NdA : Je suis en retard pour ce Writober, heureusement que le NaNoWriMo est là pour rattraper le tir ! C'est parti pour l'un des mots proposés par Magda !

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Mais puisque je vous dis que je suis une victime ! Comment vous faites pour ne pas comprendre ? C’est pourtant évident ! Vous n’avez qu’à regarder ! Là, vous verrez que je ne suis fautive en rien ! Comment ça ? Moi, une croqueuse d’hommes ? Mais ils n’étaient pas mécontents de se faire croquer ! Nombreux ? Et alors ? Mon corps, mes choix ! Je dois demander une autorisation pour ouvrir mes frontières ? Je suis pour l’international et vous n’avez rien à dire ! Et entre nous, regardez ces beaux mâles ! Et pour les moins fermes et juteux, regardez le porte-monnaie ! Où est le mal de vouloir en profiter ? Je ne suis pas une ingrate : je sais prendre soin de mes chéris et les rendre heureux ! Vous devriez profiter de mes conseils : vous me semblez frustrés ! Ça ne va pas trop dans votre lit, j’ai l’impression, mais avec mes recommandations, vous pourriez le réchauffer ! Non ? Franchement, vous me désespérez, vous les frustrés, les coincés et les mal-baisés ! Je n’y peux rien si vous n’êtes pas satisfaits ou n’avez personne à vous mettre sous la dent ! Quant à moi, je persiste à dire que je suis une victime ! Oui, une victime ! Victime de ces beaux hommes, de leurs corps, de leurs qualités, de leur magnétisme, de leur sex appeal… Je suis une victime de l’amour, tout simplement !

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- Même dans le journal intime de sa jeunesse, elle est ultra cringe, celle-là…, soupira Alix, qui avait eu la malchance de tomber sur ledit journal en voulant trouver de quoi lire pour survivre au week end chez tante Céline.