Ivann

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Aujourd'hui va être une bonne journée. J'en suis persuadé. J'ai commencé par un bon bain de mer à huit degrés entièrement nu pour renforcer mon esprit, puis un peu de kite pour me défoncer à l'adrénaline et un bon petit programme de bloc pour finir ma journée. Je le dis encore : ça va être une bonne journée.

Je suis allongé sur une méridienne, en toge blanche, mangeant des fruits avec du bon vin. "Qu'on me prépare un bain" je demande à l'une de mes esclaves."Bien Dominus" me répond-t-elle. Je m'avance vers le bassin et commande à l'esclave de m'emmener ma dernière acquisition: Ava. Elle est seulement vêtue de chaînes d'or couvrant sa poitrine et son pubis, reliées dans son dos en formant un string au niveau des fesses. Malgré son statut d'esclave, elle est majestueuse (comme dans la réalité). "Ave dominus" dit-elle le visage baissé en signe de respect. "Ave. Viens donc belle enfant partager un bain avec ton maître" lui répond-je avec désir. "Bien maître". Et elle s'apprête à descendre dans le bain sans retirer ses chaînes. "Voyons, retire ta tenue, tu seras bien plus à ton aise" et je claque des doigts pour qu'on la débarasse. Ses yeux sont paniqués lorsque la cheffe de mes esclaves la déshabille devant moi. Elle résiste mais vu le regard de la Serva, elle n'a pas d'autre choix que d'obtempérer. Une fois nue, elle glisse rapidement dans le bain mais demeure à l'opposé de moi. "As-tu peur de ton maître femme?" demande-je avec suffisance. Ses yeux sont rempli de fureur. "Je n'ai peur de personne" me répond-t-elle avec prestance. Les yeux de la Serva sont écarquillés face à une telle effronterie. "Approche-toi alors, maintenant". Je parle mais mon ton indique clairement que c'est un ordre. Sans se démonter, elle répond "Je ne voudrais pas souiller mon maître avec mon simple statut". Son ironie est à peine dissimulée. "Si je me souviens tu étais une reine dans ton pays donc n'ai crainte concernant cela" et je m'approche d'elle. Elle glisse sur le côté mais se retrouve rapidement acculée, dans un coin du bassin. Je met mes deux mains de chaque côté d'elle et ordonne aux autres esclaves de nous laisser seuls. Sa respiration trahi sa peur malgré la défiance de son regard. "J'aime qu'on me résiste, sache-le mais il va te falloir obéir ma chère." Son regard plein de haine ne me lâche pas. "Je ne suis pas facile à dompter sache-le". Huuuuuummmmmmm, j'adore. "Je vais aimer m'y atteler alors" je répond en bloquant son corps contre le mien. Elle sent forcément mon sexe bien dur contre elle car ses yeux tressau

Je suis allongé sur une méridienne, en toge blanche, mangeant des fruits avec du bon vin. "Qu'on me prépare un bain" je demande à l'une de mes esclaves."Bien Dominus" me répond-t-elle. Je m'avance vers le bassin et commande à l'esclave de m'emmener ma dernière acquisition: Ava. Elle est seulement vêtue de chaînes d'or couvrant sa poitrine et son pubis, reliées dans son dos en formant un string au niveau des fesses. Malgré son statut d'esclave, elle est majestueuse (comme dans la réalité). "Ave dominus" dit-elle le visage baissé en signe de respect. "Ave. Viens donc belle enfant partager un bain avec ton maître" lui répond-je avec désir. "Bien maître". Et elle s'apprête à descendre dans le bain sans retirer ses chaînes. "Voyons, retire ta tenue, tu seras bien plus à ton aise" et je claque des doigts pour qu'on la débarasse. Ses yeux sont paniqués lorsque la cheffe de mes esclaves la déshabille devant moi. Elle résiste mais vu le regard de la Serva, elle n'a pas d'autre choix que d'obtempérer. Une fois nue, elle glisse rapidement dans le bain mais demeure à l'opposé de moi. "As-tu peur de ton maître femme?" demande-je avec suffisance. Ses yeux sont rempli de fureur. "Je n'ai peur de personne" me répond-t-elle avec prestance. Les yeux de la Serva sont écarquillés face à une telle effronterie. "Approche-toi alors, maintenant". Je parle mais mon ton indique clairement que c'est un ordre. Sans se démonter, elle répond "Je ne voudrais pas souiller mon maître avec mon simple statut". Son ironie est à peine dissimulée. "Si je me souviens tu étais une reine dans ton pays donc n'ai crainte concernant cela" et je m'approche d'elle. Elle glisse sur le côté mais se retrouve rapidement acculée, dans un coin du bassin. Je met mes deux mains de chaque côté d'elle et ordonne aux autres esclaves de nous laisser seuls. Sa respiration trahi sa peur malgré la défiance de son regard. "J'aime qu'on me résiste, sache-le mais il va te falloir obéir ma chère." Son regard plein de haine ne me lâche pas. "Je ne suis pas facile à dompter sache-le". Huuuuuummmmmmm, j'adore. "Je vais aimer m'y atteler alors" je répond en bloquant son corps contre le mien. Elle sent forcément mon sexe bien dur contre elle car ses yeux tressautent. Ma main commence à caresser ses bras et à remonter vers sa clavicule pour enfin atteindre sa poitrine. "Gggrrrrrrr" je ne peux m'empêcher de grogner. Elle ne dit rien mais je sens que si elle pouvait, elle m'égorgerait sur place. Mais son intelligence lui indique de rester docile si elle ne veut pas être fouettée ainsi que ses camarades esclaves. Je malaxe avec avidité sa poitrine: quel plaisir!! Puis je descend le long de ses côtes, puis son ventre. Je suis à quelques centimètre de son pubis lorsque je décide finalement de la retouner d'un seul coup. Une bonne levrette lui apprendra mieux la soumission. Je commence par tater son magnfique cul bien rond puis je frotte ma queue entre ses fesses. Son corps est raide et je n'aime pas ça. Cela bloque mon plaisir même si ma bite est bien dure. Au vue des sensations, la masseuse doit être en train de me faire un massage de la prostate. Mais je préfère rester dans mon fantasme pour accentuer les ressentis. Je commence donc à caresser virtuellement le mont de Vénus d'Ava puis je descends vers sa fente. Elle essaie de me repousser avec son cul mais cela aggrave les choses plus encore. En effet, plus elle se cambre, plus ma bite s'insert entre ses fesses et plus mes doigts peuvent descendre entre ses lèvres lorsqu'elle se redresse. Ainsi, cela créé un frottement sur son clitoris et augmente le désir au lieu de le diminuer. Je la sens fondre petit à petit. Je joue alors d'une main avec son clito pendant que ma bite continue à se frotter et que mon autre main malaxe un de ses seins. Puis j'écarte d'un coup ses jambes et la pénètre violemment. "Argh" ne peut-elle s'empêcher de gémir. "Je vais te pilonner jusqu'à ce que tu me sois totalement soumise esclave et tu aimeras ça. Je vais baiser ta chatte jour après jour et plusieurs fois par jour ma belle catin des îles". Je continue de la fourrer jusqu'à approcher de l'orgasme. C'est à ce moment que je décide de sortir de ma chimère lubrique et met la masseuse à genou. Elle me pompe la queue et je me laisse exploser en fermant les yeux de plaisir, en pensant une dernière fois à ma douce Ava que je reverrais dans deux jours, en imaginant encore une fois sa belle chatte que je remplirais bien de mon foutre.

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