Mille et un haïkus pour mille et une nuits
de phillechat
Retour à l'œuvre
Première nuit.
Deuxième nuit : Tourterelle
Troisième nuit : gravité
Quatrième nuit : invention
Cinquième nuit : rêves
Sixième nuit
Septième nuit : naissance
Huitième nuit : berger
Neuvième nuit : absence
Dixième nuit : vide
Onzième nuit : onde
Douzième nuit : oubli
Treizième nuit : taupes
Quatorzième nuit : dés
Quinzième nuit : vélo
Seizième nuit : chat quantique
Dix-septième nuit : soleil
Dix-huitième nuit : concert
Dix-neuvième nuit : laisse
Vingtième nuit : cordes
Vingt-et-unième nuit : rêve Séraphin Lampion
Vingt- deuxième nuit : vieillir c'est
Vingt-troisième nuit : Huppe
Vingt-cinquième nuit : possession
Vingt-sixième nuit : le passe muraille
Vingt-septième nuit : Vénus
Vingt-huitième nuit : envol
Vingt-neuvième nuit : infinitésimal
Trentième nuit : ce que je sais
Trente-et-unième nuit : bonheur
Trente-deuxième nuit : passé
Trente-troisième nuit : murmure
Trente-quatrième nuit : conversation
Trente-cinquième nuit : chaleur
Trente-sixième nuit : sens de la vie
Trente-septième nuit : amante
Trente-huitième nuit : vivre
Trente-neuvième nuit : les emmerdements
Quarantième nuit : rhubarbe
Quarante-et-unième nuit : Merle
Quarante-deuxième nuit : orage diabolique
Quarante-troisième nuit : danse improvisée
Quarante-quatrième nuit : surnaturel
Quarante-cinquième nuit : l'orage
Quarante-sixième nuit : mûriers
Quarante-septième nuit : oiseaux matinaux
Quarante-huitième nuit : rosée
Quarante-neuvième nuit : parfois
Cinquantième nuit : question
Cinquante-et-unième nuit : the Voice
Cinquante-deuxième nuit : rêve
Cinquante-troisième nuit : rire
Cinquante-quatrième nuit : nouvelle doxa
Cinquante-cinquième nuit : Peurs
Cinquante-sixième nuit : souvent
Cinquante-septième nuit : legs
Cinquante-huitième nuit : roses
Cinquante-neuvième nuit : Jardin
Soixantième nuit : longue vie
Soixante-et-unième nuit : cordes
Soixante-et-unième nuit : cauchemar
Soixante-deuxième nuit : fuite
Soixante-troisième nuit : lumière
Soixante-quatrième nuit : illusion
Soixante-cinquième nuit : nostalgie
Soixante-sixième nuit : nature
Soixante-septième nuit : errance
Soixante-huitième nuit : fleurs
Soixante-neuvième nuit : silence
Soixante-dixième nuit : la société
Soixante et onzième nuit : nature
Soixante-douzième nuit : tendresse
Soixante-treizième nuit : oiseaux
Soixante-quatorzième nuit ; trou noir
Soixante-quinzième nuit : bisounours
Soixante-seizième nuit : différence
Soixante-dix-septième nuit : mon défi
Soixante-dix-huitième nuit : l'impossible
Soixante-dix-neuvième nuit : rêve espion
Quatre-vingtieme nuit : vanité
Quatre-vingt-unième nuit : rêve exaspéré
Quatre-vingt-deuxième nuit : expérience
Quatre-vingt-troisième nuit : livres
Quatre-vingt-quatrième nuit : sorcier
Quatre-vingt-cinquième nuit : fascination
Quatre-vingt-sixième nuit : sapins
Quatre-vingt-septième nuit : désir
Quatre-vingt-huitième nuit : rêve musical
Quatre-vingt-neuvième nuit : rêve église
Quatre-vingt-dixième nuit : folie
Quatre-vingt-onzième nuit : trop tard
Quatre-vingt-douzième nuit : rêve théâtre
Quatre-vingt-treizième nuit : paix
Quatre-vingt-quatorzième nuit : mélange
Quatre-vingt-quinzième nuit : le bonheur
Quatre-vingt-seizième nuit : indocile
Quatre-vingt-dix-septième nuit : ordre
Quatre-vingt-dix-huitième nuit : jeune ou vieux
Quatre-vingt-dix -neuvième nuit : adoption
Centième nuit : rancune
Cent-unième nuit : prolongation
Cent-deuxième nuit : vitesse
Cent-troisième nuit : scoubidou
Cent-quatrième nuit : passé
Cent-cinquième nuit : renard
Cent-sixième nuit : injustice
Cent-septième nuit : ruisseau
Cent-huitième nuit : fumée
Cent-neuvième nuit : géants
Cent-dixième nuit : hélas
Cent-onzième nuit : rêve de mode
Cent-douzième nuit : et si ?
Cent-treizième nuit : mûres
Cent-quatorzième nuit : Héloïse
Cent-quinzième nuit : envol
Cent-seizième nuit : dans mon rêve
Cent-dix-septième nuit : chaque jour
Cent-dix-huitième nuit : révolte
Cent-dix-neuvième nuit : pluie nocturne
Cent-vingtième nuit : écureuil
Cent-vingt-deuxième nuit : habitudes
Cent- vingt-troisième nuit : hirondelles
Cent-vingt-quatrième nuit : rappel
Cent-vingt-cinquième nuit : coq
Cent-vingt-sixième nuit : souris
Cent-vingt-septième nuit : banal
Cent-vingt-huitième nuit : promesse
Cent-vingt-neuvième nuit : enfin
Cent-trentième nuit : rêve drones
Cent-trente-et-unième nuit : noisetiers
Cent-trente-deuxième nuit : vote
Cent-trente-troisième nuit : Bien et mal
Cent-trente-quatrième nuit : doubles
Cent-trente-cinquième nuit : infiniment infini
Cent-trente-sixième nuit : boue
Cent-trente-septième nuit : succès
Cent-trente-huitième nuit : chants
Cent-trente-neuvième nuit ; Québec
Cent- quarantième nuit : reggae
Cent-quarante-et-unième nuit : révolte
Cent-quarante-deuxième nuit : tomates
Cent-quarante-troisième nuit : livre
Cent-quarante-quatrième nuit : renard
Cent-quarante-cinquième nuit : envol
Cent-quarante-sixième nuit : répétition
Cent-quarante-septième nuit : vélo
Cent-quarante-huitième nuit : lune
Cent-quarante-neuvième nuit : soucis
Cent-cinquantième nuit : boire ou conduire
Cent-ciquante-et-unième nuit : errance
Cent-cinquante-deuxième nuit : animaux
Cent-cinquante-troisième nuit : vagabondage
Cent-cinquante-quatrième nuit : fessée
Cent-cinquante-cinquième nuit : octobre
Cent-cinquante-sixième nuit : Poutine
Cent-cinquante-septième nuit : paisible
Cent-cinquante-huitième nuit : perdu
Cent-cinquante-neuvième nuit : réussite
Cent-soixantième nuit : dans le brouillard
Cent-soixante-et-unième nuit : ouf
Cent-soixante-deuxième nuit : meurtres
Cent-soixante-troisième nuit : folie
Cent-soixante-quatrième nuit : odeur
Cent-soixante-cinquième nuit : le rire de Zeus
Cent-soixante-sixième nuit : impolis
Cent- soixante-neuvième nuit : Raison
Cent- soixante-dixième nuit : humide
Cent-soixante-onzième nuit : lost
Cent-soixante-douzième nuit : fier
Cent-soixante-treizième nuit : nudité
Cent-soixante-quatorzième nuit : désir
Cent-soixante-quinzième nuit : lessive
Cent-soixante-seizième nuit : la ville
Cent-soixante-dix-septième nuit : retour
Cent-soixante-dix-huitième nuit : commun transport
Cent-soixante-dix-neuvième nuit : voyage imaginaire
Cent-quatre-vingtième nuit : refuge
Cent-quatre-vingt-unième nuit : hélas
Cent-quatre-vingt-deuxième nuit : accueil
Cent-quatre-vingt-troisième nuit : tempête
Cent-quatre-vingt-quatrième nuit : broutilles
Cent-quatre-vingt-cinquième nuit : besoin
Cent-quatre-vingt-sixième nuit : paix
Cent-quatre-vingt-septième nuit : bottes
Cent-quatre-vingt-huitième nuit : lueur
Cent-quatre-vingt -neuvième nuit : vanité
Cent-quatre-vingt-dixième nuit : retrouvés
Cent-quatre-vingt-onzième nuit : combat
Cent-quatre-vingt-douzième nuit : Miyazaki
Cent-quatre-vingt -treizième nuit : imaginaire
Cent-quatre-vingt -quatorzième nuit : ciel
Cent-quatre-vingt-quinzième nuit : cirque
Cent-quatre-vingt-seizième nuit : partage
Cent-quatre-vingt-dix-septième nuit : Maulévrier
Cent-quatre-vingt-dix-huitième nuit : Stones
Cent-quatre-vingt-dix-neuvième nuit : summer of love
Deux-centième nuit : initiation
Deux-cent-unième nuit : volcan
Deux-cent-deuxième nuit : crainte
Deux-cent-troisième nuit : retour
Deux-cent-quatrième nuit : enfin
Deux-cent-cinquième nuit : le noir
Deux-cent-sixième nuit : réformes
Deux-cent-septième nuit : doigts
Deux-cent-huitième nuit : rêve matinal
Deux-cent-neuvième nuit : banlieue
Deux-cent-dixième nuit : couleur
Deux-cent-onzième nuit : nirvana
Deux-cent-douzième nuit : Now and then
Deux-cent-treizième nuit : visite
Deux-cent-quatorzième nuit : paradis
Deux-cent-quinzième nuit : fil
Deux-cent-seizième nuit : vil flatteur
Deux-cent-dix-septième nuit : coïncidences
Deux-cent-dix-huitième nuit : signes
Deux-cent-dix-neuvième nuit : immortalité
Deux-cent-vingtième nuit : accueil
Deux-cent-vingt-et-unième nuit : machiavélique
Deux-cent-vingt-deuxième nuit : mouillé
Deux-cent-vingt-troisième nuit : sang
Deux-cent-vingt-quatrième nuit : inimaginable
Deux-cent-vingt-cinquième nuit : fossés
Deux-cent-vingt-sixième nuit : grève
Deux-cent-vingt-septième nuit : corporation
Deux-cent-vingt-huitième nuit : invitation
Deux-cent-vingt-neuvième nuit : hésitation
Deux-cent-trentième nuit : passé
Deux-cent-trente-et- unième nuit : Zénon
Deux-cent-trente-deuxième nuit : conflits
Deux-cent-trente- troisième nuit : infini
Deux-cent-trente-quatrième nuit : avant Noël
Deux-cent-trente-cinquième nuit : petit matin
Deux-cent-trente-sixième nuit : innocence
Deux-cent-trente-septième nuit : marée haute
Deux-cent-trente- huitième nuit : paradis
Deux-cent-trente-neuvième nuit : Brest
Deux-cent-quarantième nuit : gardienne
Deux-cent-quarante-et- unième nuit : croisière
Deux-cent-quarante-deuxième nuit : gardien
Deux-cent-quarante-troisième nuit : voeu
Deux-cent-quarante -quatrième nuit : visite
Deux-cent-quarante-cinquième nuit : sans regret
Deux-cent-quarante-sixième nuit : inondations
Deux-cent-quarante-septième nuit : fol oubli
Deux-cent-quarante- huitième nuit : humide errance
Deux-cent-quarante-neuvième nuit : bad dream
Deux-cent-cinquantième nuit : the sun king
Deux-cent-cinquante-et-unième nuit : buse glacée
Deux-cent-cinquante -deuxième nuit : blague inconsciente
Deux-cent-cinquante-troisième nuit : ambiguïté
Deux-cent-cinquante-quatrième nuit : Fassbinder
Deux-cent-cinquante-cinquième nuit : privilège
Deux-cent-cinquante-sixième nuit : souris
Deux-cent-cinquante-septième nuit : regard
Deux-cent-cinquante- septième nuit : vide
Deux-cent-cinquante-huitième nuit : Hypatie
Deux-cent-cinquante-neuvième nuit : grande lessive
Deux-cent-soixantième nuit : trop haut
Deux-cent-soixante-et-unième nuit : Finistère
Deux-cent-soixante-deuxième nuit : non agir
Deux- cent-soixante-troisième nuit : infâme
Deux-cent-soixante-quatrième nuit : mélancolie
Deux-cent-soixante-cinquième nuit : vertige
Deux-cent-soixante-sixième nuit : roots
Deux-cent-soixante-septième nuit : habitude
Deux-cent-soixante-huitième nuit : gravité
Deux-cent-soixante-neuvième nuit : bleu
Deux-cent-soixante-dixième nuit : food for thought
Deux-cent-soixante-et-onzième nuit : last wish
Deux-cent-soixante-douzième nuit : désir
Deux-cent-soixante-treizième nuit : incertitude
Deux-cent-soixante-quatorzième nuit : time is money
Deux-cent-soixante-quinzième nuit : différence
Deux-cent-soixante-seizième nuit : zen
Deux-cent-soixante-dix- septième nuit : mimosas
Deux-cent-soixante-dix-huitième nuit : usine
Deux-cent-soixante-dix-neuvième : la terre
Deux-cent-quatre-vingtième nuit : jacinthe
Deux-cent-quatre-vingt-et-unième nuit : oser
Deux-cent-quatre-vingt-deuxième nuit : immortel
Deux-cent-quatre-vingt-troisième nuit : effet et cause
Deux-cent-quatre-vingt-quatrième nuit : supermarché
Deux-cent-quatre-vingt-cinquième nuit : guerre et paix
Deux-cent-quatre-vingt-sixième nuit : Valentin
Deux-cent-quatre-vingt-septième nuit : première danse
Deux-cent-quatre-vingt-huitième nuit : compter
Deux-cent-quatre-vingt-neuvième nuit : légèrement
Deux-cent-quatre-vingt-dixième nuit : ordre
Deux-cent-quatre-vingt-onzième nuit : vols gracieux
Deux-cent-quatre-vingt-douzième nuit : mollusque
Deux-cent-quatre-vingt-treizième nuit : apaisement
Deux-cent-quatre-vingt-quatorzième nuit : rêve troublant
Deux-cent-quatre-vingt-quinzième nuit : petit matin
Deux-cent-quatre-vingt-seizième nuit : abbaye
Deux-cent-quatre-vingt-dix-septième nuit : vain
Deux-cent-quatre-vingt-dix-huitième nuit : vent matinal
Deux-cent-quatre-vingt-dix-neuvième nuit : envol
Trois-centième nuit : la parlotte
Trois-cent-unième nuit : métro
Trois-cent-deuxième nuit : dame nature
Trois-cent-troisième nuit : télévision
Trois-cent-quatrième nuit : espoir
Trois-cent-cinquième nuit : esprit
Trois-cent-sixième nuit : violence
Trois-cent-septième nuit : flamme
Trois-cent-huitième nuit : sport d'hiver
Trois-cent-neuvième nuit : impatience
Trois-cent-dixième nuit : course perdue
Trois-cent-onzième nuit : matin glacial
Trois-cent-douzième nuit : résultats
Trois-cent-treizième nuit : frémissements
Trois-cent-quatorzième nuit : croissant
Trois-cent-quinzième nuit : le chêne
Trois-cent-seizième nuit : c'est Ouvert !
Trois-cent-dix-septième nuit : ah les vaches !
Trois-cent-dix-huitième nuit : en forêt
Trois-cent-dix-neuvième nuit : Non mais !
Trois-cent-vingtième nuit : intelligence
Trois-cent-vingt-et-unième nuit : hirondelle
Trois-cent-vingt- deuxième nuit : Que le spectacle commence !
Trois-cent-vingt-troisième nuit : irréel
Trois-cent-vingt-quatrième nuit : ivresse
Trois-cent-vingt-cinquième nuit : légèrement
Trois-cent-vingt-sixième nuit : au tour du vilain
Trois-cent-vingt-septième nuit : retour
Trois-cent-vingt-huitième nuit : nuances
Trois-cent-vingt-neuvième nuit : contestation
Trois-cent-trentième nuit : biologie
Trois-cent-trente-et-unième nuit : papier
Trois-cent-trente-deuxième nuit : solutions
Trois-cent-trente-troisième nuit : enfin
Trois-cent-trente-quatrième nuit : Santana
Trois-cent-trente- cinquième nuit : merisier
Trois-cent-trente-sixième nuit : Zidane
Trois-cent-trente-septième nuit : agitée
Trois-cent-trente-huitième nuit : retour
Trois-cent-trente-neuvième nuit : imprévu
Trois-cent-quarantième nuit : Barbara
Trois-cent-quarante-et-unième nuit : inattention
Trois-cent-quarante- deuxième nuit : renaissance
Trois-cent-quarante-troisième nuit : tendre Printemps
Trois-cent-quarante-cinquième nuit : accompagnement
Trois-cent-quarante-sixième nuit : mirage
Trois-cent-quarante-septième nuit : lac miraculeux
Trois-cent-quarante-huitième nuit : message nocturne
Trois-cent-quarante-neuvième nuit : sens
Trois-cent-cinquantième nuit : bateau
Trois-cent-cinquante-et-unième nuit : farceur
Trois-cent-cinquante-deuxième nuit : requiem
Trois-cent-cinquante-troisième nuit : défi
Trois-cent-cinquante-quatrième nuit : 1902
Trois-cent-cinquante-cinquième nuit : grand soleil
Trois-cent-cinquante-sixième nuit : Tahiti
Trois-cent-cinquante- septième nuit : chaleur
Trois-cent-cinquante-huitième nuit : ordinaire
Trois-cent-cinquante-neuvième nuit : rhododendrons
Trois-cent-soixantième nuit : départ
Trois-cent-soixante-et-unième nuit : heureusement
Trois-cent-soixante-deuxième nuit : dans le train
Trois-cent-soixante-troisième nuit : mélange
Trois-cent-soixante-quatrième nuit : vent
Trois-cent-soixante-cinquième nuit : piège
Trois-cent-soixante-sixième nuit : sauvetage
Trois-cent-soixante-septième nuit : Musk
Trois-cent-soixante-huitième nuit : rainy day
Trois-cent-soixante-neuvième nuit : rêve de chêne
Trois-cent-soixante-dixième nuit : temps perdu
Trois-cent-soixante-et-onzième nuit : enfin
Trois-cent-soixante-douzième nuit : conseil
Trois-cent-soixante-treizième nuit : défi
Trois-cent-soixante-quatorzième nuit : la ville
Trois-cent-soixante-quinzième nuit : l'ivraie
Trois-cent-soixante-seizième nuit : boxe
Trois-cent-soixante-dix-septièmen nuit : secret
Trois-cent-soixante-dix-huitième nuit : bonheur égoïste
Trois-cent-soixante-dix-neuvième nuit : mur
Deux-cent-quatre-vingt-douzième nuit : mollusque
Moins d'une minute de lecture
Car tel un mollusque
géant l'espace-temps se
tord et puis se vrille
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