(03) A1 Ep3 - Aux portes d'Haruna

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Les corps encore brulants, nos deux loups reprirent leurs route vers la cité. Sans avoir de nouveaux problèmes sur leur chemin, ils virent la cité de loin, un large bâtiment qui semblait immense de leur petite taille. Plus ils s'en rapprochaient plus cela ressemblait au cité qu'ils avaient pu voir dans les livres de contes que leur lisait leur mère. Ils étaient émerveillés à l'idée d'entrer dans une telle chose.

Vint le moment d'y être. Une imposante porte permettait d'y entrer, elle était cependant fermée et ce qui semblait être un homme lézard était posté devant.

"Euhh bonjour monsieur, nous aimerions rentré dans la cité, dit Capy en prenant les devant.Le reptile ne bougea pas et continua de regardé l'horizon sans même prendre le temps de voir quel était son interlocuteur.
- Monsieur ? Répéta Ennebelle pour confirmer les doutes qu'il ne ait pas entendu. Il ne bougea toujours pas.
EH OH ON TE PARLE!!
- Laisse tomber, il ne réagit même pas ça ne sert à rien que tu t'énerves aussi." Il n'avait même pas remarqué la présence d'un dernier individu derrière eux. Il était recouvert d'une cape et ne montrait rien de lui, son imposant sac n'en disait pas plus.
" Excusez-moi les enfants, vous dérangez le passage." L'étranger regarda en haut de la porte puis dit un mot, la porte s'ouvrit et se referma instantanément après son passage, l'homme lézard empêcha d'ailleurs les jumeaux de suivre l'individu masqué lors de son passage. "Il a dit Kelios ? C'est quoi Kelios???" questionna Ennebelle au garde. Il baissa enfin les yeux pour regardé la petite mais ne bougea cependant pas de position. Il allait ouvrir la bouche mais Capy le coupa.
"Les Kelios sont une race d'être modifié il me semble, je présume que les annotations sur la partie doré en haut notifié l'annonciation de nos origines, nous sommes des loups garoux.
- Tu semblais plus faible que ta sœur mais tu ne m'as pas l'air moins bête, pense à la lui bouclé plus souvent devant les étrangers.
- NAN MAIS VOUS VOUS... "
Capy posa sa main sur la gueule de sa sœur qui ne voulait cessé de jappé devant une telle accusation.
" - j'y penserai ", souria-t-il tout en gardant ses mains sur la bouche pestante de sa sœur. Le garde fit ouvrir la porte et aida les jeunes à passé leur traîneau des quelques marches de la porte.Avant que la porte ne se referme l'homme ajouta :
"Ah et petit, renseigne toi mieux sur les Kelios ! Même si ce n'est pas vraiment faux..." disa-t-il en baissons de ton. La porte claqua et un air chaud vint annihiler la température de la tempête extérieure.

Derrière la porte se trouvait un couloir d'une dizaine de mètre, il était calme malgré les bruits sortant de la sortie, et vide, seul quelques ornements représentant quelques races était accroché sur les murs, ainsi que ce qui semblait être un blason familiale, une bassine rempli de pièce y était posée contre le sol. Capy en profita d'ailleurs pour y lancé une pièce et priant pour que la chance leur soit favorable.

Dans ce petit temps de répit, ils en profitèrent pour se donné des règles afin de ne pas finir mort dans un coin perdu, l'un sans l'autre, et aussi évité qu'on leur pille leurs affaires.
"- C'est moi qui gère les interactions avec les étrangers.
- MAIS..
- Ce n'est même pas une question.
- Bien, ensuite ? Toujours quelqu'un qui reste au traineau non ?
- C'est une bonne chose oui. Toujours regardé autour de soit aussi, évitons d'être surpris.
- Pense à cartographié là où on passe aussi, ça nous évitera d'être perdu.
- Donc imaginons, je reste sur le traineau en analysant les alentours et en les cartographiant pendant que tu pousseras doucement le traineau dans l'allée, valides-tu ce plan ?
- Ça me va, ça me parait être une bonne initiative. Et je te dis qui interrogé pour notre mère ?
- Oui faisons comme ça. On remballe tout et en route."
Les enfants rangèrent leur bagages correctement. Capy aida sa sœur à passé le virage en angle droit puis monta sur le traineau et s'installa correctement tout en prenant le temps de notés ce qui lui semblait important.
"Tu me dis si on risque de heurté quelque chose, je n'y vois rien avec tant de chargement! chuchota Ennebelle pour ne pas attiré l'attention.
- Contente toi de glissé tout doucement, je te dirai quand t'arrêté et j'agirai si besoin.
- Je te fais confiance..!"

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