XVI
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Quelques grains de dunes noirs
Un sablier brisé
Par des mains couché un soir
En un croissant d'été.
L'odeur des fanions tremblant
La ténèbre de l'air
Les pupilles, bals d'encens
Des odes à Lumière.
Au lointain, c'est le Jamais
Qu'embrassent les écumes
Un rêve j'y ai posé
Il a germé en plume.
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