Chapitre 7 : Partie 1 à 4

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Partie 1

Nous apprécions ce petit déjeuner partagé avec des regards complices. Je n’avais plus de doute sur mes sentiments à l’égard d’Amandine, je ne souhaite qu’une chose, que ce week-end ne finisse jamais.

- Moi : Tu sais que je pourrais rester ici des heures à te regarder.

- Amandine souriant : T’es mignon de dire ça !

- Moi : Je le pense.

- Amandine souriante : Je sais bien moi aussi, mais on va peut-être faire autre chose non ?

- Moi : Oui ne t’en fais pas ! Qu’est-ce que tu as envie de faire ?

- Amandine : Euh ... on... Déjà il faudrait peut-être qu’on s’habille non ?

- Moi riant: Oui surtout moi je suis presque nu.

- Amandine : Pas mieux je suis en pyjama.

- Moi : Tu veux qu’on sorte ? Il a l’air de faire beau.

- Amandine : Hé bien écoute, oui pourquoi pas !

Nous échangeons un rapide baiser et Amandine sort de la chambre en direction de celle de Jean.

Je m’habille alors plus “convenablement”, j’enfile mes chaussettes, mon short et un de mes plus beau t-shirt. Après quoi, je file à la salle de bain pour me brosser les dents et me parfumer : ma maman m'a toujours dit que les filles aiment qu’on sente bon, je vais mettre en pratique ses enseignements.

En ouvrant la porte de la salle de bain pour sortir, je retrouve ma douce Amandine.

- Amandine : Oula... ça cocotte !

- Moi : Arf ça ne te plait pas ?

- Amandine : Si si au contraire.

Amandine porte un joli débardeur de couleur noire, et un jean qui met bien en valeur ses attributs. Je vois également les bretelles noires de son soutien-gorge.

Je me décide à la prendre dans mes bras, sans pour autant l’embrasser. Je souhaite lui montrer toute mon affection pour elle. Après une longue accolade, nous descendons au rez-de-chaussée.

- Moi : On va faire du roller ?

- Amandine : Je n’ai pas mes patins.

- Moi : Il doit toujours y avoir les anciens à Marie.

- Amandine: Bah je les essaye, et s'ils ne vont vraiment pas on ira chercher les miens.

- Moi : Ça marche.

Je récupère les rollers dans un placard de la buanderie, les miens et ceux de ma sœur. Je passe la paire de ma sœur à Amandine, nous ouvrons la porte d’entrée et nous asseyons sur le pas de la porte pour enfiler nos patins.

- Moi, une fois les patins aux pieds: Alors ils vont bien ?

- Amandine : Ils sont un poil grands mais ça va le faire.

- Moi : T’es sûre ?

- Amandine : Oui, de toute façon je n’ai pas envie d’aller chercher les miens.

- Moi riant : D’accord.

Nous sortons et allons dans la rue afin de faire une petite balade dans le quartier. Nous vivons dans une rue où seuls les riverains viennent, le quartier à de nombreux enfants les voitures roulent donc lentement, nous nous savons tranquilles et nous ne nous gênerons pas pour patiner directement sur la route.

- Amandine, après plusieurs minutes de balade : Tiens tu veux qu’on aille dans un coin sympa que je connais ?

- Moi : Euh oui pourquoi pas, c’est loin ?

- Amandine : Non par contre on va rouler sur le trottoir pour y aller. Et y aura un moment où on ne pourra peut-être plus rouler.

- Moi : Ok pas de soucis. On met nos chaussures dans un sac et on est bon !

- Amandine : Super.

Partie 2

Je retourne à la maison, je récupère un sac à dos, glisse à l’intérieur une bouteille d’eau, mes chaussures et celles d’Amandine. Je n’ai même pas pris la peine de retirer mes patins avant de rentrer.

- Amandine: Bonne idée l’eau et merci de te charger pour moi.

- Moi : De rien !

Nous ressortons, je laisse Amandine passer devant et durant tout le long de la route. Je ne peux m'empêcher de regarder parfois ses fesses, ce qui me donne quelques envies et fait légèrement gonfler mon sexe.

Après une grosse demi-heure, nous sommes dans une zone assez éloignée de chez nous, c’est un coin que je ne connais pas du tout.

- Moi : C’est sympa ici.

- Amandine : Oui t’es jamais venu ?

- Moi : Non.

- Amandine : Par contre, va falloir enfiler nos chaussures là. On est presque arrivé où je voulais t'emmener.

- Moi : Ah bon mais y'a quoi ici ?

- Amandine souriant : Tu vas voir !

Nous nous asseyons et troquons nos patins contre les "tennis" que j'ai emportés. Dès que je suis prêt je me lève et ramasse mes rollers et ceux d’Amandine.

- Amandine : Qu’il est serviable ce Pierrot ! Toujours aux petits soins pour moi

Je ne dis mot mais je deviens tout rouge. Amandine me guide vers une butte de terre, nous franchissons un barbelé et nous continuons sur plusieurs mètres dans une sorte de forêt assez épaisse

- Moi : Mais on a le droit d'être ici ?

- Amandine : C’est une propriété privée mais mon grand-père connaît le propriétaire.

- Moi : Donc ce n’est pas trop légal.

- Amandine : T’en fais pas, le propriétaire il vient jamais, c’est un vieux schnock.

- Moi : D’accord.

Je vois au loin en contrebas une petite sorte de clairière. Amandine me hâte, nous passons un dernier buisson, nous voilà arrivés. Nous sommes dans un puits de lumière, devant nous un petit lac d’une très belle couleur. C’est un vrai petit coin de paradis !

- Amandine : Voilà !

- Moi : Ah oui sympa ça vaut le détour !

- Amandine : Tu as vu ça !

- Moi : Merci de m’avoir montré ça. Tu as soif peut-être avec tout ce voyage?

- Amandine : Oui volontiers !

Je pose tout mon fourbi sur le sol, j’ouvre ensuite le sac, sors la bouteille d’eau et lui tends. Elle boit et me rend la bouteille, je l’imite, et range la bouteille dans mon sac.

- Amandine : On se pose un moment si tu veux pour profiter de l’endroit et récupérer un peu.

- Moi : D’accord.

Nous nous allongeons dans l’herbe verte, côte à côte sans un mot. J'approche ma main de la sienne, je lui prends comme un amoureux prend la main à sa chérie. Elle se laisse faire volontiers et me regarde avec un regard qui en dit long sur le bonheur qu’elle ressent à cet instant.

Partie 3

Nous sommes tous les deux allongés dans l’herbe, les seuls bruits que j’entends sont ceux des oiseaux et des arbres de la forêt qui frémissent sous la délicate brise. Cette journée se déroule comme dans un rêve, je suis si bien là avec ma douce, main dans la main, tous deux allongés à côté de ce point d’eau.

- Amandine : On va se baquer ?

- Moi : Euh je n’ai pas de maillot.

- Amandine : On s’en fout, soit tu y vas à poil ou en slip vraiment tu préfères !

Je suis surpris qu’elle me propose une baignade nue, je suis immédiatement légèrement excité. Je me dis que maintenant qu’elle m’a vu nu, il n’y a rien de gênant à recommencer. Sans même attendre mon reste, je me lève et commence par retirer mon t-shirt.

- Amandine : Hé bien t’es motivé !

- Moi : Oui pas toi ?

- Amandine : J’ai juste du mal à me lever, je suis bien installée.

Je lui tends une main charitable, elle la saisit et je l’aide à se lever.

- Amandine : Merci beaucoup.

Amandine m’imite en retirant rapidement son haut, durant ce temps j’ai retiré mes chaussures et mes chaussettes. Amandine m’imite, sans problème vu qu’elle ne porte que des ballerines sans chaussettes. Sans même prendre le temps de plier mon linge, je retire mon pantalon me retrouve en boxer une fois encore devant une Amandine bien plus habillée que moi.

- Moi : Hé bien ça se traîne !

- Amandine en ouvrant les boutons de son pantalon: J’ai plus à enlever que toi.

- Moi : Euh pas tant que ça !

- Amandine : Tu y va comme ça ou à poil ?

- Moi rougissant : Bah le problème c’est qu’après on a rien pour sécher nos fringues donc autant y aller à poil. Puis on s’est déjà vus nus donc c’est pas bien gênant.

- Amandine riant : Oui mon petit exhibitionniste !

- Moi rougissant encore plus : C’est pas toi qui m’as dit te baigner nue chez toi ?

- Amandine en attrapant l'arrière de son soutien-gorge : Si mais jamais avec des garçons !

- Moi : Mais avec des filles oui ?

- Amandine en dégrafant et retirant son soutien-gorge : Il me semble que je t’avais dit que je me baigne presque toujours nue quand je suis avec mes sœurs et des amies.

- Moi : Ah oui peut-être.

Je me tourne, dos à Amandine, j’attrape alors l'élastique de mon boxer et fait descendre le morceau de tissus le long de mes cuisse. Mon sexe n’est pas complètement au repos, ni complètement bandé, il est dans un stade intermédiaire. Je pose alors mon boxer sur mon tas de vêtements, et me dirige vers l’eau, afin qu’Amandine n’ait pas le temps de voir à nouveau mon engin.

L’eau n’est pas très chaude, je peine à entrer dedans. La température commence à faire redescendre mon érection naissante. Je me retourne une fois dans l’eau, Amandine est nue face à moi. Son sexe n’est pas encore dans l’eau, pour la première fois de ma vie, je vois une fille nue en pleine lumière. J’ai la confirmation visuelle qu’elle s'épile le sexe, elle est proche de moi. Bien évidemment et malgré la température de l’eau mon zizi se gonfle, alors que mon idée première est de vouloir le dissimuler, je ne le fais pas car je pense que l'opération aurait justement l’effet inverse.

- Amandine : C’est bon tu as fini de me mater ?

- Moi rougissant : Pardon c’est que ….

- Amandine : Non mais t’en fais pas je plaisante.

- Moi encore rouge: Je suis désolé, c’est juste que j’avais jamais vu une fille nue avant ….

- Amandine : Tu me feras pas croire que tu n’as jamais regardé de pornos ou de magazines.

- Moi rouge comme une pivoine : Ce n’est pas pareil !

- Amandine : T’en fais pas, je te taquine, je suis pareille, je n’arrête pas de te regarder. On se découvre tous les deux, c’est quelque chose de nouveau de voir un garçon nu pour moi aussi.

Je suis très rouge déjà, mais j’ai l’impression de rougir encore. Je suis ravi de savoir que c’est a priori normal de se regarder nu l’un l’autre.

- Moi : D’accord tu me rassures.

Partie 4

Après plusieurs minutes de nage silencieuse dans l’eau.

- Amandine : Je peux te poser une question indiscrète ?

- Moi : Euh oui.

- Amandine : En dehors de ton frère, tu as déjà vu un autre garçon nu toi ?

Immédiatement, je me remémore la veille avec Alan, ce souvenir a un effet terrible sur moi. Evidemment mon sexe se dresse instantanément, mais surtout mon cœur s’emballe. J’ai de nouveau des remords, mon visage se crispe et je me sens rougir comme jamais.

- Moi : Je vais être honnête, oui.

- Amandine voyant ma gêne : Sujet sensible ?

- Moi : Peut-être un peu.

- Amandine : Tu me dis si tu ne veux pas en parler, mais vous avez fait quoi ?

- Moi figé de peur: On s’est masturbé mutuellement.

- Amandine : D’accord et ça t’a plu ?

- Moi rouge de honte : Oui.

- Amandine : Faut pas avoir de regret, c’est normal de tester.

- Moi un peu rassuré : Ah bon t’es pas choquée ?

- Amandine : Bah non.

- Moi : D’accord et toi alors ?

- Amandine: Bah, moi aussi j’ai déjà caressé une fille.

Je suis rassuré de savoir que je ne suis pas anormal, et qu’Amandine n’est pas choquée par mon expérience. En plus elle en a aussi déjà vécu une similaire. Évidemment, cette révélation fait gonfler mon phallus d’une belle manière. Heureusement pour moi, Amandine ne peut le voir vu que nous nageons tranquillement une brasse.

- Moi : D’accord et même question tu as aimé ?

- Amandine rougissant : Oui et j’ai même expérimenté un autre plaisir du genre et c'était magique.

- Moi : Ah bon mais quoi donc ?

- Amandine souriante, toute rouge : Le cuni.

- Moi : Qu'est que c’est ?

- Amandine amusé : Comment t’expliquer… pour faire simple c’est la langue qui lèche le sexe de la fille….

Surpris, je bois la tasse et recrache l’eau. Mon sexe est totalement bandé, sous l’eau j’imagine la scène, deux filles qui se donnent l’une à l’autre c’est très excitant.

- Moi rougissant : Ah oui j’ai vu ça une fois sur un film, je n’avais pas trop compris ce qu’elles faisaient.

- Amandine souriant: Bah sûrement ça.

- Moi rougissant : Et tu lui as fait aussi ?

- Amandine : Oui mais pas la première fois, je n’avais pas osé.

- Moi : Et alors ?

- Amandine : C’est excitant mais t’es bien curieux.

- Moi rougissant : C’est toi qui as lancé le sujet.

- Amandine : Oui c’est vrai. Mais je te taquine encore mon Pierrot.

- Moi : D’accord.

- Amandine : Donc toi pas plus que la masturbation mutuelle ?

- Moi rougissant : Non.

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