Lui et elle dans le chalet

7 minutes de lecture

Je reviens dans le chalet d’évasion.
Donc si tu as oublié : tu venais de jouir en moi, en mode levrette, debout (ça doit sûrement avoir un nom cette position mais je ne la connais pas).

Nous avons toujours nos pantalons à nos pieds mais, même si nous venons de faire les sauvages, car longtemps qu’on ne s’est pas vu et le trajet a été long sans pouvoir prendre plaisir ensemble (même si tu as apprécié la pipe en conduisant non ? pas de gorge profonde car mal positionnée en voiture).

Je remets mon pantalon pendant que tu enlèves le tien.

Décalage horaire et inversion des rôles !

Le doux et lent gentleman aurait envie de rapidité alors que la bouillante que je suis a envie de profiter des lieux, du temps qui passe et même s’amuser à te regarder nu comme un ver.

Je file dans la salle de bains ... une baignoire spa pour deux ... je ne doute pas que tu vas me suivre ...
Je fais couler l’eau.
J’entends la cafetière.
Je déboutonne mon chemisier.
Le laisse tomber à terre (pas de soutien-gorge pour le confort du voyage et le suçon que tu m’as fait sur l’aire d’autoroute).
Je déboutonne mon pantalon.
Redresse la tête et vois ton regard lubrique dans le miroir.
Tes mains tiennent chacune un mug.
Demi-tour face à toi, je laisse mes mains accompagner la descente de mes jambes pour ôter ce satané pantalon, trop moulant peut-être.

D’humeur coquine, je m’empresse de plonger dans la baignoire.

Ne manquant pas de prendre ma tasse au passage. Merci.
Évidemment comme tu es déjà nu, il ne te faut pas longtemps pour me rejoindre mais tu te « venges » en amenant ma bouche à ton sexe, une fois que tu es assis au bord de cette baignoire à bulles magiques.

Tu as eu le temps de récupérer de notre arrivée brutale mais il est encore un peu mou ... à ma langue de tout faire pour qu’il durcisse et grandisse encore un peu. C’est probablement une chose que tu ne connaîtras jamais mais cette sensation d’étouffer, peu à peu pour du plaisir donné, est très très excitante.

Ton sexe dans ma bouche.
Ma langue qui joue avec.
Tu finis par entrer dans l’eau et t’installer à l’opposé de moi laissant une main se promener sous l’eau et atteindre une jambe parfaitement épilée, agréable au toucher.
Si agréable que ta main veut sentir la douceur de l’autre jambe mais aussi mesurer celle à l’intérieur, juste là en remontant entre mes deux jambes.
L’effet de l’eau n’est pas si excitant que ça, mais n’est pas désagréable non plus.
Tes doigts jouent avec moi qui me mets en position pour te laisser plus de place et donc de possibilités.
Une mini pause de ta main et j’en profite pour venir sur toi.
Nos sexes se cherchent un peu. Le rythme des bulles n’aide pas, donc nous arrêtons les bulles pour être comme dans une piscine. Et des baisers, des langues, des seins sont les bons ingrédients pour permettent à Ralf de me pénétrer. Ou n’est-ce pas Ralfette qui se laisse pénétrer ?
Peu importe qui est le premier à vrai dire, le résultat est là : ils sont ensemble comme deux aimants qui jouent en jouissant.
Les mouvements sont doux, la cadence faible car l’eau va déborder mais c’est très agréable ainsi.
Je reprends place dans mon transat spa et cette fois je te caresse les cuisses ... tout en buvant mon café.

Je ne sais pas toi mais je pense que je me suis endormie dans l’eau à 37 degrés. Ma main est toujours sur ta cuisse mais tu as bougé pendant mon sommeil.

L’éclairage à la bougie est très apaisant et agréable. Les deux yeux ouverts. Tu me souris. Et viens vers moi tout en parcourant mon corps de ta main et t’arrêter sur mes seins, si friands de tes mains.

L’eau modifie les sensations ; en accentue certaines et en annihile d’autres. Mais j’aime ce baiser presque fougueux avec la fougue au bout des doigts.

On sort de l’eau, tu enfiles ton peignoir tant bien que mal car je veux rester collée à toi. Tu m’enveloppes dans le mien.

Retour devant la cheminée

La nuit est tombée les montages à perte de vue et un léger clair de lune.

C’est endroit idyllique est probablement celui dont on avait besoin pour se ressourcer de cette année folle et on a bien l’intention d’en profiter.

Debout près du lit, les baisers reprennent différemment des autres fois, plus intenses, plus forts, plus passionnés. On a pourtant déjà eu envie de se faire l’amour ? Mais là, les sensations d’ensemble sont différentes.

Tu m’invites à m’allonger sur le lit, tu me suis pour poursuivre cette agréable caresse des seins que tu n’oublies pas de lécher ni de sucer. Humm ils sont durs à force de chercher à me donner un orgasme juste par les seins. Mais tu y arrives très bien.

Allongés, ta main glisse des seins vers mon entrejambe mais ta bouche l’accompagne.

Chaque geste est lent et mesuré pour distiller de l’excitation délicatement.

Tu introduis ton majeur en moi, encore humide par l’eau que le peignoir n’a pas fini de sécher.

Ton pouce joue avec mon clitoris.

Ton index part rejoindre le majeur. Je gémis déjà très fort car tu as capté cet endroit intime qui déclenche des réactions de dingue à tout mon corps.

Mais comme mes gémissements ne suffissent pas à tes oreilles, tu pars enfouir ta tête et ajouter ta langue à tes doigts déjà forts excitants.

Tu te délectes de ma mouille qui devient plus abondante au fur et à mesure que tu t’affaires.

J’aime ces sensations qui parcourent mon corps et j’apprécie le passage par ma bouche pour me partager un peu ce nectar récolté plus bas.

Mais tu retournes y mettre les doigts et la langue continuant aussi de caresser le clitoris.... je sens déjà 3 doigts en moi mais n’est-ce pas 4 ou déjà 5 ? Difficile à dire tellement tu m’as bien dilatée et tellement tu me parais bien profondément enfoui.

Tu insistes à me fouiller pour déclencher encore un orgasme chez moi. Mais celui-ci est violent. Je suis obligée de lever mes jambes pour encaisser la douleur qui fait tant de bien.

Je gémis, je hurle, je gigote comme pour t’exciter encore plus.

Je me calme et reprends mes esprits avec un baiser sulfureux et baveux.

Et d’un coup, du premier coup, ton sexe dans le mien... loin, haut, profondément et dur. Je ferme les yeux pour jubiler intérieurement pour prendre tout le plaisir que tu me donnes et l’envoyer jusque dans mes orteils ...

Tu vas, tu viens en moi pendant que mon bassin t’accompagne. Le rythme est lent pour mieux apprécier ce moment.
La cadence s’accélère doucement, j’ai un nouvel orgasme. On ne les compte pas mais ça compte quand même à ton plaisir également comme si tu atteignais le graal. Il est facile à atteindre mais c’est mieux quand on l’atteint plusieurs fois et forcément tu y es pour beaucoup.
J’ai envie de te sentir différemment et je relève mes jambes, d’abord jambes tendues sur chaque côté. Avant de les lever et les poser sur tes épaules. Tu accélères la cadence pour t’enfoncer en moi comme pour me donner encore plus de plaisir en espérant que tu en prennes aussi davantage. Que cette position te procure un plaisir différent.

Nous tentons de glisser sur le côté sans perdre le contact sexuel afin de continuer.
Nous nous embrassons tout en veillant à laisser nos sexes en harmonie. Je sens que tu vas jouir. Oui il faut aussi te lâcher et te libérer de la tension que je te procure. Ta semence se répand en moi par soubresauts, par saccades. Peu à peu, je sens que tu te rétractes je ne bouge pas pour te garder en moi. Le plus longtemps possible. Mais je dois tousser et je t’expulsai involontairement.
La cheminée et son feu nous éclairent. On se cale l’un contre l’autre. À profiter du silence des flammes mais surtout de notre peau à peau. Ton sexe dans mes fesses. Ta bouche sur mon épaule pour me faire jouir encore : ce gémissement assourdissant tellement incontrôlable mais tellement bon. Presque ça te referait déjà bander.

On se câline caresse papouille mais nos ventres gargouillent. Aucune idée de l’heure. Il fait nuit. Les courses ont été livrées avant notre arrivée.
On enfile nos peignoirs et nous affairons tous les deux en cuisine ... risotto chorizo, facile à faire mais cuisson à feu doux donc ça laisse tout le loisir de jouer dans la cuisine. Je coupe le chorizo en fines rondelles pendant que tu te colles à moi et cherche à caresser mes seins ... mes tétons pointent durs. Mes seins sont très ronds sous l’effet de tes mains. Le risotto revenu dans l’huile on y ajoute l’eau et laisse mijoter à feu doux. Le temps que tu dénoues mon peignoir, et te colle à moi déjà (encore!) au garde à vous. Je t’embrasse dans le cou en remontant vers le lobe de ton oreille avec le bout de ma langue ... pendant que ma main passe sous ton peignoir pour te caresser ... je m’agenouille pour te sucer ou je me pose sur la table pour que tu me prennes ? L’un n’empêche pas l’autre à vrai dire ...

Je suis à deux centimètres de la table donc c’est toi qui commences et te voilà encore en moi mais dans une position peu confortable mais excitante ... on est un peu sauvage mais on est aussi là pour ça, non ?
Il faut remettre de l’eau. Tu te retires. Je remets de l’eau pour finir la cuisson du risotto et entreprends de te sucer ... j’aime te goûter quand je goûte un peu de moi en même temps. Tu appuies sur ma tête comme pour que je t’avale encore plus, encore plus profondément
Je t’excite en te léchant le gland, le bout mais aussi en descendant bien en dessous ... un peu de salive pour faciliter mon passage ... mais cette fois le risotto est prêt. Juste le chorizo à laisser fondre dessus. Je surveille le tout pendant que tu vas mettre la table...

Bon appétit

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? A faire ou à refaire ?

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