Je me laisse encore divaguer le temps du repas avant de rejoindre Marion, une de mes collègues, dans sa salle. Elle m'a demandée de la remplacer pour se rendre à sa visite médicale. André, un des médecins, est en train de pratiquer son examen sur la première patiente de l'après-midi. Je remplace donc Marion avec plaisir car j'adore André. C'est un médecin, gentil, humain, drôle et mélomane. Bref, mon chouchou. Pour ne rien gâcher, il est très beau du haut de ses 62 ans alors imaginez jeune. Au moment de retirer la culotte de la patiente pour sa coloscopie, je ne peux m'empêcher de voir ses délicieuses courbes. Malgré qu’elle approche de la soixantaine, elle est divinement conservée. Pendant qu'André et l'infirmier anesthésiste discute, je me laisse rêvasser sur cette dame appétissante. Elle a éveillé mon côté bi, et vu la matinée, autant dire que je suis limite en rut. Marion revient et je rentre à la maison, bien excitée et toujours avec Madame Alix en tête.

Je m'imagine en soirée libertine masquée. Je la vois au détour d’un couloir et elle m’invite à la rejoindre dans une petite alcôve. Elle enlève son déshabillé et je suis éblouie par un magnifique body en dentelle mauve. Elle continue de sourire en s’allongeant sur une méridienne en forme de lèvres ce qui donne une magnifique courbure à ses hanches. Je m’approche doucement et commence à caresser ses pieds, puis ses jambes, son ventre et enfin son visage. Elle soupire de plaisir. « Puis-je goûter vos lèvres madame ? » « Elles sont à vous très chère » me susurre-t-elle. Je commence par déposer un doux baiser sur ses lèvres avant d’ouvrir les miennes et de pénétrer sa bouche avec ma langue. Tout en faisant cela, je laisse une de mes mains descendre sur son ventre. Puis avec mon autre main, je tourne son visage pour embrasser sa nuque. « Vous me donnez très envie madame. Je pense que je vais vous donner du plaisir…et en prendre aussi » murmure-je à son oreille. En guise de réponse, elle accentue la cambrure de ses reins. Je décide donc de libérer un de ses seins de l’étreinte de ce charmant body. Son sein et son téton sont sublimes. Je lèche son téton tout en malaxant son sein. Mon regard se plonge dans le sien, plein de luxure et de désir. Puis je libère le second et me met à califourchon au-dessus d’elle. Elle gémit et ondule sous l’assaut de mes lèvres et mes mains. De ce fait, ses hanches sont au niveau de mon entre jambe qui commence à mouiller et mon clito à gonfler. Huuuuuuummmmm quel bonheur. Puis je décide de revenir sur le côté et mes mains glissent jusqu’à son mont de Vénus. Ma surprise est à son comble : il s’agit d’un body ouvert entre les jambes. Oh mon Dieu, je vais tellement m’amuser avec elle. Je fais exprès de caresser autour de l’ouverture afin de faire monter l’excitation, tout en m’attardant toujours sur le haut de sa vulve. Puis je passe ma main sur sa cuisse avant de la laisser remonter dans le pli de l’aine puis de s’aventurer sur ses grandes lèvres. Son long râle est comme un feu vert pour continuer. Mes doigts se séparent alors en V et parcourent son anatomie. Puis, mon majeur dessine son clito de haut en bas. Ses hanches s’affolent de désir. Je décide donc d’entrer un doigt dans son vagin. Quelle humidité !! Je ne pense pas moi-même avoir déjà été si mouillée. Les va-et-vient de mon doigt lui font beaucoup de bien et j’en met un deuxième pour mieux la remplir. Elle ondule encore plus mais j’en veux davantage. Je me mets alors entre ses jambes que les remonte d’un coup sec pour ramener son cul vers ma bouche. Ses yeux s’écarquillent mais son gémissement juste avant m’a fait savoir qu’elle allait aimer ce que je m’apprête à faire. Ma langue chaude et humide s’approche de son entrée. Elle se pose sur son périnée pour remonter délicatement le long de sa fente puis de son bouton d’or. Un vrai délice. Je continue ma torture d’abord doucement puis accélère les coups de langue. De temps en temps ma langue la pénètre pour plus de plaisir. Puis mes doigts rejoignent la danse en entrant et sortant de son vagin. Elle est sur le bord d’exploser ce qui me fait mouiller aussi. Dégouliner serait même le mot juste. Elle jouit dans ma bouche et sur mes doigts. Sa cyprine se répand sur mon menton. Nous sourions ensemble. Pour ce soir, ce sera suffisant.