Celle que j'aime

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Il était aux alentours de 22 heures lorsque je rentrai du travail. Les lumières de la maison étaient éteintes, preuve que la personne avec qui je vivais était déjà partie se coucher. Je déposai vite mes affaires dans un des fauteuils du salon et pris immédiatement la direction de la chambre. Là, telle une déesse descendue du ciel, se trouvait Éliane, la femme que j’aimais. Complètement nue sous les draps, elle avait tout ce que je désirais chez une femme : une personnalité aimante, un magnifique corps à en faire rêver plus d’un, des talents exceptionnels pour la cuisine, mais surtout, elle était mon amie et confidente. Je n’avais aucun secret pour elle et vice versa.

Durant toute ma journée de travail, je n’avais cessé de penser à elle, de penser à ce moment où je rentrerais du travail et la trouverais complètement nue dans notre lit. Sans perdre la moindre seconde, je retirai presque tous les vêtements et me glissai à ses côtés. Je commençai par lui donner de délicats baisers sur le pied avant de remonter progressivement vers le haut. Mes lèvres ses posèrent sur sa douce peau couleur ébène, me faisant penser que j’étais l’homme le plus chanceux du monde pour avoir une si magnifique créature pour moi tout seul.

Je sentis ma déesse gigoter légèrement sous l’effet de mes baisers tandis que je remontai lentement vers son bassin. J’écartai délicatement ses jambes, me permettant ainsi une meilleure approche, et posai cette fois-ci le bout de ma langue sur son clitoris. Je me mis ensuite à la lécher tel un enfant devant un cornet de glace.

Les mouvements que je faisais avec ma langue ne laissèrent pas ma femme indifférente. Elle gigotait de plus en plus, ce qui voulait dire qu’elle appréciait ce que je lui faisais. De plus, son entrejambe devenait de plus en plus chaud alors que cela faisait à peine quelques minutes que je m’étais mis au travail. Je mis donc mon index et mon majeur dans ma bouffe avant de les introduire par la suite dans son vagin. Ma déesse émit alors un léger gémissement.

Cela m’excita énormément. Je voulais en entendre plus, beaucoup plus. Je commençai donc à faire des mouvements de va-et-vient avec mes doigts tout en continuant de lécher son clitoris avec le bout de ma langue. Petit à petit, ce que je voulais se manifestait. Elle gémissait de plus en plus, ce qui avait pour conséquences de m’exciter de plus en plus. Je sentais mon sexe se durcir progressivement tandis que le doux chant d’amour de ma déesse pénétrait tout mon être.

Éliane finit par se réveiller. Elle me lança ensuite un regard qui me souhaitait la bienvenue, mais me disait également de ne pas m’arrêter. Je poursuivis donc ce que je faisais, mettant plus d’amour et d’entrain dedans. Ma femme posa alors sa main sur ma tête et se mit elle aussi à faire des mouvements de va-et-vient avec son bassin. Il était alors clair qu’elle avait envie de moi, et c’était également le cas pour moi.

Je retirai mes doigts de son vagin devenu chaud et humide entre-temps, et j’allai l’embrasser. Mon amour me prit alors dans ses bras tandis que nous échangions un langoureux baiser. Mon cœur battait vite et fort, ainsi que le sien. L’harmonie qui régnait entre nous était si magique que je ne voulais pas ce que cet instant s’arrête. C’était notre moment à tous les deux, une période où le monde extérieur n’avait plus d’importance pour nous et où nos cœurs ne faisaient qu’un.

Je donnai de nombreux baisers dans le cou de ma femme tout en continuant à jouer avec son entrejambe. Chaque fois que mes lèvres se posaient sur sa délicate peau, je pouvais la sentir frémir. Elle passa ses mains dans mes cheveux, puis descendit vers mon dos où elle me griffa à de nombreuses reprises. Cette petite sensation de douleur couplée avec ce que nous étions en train de faire m’excitait davantage. Je retournai donc l’embrasser passionnément.

Éliane et moi échangeâmes ensuite un regard, un regard qui parlait beaucoup plus qu’avec des mots. Dans ses yeux, je pouvais voir à quel point elle m’aimait, à quel point elle avait envie de moi, et à quel point j’étais son homme à elle. Pas besoin de mot, tout était dans nos regards.

Je finis par me retrouver la magnifique poitrine de ma femme. J’approchai délicatement mes lèvres d’un de ses tétons avant de soudainement poser le bout de ma langue dessus et le lécher doucement comme je l’avais fait avec son clitoris. Sans préavis, je le mordillai, ce qui eut pour conséquences de la faire fortement gémir. Cela me fit sourire. Je savais à quel point cette partie de son corps était sensible. Ce fut donc pourquoi je la mordis de nouveau et tirai également son téton.

Je retirai mes doigts de son vagin et vins jouer avec son second sein que je caressai fermement. J’aimais la sensation que cela me procurait d’avoir ce magnifique organe dans la paume de ma main. De son côté, Éliane appliquait plus de force au niveau de mon dos. Je sentais ses ongles rentrer un peu plus dans ma chair, ce qui ne me dérangeait pas. J’étais déjà habitué.

Quelques minutes plus tard, ma déesse attrapa soudainement ma tête et me força à la regarder droit dans les yeux.

- J’ai envie de te sentir en moi, me dit-elle brusquement.

Elle approcha ensuite ses lèvres des miennes et m’embrassa à nouveau avec beaucoup de passion.

J’étais désormais sur le point de ne faire qu’un avec celle que j’aime. Cependant, avant de le faire, j’écartai à nouveau ses jambes et lui fis un petit cunnilingus. Tandis que je revins à nouveau échanger un langoureux baiser avec elle, j’introduisis enfin mon pénis en elle. C’était un moment que j’attendais depuis que je l’eusse laissée ce matin. Centimètre après centimètre, mon sexe se frayait un chemin au plus profond de ma déesse dont l’étreinte se resserra soudainement autour de moi.

Nos êtres étaient désormais en parfaite harmonie. Alors que nous bougions délicatement d’avant en arrière et vice versa, Éliane et moi échangions également de langoureux baisers. Mes lèvres se posèrent ensuite sur son cou tandis que ma déesse passait à nouveau sa main dans mes cheveux. Ses gémissements remplissaient progressivement notre chambre et ne s’arrêtaient temporairement que lorsqu’elle me mordait.

- Je t’aime. Oh, je t’aime tellement, Éliane, pensai-je à ce moment alors que la douleur de sa morsure parcourait mon corps.

J’étais à elle et rien qu’à elle, tout comme elle était à et rien qu’à moi.

Nous changeâmes de position pour une dans laquelle je pourrais l’admirer en plein acte. Éliane se retrouva donc sur moi à me chevaucher tel un grand étalon sauvage de l’Ouest américain. J’admirai sa somptueuse poitrine bouger au rythme de nos mouvements de va-et-vient. L’envie me prit alors de lui sucer à nouveau les seins, mais lorsque je voulus me redresser, mon amour posa sa main sur mon torse et m’obligea à rester couché. Je ne résistai pas. J’étais son esclave et devais donc exécuter ses moindres désirs. Cela ne m’empêcha cependant pas de placer mes mains sur ses hanches afin de l’aider dans ce qu’elle faisait.

Quelques minutes plus tard, ma déesse descendit enfin vers moi afin de m’embrasser. J’en profitai alors pour renverser soudainement la vapeur et revenir à notre position précédente. Désormais au contrôle de la cadence, je décidai d’y aller un peu plus fort. Je plaçai donc ses mains au-dessus de sa tête et les maintins fermement. Je l’embrassai ensuite une dernière fois avant de commencer à bouger.

- Tu es à moi ! À moi et à personne d’autre, pensai-je à nouveau alors que j’allais très profondément en elle.

Éliane gémissait plus fort que précédemment, ce qui m’excitait encore plus. J’aimais ça. Oui, j’aimais être en elle et je l’aimais encore plus.

Je lâchai ses mains et me retirai soudainement d’elle. Je descendis ensuite au niveau de son entrejambe et lui fis un autre cunnilingus tout en réinsérant mes doigts dans son vagin. Ce qui se passa par la suite me prit quelque peu au dépourvu. En effet, Éliane ferma brusquement ses jambes, coinçant ainsi ma tête au milieu. Alors que j’essayai de me sortir de là, cette dernière ne trouva rien de mieux que de resserrer son étreinte. Je vis alors ma déesse afficher un sourire narquois, signifiant qu’elle appréciait ce qu’elle me faisait actuellement subir.

- Ah bon, tu veux la jouer comme ça.

J’avais encore mes doigts à l’intérieur d’elle. Je m’en servis donc pour l’exciter. L’un de nous deux finirait par céder, et j’étais sûr que ce serait elle. Malheureusement, après plusieurs minutes de lutte, il s’avéra que ce soit moi le grand perdant de cette bataille. Je lui dis donc qu’elle avait gagné et elle desserra son étreinte.

- Tu ne perds rien pour attendre, Éliane, pensai-je tout en préparant ma revanche.

Nous reprîmes donc où nous nous étions arrêtés. Je finis avec mon cunnilingus et retournai en elle.

Parce que nous étions désormais en « doggy style » au bord du lit, je me mis à frapper ses fesses avec une certaine force.

- Ça, c’est pour tout à l’heure, murmurai-je entre deux claques.

Je la ramenai ensuite vers moi et l’embrassai tout en prenant soin de malaxer un de ses seins au passage. Cela n’avait plus rien à voir avec une relation sexuelle harmonieuse. Il s’agissait là de baise pure et dure. Cela ne dura cependant pas. Une dizaine de minutes plus tard, je finis par jouir en elle et m’effondrer sur le lit. Malheureusement pour moi, ma déesse n’en avait pas fini avec moi. Alors que j’étais couché sur notre lit, celle-ci attrapa mon sexe et la remit en elle. Le sourire qu’elle afficha à cet instant me fit très vite comprendre que la nuit était encore jeune et qu’elle ne s’arrêterait que lorsqu’elle serait totalement satisfaite.

Ce fut avec beaucoup d’amour et de désirs envers ma personne que ma déesse, Éliane, entama le second round.

Fin !!!

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