Toi, mon cœur… je ne t’aime pas.
— Toi, mon cœur… je ne t’aime pas.
— Pardon ? Moi ? Celui qui bat pour toi, nuit et jour ?
— Oui, toi. Tu t’emballes pour un sourire, tu t’affoles pour un inconnu, tu fonds devant Louane à la télé. J’en ai assez.
— Mais c’est moi. Je suis fait d’émotions, de tempêtes, de frissons. Je suis addisonien, fragile, mais vivant !
— Moi, je veux du contrôle, de la raison, de la stabilité. Je veux un cœur qui écoute ma tête.
— Alors ce n’est plus moi que tu veux. C’est une machine.
— Peut-être. Toi, tu m’épuises. Tu frappes trop fort, trop vite, trop souvent.
— Sans moi, tu n’es qu’une ombre. Sans moi, ton silence ne serait qu’un tombeau.
— Et si je choisissais de t’éteindre ?
— Essaie… mais sache-le : mon silence te hantera plus que mes battements.
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Ce texte est encore en brouillon. Si quelque chose t’interpelle, te gêne ou te plaît, dis-le-moi. Tes retours me permettent de le rendre meilleur.
En fait, je n'ai pas rempli le contrat c'est un dialogue oral et non pas écrit. :-(
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