Poème "Le Vendeur" (12 juillet 2024)
MOI : Imagine un poème en rimes sur le 10e Doctor qui tient un stand d'objets futuristes (télévisions, téléphones et appareils divers), dans les jardins de Versailles en 1787. Un marquis regarde intrigué, et une marquise paye un achat. Le Tardis, juste à coté, et tient lieu de caravane.
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COPILOT :
Dans les jardins de Versailles, en l'an mil sept cent quatre-vingt-sept,
Le Dixième Docteur tenait un stand, un spectacle inouï, parfait.
Des télévisions brillantes, des téléphones chantants,
Des appareils divers, tous plus fascinants.
Un marquis, curieux, s'approche, l'œil écarquillé,
Devant ces merveilles, il reste bouche bée.
"Qu'est-ce donc que ces objets, venus d'un autre temps ?"
Demande-t-il au Docteur, avec un air charmant.
La marquise, élégante, sort une bourse dorée,
Pour acheter un téléphone, elle est prête à payer.
"Voyez, cher Marquis, comme il est raffiné,
Cet appareil magique, pour nous communiquer."
À côté du stand, le Tardis, bleu,
Fait office de caravane, un abri mystérieux,
Les portes s'ouvrent, révélant des trésors,
Des gadgets futuristes, venus d'autres décors.
Le Docteur sourit, mystérieux et sage,
Dans ce marché futuriste, il est le seul mage.
Les nobles de Versailles, émerveillés et surpris,
Découvrent un futur que nul n'avait prédit.
COPILOT - Vendredi 12 Juillet 2024

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