chapitre 3

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____Will____

je suis dans mon lit, je regarde la fumée autour de moi, qui vole et se dissout.

  • Willy ! hurle ma tante

je me lève de mon lit, wow bordel, ça tourne. je descends les escaliers tranquillement parce que bon, j’ai pas très envie de me péter la gueule. j’arrive au salon sous le regard desaprobateur de ma tante

  • Explique-moi pourquoi ça sans le joint dans toute ma baraque ?
  • tante Alice, ne fait pas ta sainte ni touche
  • Will… dois-je te rappeler pourquoi tu es en Caroline du nord, au lieu d'être en Louisiane ?
  • tata, c’est bon, et puis toi t’es pas en taule
  • c’est pas ça le problème, essaye au moins de me le cacher
  • ok, alors je vais, pas fumée
  • très bien. Au fait, dans 3 semaines je pars en voyage d’affaire, et Marilyn ne sera pas là, donc ça serait bien que tu trouves un ami chez qui aller.
  • tantine, j’ai pas d’amis
  • super alors, je vais devoir trouver quelqu’un c’est ça ?
  • ...ou tu peux me laisser seul
  • pour que ma baraque brûle ? hors de question. je vais voir avec des amis, je crois que je connais quelques personnes qui ont des enfants au lycée avec toi.
  • super…

je commence a remonté les escaliers quand ma tante m’interpele une fois de plus

  • Will, tes parents…ils…ta mère, va devoir être jugé quand on la retrouvera. J'ai parlé à madame Lewis et…tu vas devoir témoigner. donc dire tout ce que tu as vécu depuis que tu es gamain, avec tes parents et, je la coupe
  • je suis orphelin. je remonte dans ma chambre sans écouter ce qu’elle me dit

je n’ai pas de parents, je n’en ai jamais eu, et je préfère ignorer l'existence même de mes géniteurs. pour moi c bien le seule mots qui puisse les représentait "géniteur", un parent a des responsabilité et des devoirs envers leur enfant, qu’ils n’ont jamais eu envers moi, jamais. Et il va encore falloir que je témoigne et que je raconte encore et encore ce qu'il s’est passé, non.

je reprends mon joint et l'aspirant comme si ma vie en dépendait. je veux oublier, tout oublier, jusqu'à mon nom de famille.

je crois bien que mes prières ont été exaucées, je viens de me réveiller d’un énorme blackout. putain je me sens bien. Il est près de vingt heures et je décide de sortir, le bar où j'ai rencontré la meuf sexy m’a l’air pas mal pour une partie de jambe en l’air avec une belle inconnue.

j’arrive finalement devant l'entrée, un néon rose-rouge au-dessus de la porte indique l'entrée du “V I P” un streap club pas loin de la ville, je sors d’avance ma fausse carte d’identité, et passe facilement devant l’agent de sécurité

Ils devraient penser a engagé quelqu’un qui fait au moins semblant de vérifier

je rentre dans le bar éclairé de lumière qui dans au rythme de la musique qui envahit l’endroit. les danseuses se frottent à ce bar comme si c'était une énorme bite qu’elles allaient chevaucher en moins d’une minute. je me dirige par habitude vers le bar et demande à la belle barista un verre de whisky avant de me mettre sur une des faute dans un coins reculés.

environ un quart d’heure plus tard une jeune danseuse viens me voir, elle me parle mais je ne l'écoute pas, je la détaille des yeux angélique et des cheveux doré, recouvert par un hideux chapeau de cow boy, sa poitrine comprimé dans une mini chemise avec un imprimé vache et son gros cul dans un short en jean d’un rose qui me brûle la rétine. mais ça fera l’affaire. je la coupe dans son baratin

  • Tu veux baiser avec moi ? oui ou non.
  • euh…ou…oui dit elle surprise
  • okay alors tu la ferme et tu me vois.

je me lève, laisse un billet sur la table et me dirige vers les toilettes du streap club, bien sûr, elle me semble être une gentille chienne bien dressée. je referme la porte derrière elle et l’embrasse avec desire. que ça soit clair, je ne la désire pas, ce que je désire c’est baiser. au fur et a mesure de se baiser elle met sa main sous mon t-shirt noir. non non chérie, la marchandise n’est pas pour les putes de ton genre, je lui attrape le poignet et la retourner contre le lavabo, je libère sa main et déboutonne son short dégueulasse, ce que j’aime quand les filles petites mette des talons, c’est plus pratique pour les baiser, je retire le bout de tissu qui lui sert de string. je met un préservatif, faudrait pas la mettre en cloque. finalement je la pénètre et elle gémit, c’est trop facile, je fais des vas et viens avec mon bassin alors que sa tête et contre la pierre froide, je vois son reflet dans le miroir, elle était mieux sans la lumière bleuté de la salle principale.

Finalement après un quart d’heure elle tremblé de partout et quand nous sortîmes tous les deux elle retourne vers ses amis qui l’ont questionné chacun leur tour.

sans aucune raison je me mis a penser a cette petite rousse, petite c’est le cas de la dire, a quoi elle va ressembler quand je l’aurait baiser, et que j’aurais mis en pagaille ses cheveux couleurs feu…je payerai pour voire ses yeux d’un vert aussi beau qu’une pierre précieuse, me supplier de coucher avec elle…cette pensée me fit frémir, de dégoût biensure, je suis sur qu’elle cache quelque chos sous ses vêtement large, et pour être honnête je m’en fous, je veux juste qu’elle me desir, ce jeux fait passer le temps, non ?

je m’en vais pour rentrer chez moi, c’était loin d'être la meilleure partie de jambe en l’air de ma vie, mais ça fait l’affaire.

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