ces malheureux criquets.

Sois que c'est juste à côté.

Qui est juste, qui a tort nan?

Ne demandera jamais le torrent.

Ne te rendra jamais ce que tu ressens.

Toi qu'as-tu fais de l'adolescent ?

Le molester pour être oppressant.

T'as tes raisons, c'est pas récent.

Dis-moi si je me trompe, mais ce port est splendide.

Dix fois que je m'étrangle, personne a dit que les torts sont extensibles.

Imcompréhensible. On est trop on va bronzer en file.

Indompté en soit, on va foncer dans le mile.

Un pamphlet pantois, tombé dans le fleuve.

Les eaux sont montées, nos erreurs pleuvent.

Personne notera l'heure du dernier des heureux.

Même pas la planète bleue.

Les laves apparaîtront, j'en met ma main au feu.

Trop d'hommes malveillants et pas mal odieux.

Je demande gentiment de nous épargner,

des pommes empoisonnées dans les paniers.

C'est pas parce que t'as plus d'ennemis que t'as tout gagner.

Des plumes à emmurer. Ou plutôt des trucs à nier.

De plus en plus à endurer. T'auras bien dû te calmer.

Sans chuter. Bien qu'ici s'achève ce carnet.