Prisonnier de la toile.
L'ouverture, où les mots perdurent.
L'eau, l'air pur, les modèles sûrs.
Cherche une autarcie sur une Terre mûre.
Un autre mardi en pleine verdure.
Partage l'inaccessible au prorata, comme si c'était Mercure.
J'aime bien Samson, je me demande si c'est Hercule.
Dieu dans la fleur, la faune et l'opercule.
Un petit bonnet, une petite veste et mon propre pull.
Mon love, je sais que ce n'est pas moi qui le tue.
Ce n'est pas moi qui traîne mon cœur dans la boue, dans leurs détrituts.
Pour ensuite faire l'innocent, quand il s'agit de récupérer ce que de leur part t'as reçu.
L'humain est faible, à refuser sa propre nature.
Se croit tellement au-dessus de sa propre carrure.
Rester agile, en l'honneur du sculpteur qui d'argile a fait mon ossature.
Mes os me l'assurent. L'eau du ciel me rassure.
La lumière ruisselle sur sa peinture.
Pleur, misère et seum, ne sont qu'une partie de la teinture.
Faut du miel comme du sel, pour cette texture.
J'ai la foi, que j'ai la foi. J'ai la foi que j'ai la tête dure.
Il m'a fallu du temps pour comprendre, que le pardon referme les blessures.
Qu'il n'y a pas de potions contre la poisse, qu'il y a l'Histoire derrière les fissures.
Chacun sa mission, que soit béni ceux qui t'accompagnent dans la tienne.
Aussi loin que tu sois, moi aussi, j'ai pas d'autres choix qu'y aller solo. Tu n'es pas le seul alien.
Cela dit, j'espère que tu croiseras autre chose que des fucking vampires.
Que des bâtards sans conviction, ni discipline, qui veulent te prendre pour le pire.
Ou te prendre pour le pitre, quand ce sont eux qui te bouffent tes piles, veulent éteindre ton rire.
Que t'es en droit de ne pas avoir d'armes. Ou qu'au moins pour toi, ce soit légal.
Laisse-moi oublier ma colère. Laisse-moi au moins prier, avant que la faiblesse ne se régale.
Que je prenne mon aura et que je détale. Puisque c'est si dur d'admettre que l'autre est un égal.
Le parasite te parle de justice. L'hypocrite te parle de morale.
L'imbécile qui ne pense qu'en " moi je " prétend ensuite être dans la communication.
En gros, ça crache sur l'Habeas corpus histoire de se sentir plus libre, écrasant sa propre vibration.
Alors lâche jamais rien. Continue ta vie qu'importent les vipères et leurs viles actions.
Merci à tous et toutes. Merci au seul à qui l'on doit toutes consécrations.

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