Les crocs de l'orgueil.
Trouble est le sort, mais double est le socle.
La coupe et le score, une loupe dans un monocle.
Des loups de ce monde, sous une voûte se convoquent.
Sans un doute d'une seconde, se bougent et se moquent.
Tout se joue dans une note. Que de boom en une œuvre.
Dans une heure, en août, dans l'espace-temps d'une pieuvre.
Efface l'encre et l'ocre. Laisse danser l'ange et l'ogre.
Dans un sens, c'est noble. Sans un sous c'est sobre.
C'est flou dans le sabre. L'équation la plus complexe se résoud dans le sable.
Résonne dans le simple, se résolve comme étant stable.
Je veux garer une Ferrari dans l'étable.
Il y a ces travers. Des tas de vers dans des tavernes.
Des cassettes dans des casernes. Des cassos dans des cavernes.
On est quatre cents dans nos rangs.
Loin du cadran. Miroitant tel l'océan.
Quel opéra ! Sous la lune, sous le cygne, sous l'étang, se trouvent des os de géants.

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