Vestiges intemporels

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15. 07. 2024

Mon trait humoristique concernant H. Lecter et nos différentes réactions relatives à l’ exercice proposé sont restés au travail durant une longue période…

Ce soir, je te fais part de mes hypothèses via messenger; j’ignore d'ailleurs si tu l’ as ou non reçu car nous n’ en avons jamais fait mention depuis ce jour:

  • « Voici mes perceptions réajustées durant cette nuit suite à ta proposition. Le goût: celui pour ta grandeur d’ Ame qui émane de tout ton Etre et me laisse sur ma faim à chaque fin de séance pour me permettre de mieux m’ en imprégner dès la suivante. L’ odeur: celle de cette souffrance, de ces larmes de révolte, de ce sang trop tôt versé, de cette obstination et enfin de cette résilience magnifiant ton regard qui ne se résigne pas… Alors, oui, attention danger car ce sont des émotions bouleversantes que je ne peux encore verbaliser par pudeur. Bonne soirée et merci »

Une petite phrase me vient alors subitement à l’esprit : “ Dans cet art ultime d'allier subrepticement l' audace à la pudeur, bousculer mes intimes évidences n'est pas forcément suffire...”

18. 07. 2024

Ces deux citations suscitent des heures de diverses réflexions :

« Si un œuf se casse en raison d’ une force extérieure, la vie se termine ; s’ il se casse à cause d’ une force intérieure, la vie commence ! Les grands changements de notre vie commence de l’ intérieur vers l’ extérieur. Soyons donc le changement que nous voulons voir » Gandhi

– « Ce qu’ il y a devant nous et ce qu’ il y a derrière nous, ce n’ est rien comparé à ce qu’ il y a en nous » Ralph Waldo Emerson

Je les laisse donc guider ma plume quelque peu engluée dans ses propres vestiges intemporels :

« Bien qu’il me faille hisser ces mâts confidentiels à l’ aplomb de cet Ailleurs, là où s’ancre inexorablement ce vertige temporel, signifiance en devenir ; dans cet Art ultime d’allier subrepticement l’ audace à la pudeur, bousculer mes intimes évidences n’ est point forcément suffire !

Même si une rosée juvénale sans doute tardive humecte enfin mes aubes orphelines, subsiste encore cette instabilité identitaire latente échouée sur ces fresques scripturales mue par ces forces inertielles, vestiges intemporels, où s’ anoxie ce minois androgyne qui, taillé de sourires en croix, éructe ses lacunes originelles sans le moindre aval ! »

Ce poème suscite l’ engouement de mes lecteurs:

  • Marine : « Superbe, j’adore ! Kissouilles Erin »

  • Eli : « C’est beau ! »

  • Erica : « Tu te sublimes une fois de plus. Merci ! »

  • « Oh, je suis extrêmement touchée Erica, tes mots me vont droit au coeur et percute de plein fouet mon âme... », répondis- je.

  • Erica : « C’est bien normal. Aujourd’hui, on se plaint sans cesse des choses qui nous dérangent, sans prendre le temps de remercier ceux qui illuminent , même brièvement nos vies, comme si c’était tout simplement normal. Alors, merci Erin ! »

  • Giuseppe : « Grand merci ! »

  • Emilie : « Toujours formidablement inspirée ! »

  • « Merci Emilie, cette inspiration, je la dois à un grand Monsieur, ce Sculpteur de Vie qui de par son souffle, sa voix, ses rires et ses larmes restera toujours, à mes yeux, le plus grand dans mon coeur… Bizouilles ensoleillées » , ajoutai- je.

  • Fabienne : « Très beau, merci pour le partage. Bisous »

  • Tatjana : « Merci ma belle poétesse préférée . »

  • Sabine : « Merci Erin, bizouilles du coeur . »

  • Philippe : « Bisous mon amie. »

  • Andrée : « Merci Erin, bises. »

  • Danielle : « Toujours aussi beau… Sincèrement… Ici, le soleil est de la partie mais pour combien de temps ? Donc, il faut juste profiter et quand il disparaît, tu es là pour nous en donner, merci ! Bonne journée à toi Erin, plein de bizouilles.

  • Elisa : « Merci ma Erin, bisous du coeur ! »

  • Camille : « C’est très beau, merci à Toi ! »

  • Mohammed : « Superbe »

  • Cassie : « J’aime ! »

  • Alfonso : « En tant que poète, j’apprécie... »

  • Annie : « Bisous du coeur... »

  • Giuseppe : « Des mots qui nous enlèvent et nous portent de ça et là, comme le vent veut, ou mieux le désir de celle qui a écrit ça . Un très beau poème ! »

  • Juanne : « Merci ! »

  • Ana : « Merci à Toi Erin. »

  • Geneviève : « Merci Erin ! Bon mercredi, gros bisous. »

  • Nicole : « Bravo ma belle, toujours aussi subtil et beau ! »

  • Abdelhak : « Merci bien ma belle Erin et bon jeudi, bisous. »

  • Eli : « Bonsoir c’ est superbe ! Puis- je partager chez moi ? »

  • Fredo : « Enorme ! »

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