La poly symphonie des voix

À l’unisson, dans le brouillard, s’élève.

Envoûtante, je l’entendis un soir.

Alors, je pus partir loin d’Eve.

Paradis perdu de mes songes obscurs,

Les retrouver me lénifie.

Mais, ils ne sont plus aussi purs.

Alors, terrifiée, je me pétrifie.

L’enfer personnel de Lilith,

Voici la réalité de ces songes.

Leur horreur, est digne des pires Sith.

Alors, à corps perdu, je plonge.

En pleure, l’Univers me prend dans ses bras.

Réconfortante thébaïde,

Lieu infatuant qui encra

Alors, qui je suis, Adélaïde.

(bon j'ai finalement réussi à répondre aux exigences de mon pote en terme de poème, et c'est vrai que ça sonne drôlement bien :)) (non je ne m'appelle pas Adélaïde, mais pour la rime c'était mieux)