Le passé, ne détermine pas forcément l'avenir d'une personne. Il est seulement le conducteur, relatif de la vie. Mêlant différents types d'émotions, enfouis profondément, en chacun de nous. Partir de rien, devenir une meilleure version de soi.

Réussir ses objectifs, surmonter les obstacles n'étant là que pour ralentir, tester la personne. Paraître joyeux, quand on a eu ce qu'on s'est battu corps et âme, pour cela. Triste vérité, doux mensonge à avaler. Échecs sur échecs.
Tombe six fois, relève-toi sept fois. Croire en soi-même, en ses capacités, croire en ses rêves. Années et des années, nombre d'amitiés diminuent, comme la vie.

Chaque jour se rapprocher, de l'Heure fatidique où l'âme va sortir du corps, et ne jamais en revenir puisque son terme est arrivé. Des amitiés, supposer durer jusqu'à la vieillesse.
Des personnes, à qui la confiance se faisait aveuglément. Résultat se faire poignarder sèchement et sans rancune, dans le dos par celui que tu ne t'y attends pas. Telle est la vie. Trop bonne, trop conne.

Passé différent, parcours opposé, mais tous en commun la mort. On ne sait jamais à quoi s'attendre, pourtant, on est amené à affronter et ressortir vainqueur. Juger les autres en se basant sur ce qu'on sait ou les dires d'autrui. Comme les paroles d'une musique : "But you'll never know unless you walk in my shoes".

De nos jours, chacun veut voir uniquement ce qu'il a envie. Alors cela devient facile de montrer aux autres ce qu'on souhaite.
Comprendre, exprimer peu importe la forme nos ressentis, devient difficile si nous-mêmes ne mettons pas un mot, sur le néant dans la tête et le cœur. C'est facile de montrer comme dissimuler, ce qu'on a envie face au monde. Réussi, et ce, même si tu n'as rien. La jalousie demeure toujours au rendez-vous, suivi de près par l'hypocrisie, etc. Chacun veut voir l'autre échouer, peu importe le prix à payer.