La soie du ciel.
Peut-être que quelqu'un a tellement souffert qu'il en a ouvert un trou de verre.
Plus d'un, qui s'arcboutèrent et s'écroulèrent et que d'autres redoutèrent.
Et encore d'autres se soudèrent, les repoussèrent et les rébutèrent.
Ceux qui reculèrent et se réfugièrent, reluquèrent les reliquaires.
On a trouvé des réponses insensées et des questions qui s'expliquèrent.
Des ennuis qui s'allièrent et des risques qui ennuyèrent.
Des morceaux de vie dans une feuille et des morceaux de vie dans une cuillère.
Inspi lunaire, vie en lumière, libre comme l'air austère.
Comme un corsaire, qui ose se taire.
Comme le sont trop souvent les molaires de la colère.
Tapis loin derrière les paupières. Peut-être même dans les mots de Molière.
Si on considère qu'ils coopèrent dans le commentaire qu'on modère, qu'ils prospère.
Dès fois qu'on creuse pour un bide.
Dès fois qu'ça buzz pour un vide.
Un télescope dans la sacoche, sur la pochette d'un projet grossier.
Je sens que l'éléctrochoque s'approche. Je dis à la prochaine, j'en ai trop chier.

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